mercredi 30 novembre 2016

LA COMMUNE REHABILITEE

Nous continuons ici à
vaillantiser  !

enfin !    





Le 29 novembre 2016





Communiqué de presse :
« A l’initiative des socialistes et au grand dam de la droite, l’Assemblée nationale a voté dans la soirée de mardi 29 novembre un texte proclamant la réhabilitation de toutes les victimes de la répression de la Commune de Paris. »


Pour parodier Pottier en employant des temps du passé, puisque même après s’être pincés on constate que c’est désormais chose acquise, on pourrait déclamer :

Ah!  je l’ai attendue, je l’ai attendue, je l’ai attendue
L’aurais-je attendue encore longtemps ?

L’aurais-je attendue, si…
Si l’Assemblée nationale en ce mardi 29 novembre 2016 – date historique désormais – n’avait enfin effectué cet acte important et de simple justice qui consiste à réhabiliter les acteurs de la Commune de Paris.
C’est tout simplement grandiose, c’est peu dire que c’est bon à prendre, alors prenons et même fêtons. Et nous fêterons encore longtemps.

Mais la fête n’empêche pas la réflexion. La raison permet la réflexion complexe, et loin de l’empêcher, elle y pousse.
Alors on se rappelle que ceux qui nous font tant de bien aujourd’hui nous ont fait tant de mal hier, et aussi les jours précédents.
Cela n’efface donc pas les pages où nous avons crié à la trahison de nos valeurs qu’ils disaient être aussi les leurs, où nous nous sommes plaints des coups de poignard dans le dos dont ils nous frappèrent avec obstination. A chaque fois nous avons ressenti dans notre monde les répliques des secousses douloureuses d’Edouard Vaillant, dont nous nous réclamons, qui n’arrêtait pas de se retourner dans sa tombe. Comment ses successeurs ont-ils pu à ce point inverser la courbe de son précieux progrès social ?...
L’exemple le plus frappant et le plus emblématique est sans doute l’atteinte au Code du travail dont ils se rendirent résolument coupables.

Même si c’est symbolique, c’est plus que bon à prendre, c’est proprement nécessaire et capital.

Mais en même temps on peut se dire que le symbolique ne mange pas de pain. L’esprit de la Commune sera non seulement réhabilité, ce qui est bien le moins après si longtemps d’Histoire inique, mais encore respecté, seulement le jour où l’on s’attaquera sérieusement aux inégalités dont l’accroissement continu nous scandalise, accroissement honteux dont ceux qui nous font l’immense cadeau de la réhabilitation ne sont certainement pas innocents.
En tous cas, pas ceux qui l’ont emporté quand furent prises les décisions de recul social (ne pratiquons pas l’amalgame, et laissons au moins les autres bénéficier du doute).
Et enfin clausulons, comme notre cher communard berrichon Gabriel Ranvier, par :
Salut et égalité.
Ou encore, comme tout communard qui se respecte, par :
Salut et fraternité.




NB- Cela est ma réaction à chaud. Il est possible que j’évolue, encore que, me connaissant, ça me paraît peu probable ! De toute façon, je rappelle que je parle en mon nom et que je n’engage que moi. On a parfaitement le droit d’avoir un autre avis…  et aussi d’avoir le même. Peut-être ai-je trop mis en avant mes réserves… Mais, même si on s’avisait de me dire qu’aujourd’hui ces mots n’ont plus cours, il est totalement exclu que je puisse oublier. Sans rancune peut-être, mais avec lucidité sûrement. 





C'est quand même notre / leur victoire !

En témoigne le communiqué officiel des AACPParis. C'est le point de départ d'une nouvelle étape, avec d'autres avancées en perspective et à conquérir. 


Communiqué de l’Association des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871

Sur proposition du groupe socialiste, l’Assemblée nationale vient de voter une résolution qui « proclame la réhabilitation des victimes de la répression de la Commune de Paris 1871 ». L’ensemble des groupes de gauche a soutenu et voté ce texte, qui allait dans le sens de plusieurs propositions antérieures.
Notre association se réjouit d’une telle décision. La réhabilitation a été un combat continu depuis des décennies. Elle est une demande permanente de notre association depuis sa création, il y a près de 135 ans.
Il y a quelque temps, nous l’avions à nouveau formulée auprès des plus hautes autorités de l’État. La Commune, disions-nous, « est une composante à part entière de l’histoire nationale ». Dans leur majorité, les députés ont entériné cette idée simple et juste. Nous les en remercions.
Il faut maintenant mettre en œuvre les suggestions contenues dans le texte. Il implique en effet un effort de publication et d’éducation pour « que soient mieux connues et diffusées les valeurs républicaines portées par les acteurs de la Commune de Paris 1871 ». Il pourrait se prolonger par l’organisation d’une journée nationale, qui permettrait à toutes et tous de méditer sur une impulsion populaire et sur une expérience démocratique inédites.
Le combat contre l’amnésie a marqué un point décisif. L’avancée d’hier légitime la promotion républicaine d’un moment fort de l’histoire populaire de la France. Elle encourage à amplifier les efforts.
Vive la Commune !

Paris, le 29 novembre 2016




Dans la foulée, nous avons envoyé à la presse locale (agence de Vierzon du Berry républicain et quelques journaux de l'Indre) notre réaction à partir d'un texte initial de notre co-président Michel Pinglaut:


REHABILITATION DES COMMUNARDS
Au moment où un collectif, dont ils font partie, va organiser à Bourges, la Semaine de la Laïcité (7-10 décembre), les Amis Berrichons (Cher-Indre) de la Commune de Paris-1871 prennent acte de la résolution de l'Assemblée Nationale qui " proclame la réhabilitation des victimes de la répression qui a suivi la Commune de Paris, en 1871."
Les Amis Berrichons, section de province des Amies et Amis de la Commune de Paris-1871, s'associent au communiqué national.
Sur proposition du groupe socialiste, l'Assemblée Nationale vient de voter la résolution ci-dessus. L'ensemble des groupes de gauche a soutenu et voté ce texte, qui allait dans le sens de plusieurs propositions antérieures. Notre association, et son comité berrichon, se réjouissent d'une telle décision. La réhabilitation a été un combat continu depuis des décennies. Elle est une demande permanente de notre association nationale depuis sa création, il y a près de 135 ans.
 En Berry, des plaques ont été érigées pour Gabriel Ranvier (Baugy), Edouard Vaillant (Vierzon), Marie Mercier (Issoudun) ; des rues, des écoles portent des noms de communardes et communards, des expositions, des conférences, des colloques se sont déroulés, des livres documentés par des chercheurs locaux ont été édités (Edouard Vaillant-2 volumes- par Jean-Marie Favière; Les ouvriers maçons des confins Berry, Marche, Limousin, par Jean Chatelut, citant géographiquement  les nombreux Communards du sud de l'Indre, 5 communardes issues du Berry...
Il y a quelques temps, nous avions à nouveau formulé cette demande de réhabilitation auprès des plus hautes autorités de l'Etat ; La Commune, disions-nous, "est une composante à part entière de l'histoire nationale". Dans leur majorité les députés ont entériné cette idée simple et juste.
Il faut  maintenant mettre en oeuvre les suggestions contenues dans le texte. Il implique en effet un effort de publication et d'éducation pour "que soient mieux connues et diffusées les valeurs républicaines portées par les acteurs de la Commune de Paris-1871".
Les Amis Berrichons oeuvrent pour montrer la modernité des idéaux de 1871 : le comité se retrouve dans des collectifs pour la paix, les luttes sociales, la réhabilitation des fusillés pour l'exemple, les créations artistiques (chants, cinéma, théâtre, arts plastiques...), la laïcité, le respect des étrangers...
Il serait souhaitable d’assurer un véritable enseignement dans les programmes d’histoire des classes de lycées de cet épisode jusqu’ici sacrifié.
Il pourrait s'envisager l'organisation d'une journée nationale, qui permettrait à toutes et tous de méditer sur une impulsion populaire et sur une expérience démocratiques inédites.
Le combat contre l'amnésie a marqué un point décisif. L'avancée d'hier légitime la promotion républicaine d'un moment fort de l'histoire populaire de la France .Elle encourage à amplifier les efforts. Vive la Commune !

Pour les Amis Berrichons: Jean Annequin et Michel Pinglaut, co-présidents; Jean-Marie Favière, vice-président chargé de la communication



Au lycée Edouard Vaillant de Vierzon, le 7 novembre 2015, nous avons accueilli nos Amies et Amis de la Commune de Paris parisiens qui ont commencé par visiter la seule exposition publique à ce jour consacrée à Edouard Vaillant. Ici, pour rappel, le professeur d'histoire Frédéric Morillon et le proviseur Marc Dubois. 



Puis, à 400m du lycée, au 50bis avenue Edouard Vaillant, sur la maison qui fut celle de la famille Vaillant après son expulsion de 1882 pour construire le lycée Henri Brisson, nous avons apposé la plaque que voici:








La première alerte qui me soit parvenue fut le mail transféré par Michel Pinglaut. Il renvoie vers des liens utiles. 


Chèr(e)s ami(e)s
L'Assemblée Nationale a voté la réhabilitation des communards hier soir 29  novembre 2016
Vous trouverez ci joint :
L'article du Monde sur le sujet :

Le lien vers le compte rendu intégral de la séance :

La vidéo de la séance se trouve ici (à partir de 4'12" ou en accès par le sommaire à droite de la vidéo)
Vive la Commune
Jean-Pierre Theurier


On peut aussi cliquer sur les images ci-dessous :








Patrick Bloche député PS 7e circonscription
(4e arr. + partie du 11e et du 12e)

A partir de là - "là" étant la résultante d'une dynamique antérieure - on peut s'attendre à ce qu'une dynamique nouvelle débouche logiquement sur de nouvelles remises en ordre, corrigeant ainsi plus qu'un désordre - un véritable scandale - qui a duré beaucoup trop longtemps. 
Mais peu parmi nous auraient pu s'attendre à cette réaction parvenue depuis au siège des AACPParis, ce qui ne veut pas dire du tout qu'elle soit dépourvue d'intérêt. Voici : 





Mes chers Camarades,

Nous venons d'apprendre la décision de l'Assemblée Nationale de réhabiliter les acteurs de la Commune de Paris.

Certains diront qu'il est plus facile d'être réhabilité lorsque l'on est un officier félon de l'OAS.

Nos Fédérations ont vu le jour en Février 1934 pour faire échec au coup d’État fasciste. Ils ont toujours comme référence la Commune de Paris et 1793 pour leurs valeurs de progrès et d'émancipation mais aussi en s'interrogeant sur les causes de la faiblesse militaire du processus révolutionnaire engagé par la Commune.

Le Colonel Rossel Ministre de la Défense dénonça dans ses cahiers l'inorganisation militaire des Communards et la nécessité d'instruire les citoyens à la défense et à la sécurité du pays.

Trotski prit en compte cette réflexion pour constituer l'Armée Rouge, la 14ème Brigades ou les FTP.

Si nous avons oublié cette problématique, la bourgeoisie elle a toujours vécu depuis dans la hantise de donner une formation militaire au peuple. Quant à l'accès aux responsabilités officiers sous-officiers techniciens ce fut à tout moment les interdits pour les fils du peuple et l’exhalation de l'armée d'Afrique. La République bourgeoise ne peut accepter un tel risque.

A un moment ou le débat renaît sur la fin de la suspension de l'appel sous les drapeaux ils nous paraît pertinent de créer les conditions d'un grand débat sur la portée militaire de la Commune de Paris. Vers l'Armée nouvelle.

Nous considérons que la suspension de la conscription est une défaite idéologique des progressistes, et elle s'oppose à la volonté majoritaire de notre peuple qui voit dans la conscription une garantie de l'identité nationale de notre Armée. Elle bafoue les droits du Parlement.  

Par ailleurs nous sommes des cadres de réserve attachés à des principes de reconnaissance.

Nous vous proposons qu'une démarche soit engagée pour que l'ensemble des officiers et sous- officiers des Bataillons de la Commune soient réintégrés dans leur cadre et que leurs décorations leur soient rendues à titre posthume, particulièrement le Colonel Louis Nathaniel Rossel.

Cela nous paraît lié à la décision de l'Assemblée Nationale.

Enfin une présentation intelligente de cette période historique doit être revue dans les lycées militaires et grandes écoles ainsi qu'au musée de l'Armée à Vincennes.

Le temps presse en raison du calendrier nous sommes à votre disposition.

La commune n'est pas morte !

Salut et Fraternité


Jean-Charles SCHMIDT
Président de la FOMSORR

A l'occasion de la cérémonie du 18 décembre sur la tombe de Vaillant, la presse locale a rappelé nos actions et nos réaction sur ce sujet:
https://vaillantitude.blogspot.fr/2016/12/ceremonie-sur-la-tombe.html






Pour accompagner la réflexion :

https://macommunedeparis.com/2016/12/17/rehabilitation-des-communards-le-mot-dun-mort/







2016. L'assemblée nationale réhabilite les communards.
Le 29 novembre 2016, l'Assemblée nationale a voté un texte proclamant
"la réhabilitation de toutes les victimes de la répression anti-
communarde”. Un "acte solennel" par "devoir d'histoire", a déclaré Patrick
Bloche, président de la commission des Affaires culturelles. Pour lui "le
temps est désormais venu pour la République de rendre justice aux
communards, victimes d'une répression impitoyable".



L'Assemblée nationale,
Vu l'article 34-1 de la Constitution,
Vu la loi du 3 mars 1879 sur l'amnistie partielle,
Vu la loi du 11 juillet 1880 relative à l'amnistie des individus condamnés
pour avoir pris part aux événements insurrectionnels de 1870-1871 et aux
événements insurrectionnels postérieurs, 
Vu l'article 136 du Règlement de l'Assemblée nationale,
Considérant que les lois d'amnistie partielle de 1879 et d'amnistie totale de
1880 n'ont pas permis de réhabiliter l'ensemble des victimes de la
répression de la Commune de Paris de 1871 ;
1. Estime qu'il est temps de prendre en compte les travaux historiques
ayant établi les faits dans la répression de la Commune de Paris de 1871 ;
2. Juge nécessaire que soient mieux connues et diffusées les valeurs
républicaines portées par les acteurs de la Commune de Paris de 1871 ;
3. Souhaite que la République rende honneur et dignité à ces femmes et ces
hommes qui ont combattu pour la liberté au prix d'exécutions sommaires et
de condamnations iniques ;
4. Proclame la réhabilitation des victimes de la répression de la Commune
de Paris de 1871.

> Cet acte important avait été précédé le 5 avril 2011 par un autre “devoir
d'histoire” : la présentation par l'Assemblée des comptes rendus des
séances en comité secret du parlement en mars 1871. La lecture de ces
débats permetde dissiper tout malentendu sur les véritables intentions de
Thiers et l'origine de la guerre civile. Analysé dans le livre d'Éric
Bonhomme : De l'Empire à la République. Comités secrets du Parlement
1870-1871. Assemblée Nationale/Éditions Perrin.







Dans l'onglet TEXTES  du blog:

MISE EN LIGNE 14 NOVEMBRE

2021

ASSEMBLÉE NATIONALE 29 NOVEMBRE 2016
RÉHABILITATION DES COMMUNARDS
RÉSOLUTION pour rendre justice aux victimes de la répression de la Commune de Paris de 1871.










Cliquez sur le calendrier pour découvrir
 ce qui s'est passé un
30 novembre
pendant la vie d'Edouard Vaillant




Projets en cours  pour promouvoir Edouard Vaillant





EXPOSITION ET CONFERENCE

BOURGES
Projet d'une exposition dans les locaux de la MGEN (au moment de la conférence sur Edouard Vaillant le 9 mars? A préciser...).






Rentrée littéraire de septembre 2016 
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome II : Le grand socialiste.



500 p.  19,80 €
















Mercredi 14 décembre 2016 
Matinée au lycée EDOUARD VAILLANT
Cérémonie pour le 50e anniversaire de la dénomination du lycée. 



Conférence Club des retraités MGEN BOURGES
Jeudi 9 mars de 14h30 à 17h
Salle de la MGEN
13 rue Michael Faraday 
18000 Bourges







vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  

Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 


Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 


N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 


Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




TOUTES NOS DATES IMPORTANTES




Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.



374 p.  18,80 €







L'EDITEUR



LES POINTS DE VENTE

18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)


 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)


En voir plus :

http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/09/1907-mort-de-sully-prudhomme.html



COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE
http://www.vierzonitude.fr/2015/08/jean-marie-faviere-auteur-de-je-te-parle-au-sujet-d-edouard-vaillant.html




DOSSIER DE PRESSE

http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/10/1854-naissance-de-rimbaud.html




La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.

                                                                                                              (Vaillantitude)



La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 



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