lundi 25 février 2019

HOLLUFFE CHEZ VAILLANT


J’en suis malade d’avance !











Je l’ai appris par la presse, comme la quasi-totalité du personnel du lycée Edouard Vaillant de Vierzon. Je ne jurerais même pas que le proviseur ait été mis au courant. 
Car tout est fait pour que ce scandale paraisse aussi « naturel » que possible. Un ex-président, forcément compétent sur la question, vient enseigner l’Europe aux lycéens, après les avoir rencontrés à Paris, et comme c’étaient des Vierzonnais, on commence par Vierzon, quoi de plus normal ?...

A une époque où l’enseignement de l’économie devient plus que jamais problématique avec la promotion de la vision néo-libérale et l’effacement de tout ce qui pourrait la contester, voilà que l’on présente comme un enseignement purement informatif ce qui est une entreprise de propagande néo-libérale à une encablure des prochaines élection européennes. 

Se trouvera-t-il au moins un professeur suffisamment soucieux de sa mission éducative pour instiller ici le minimum d’esprit critique qu’il doit transmettre comme une valeur fondamentale aux futurs citoyens adultes de ce pays ? 
Et faut-il argumenter, tant les faits sont connus ? 
Nul n’ignore en effet l’honneur perdu d’un président que ses reniements et ses trahisons ont rendu inapte à se représenter à sa propre succession, fait unique. Elu sur le slogan « Mon ennemie, c’est la finance », il en fut sans vergogne le plus zélé des serviteurs. Son Europe, c’est celle des Barroso (Goldman Sachs, la crise de 2008) et des Junker (le chef du plus grand des paradis fiscaux en Europe). Les lois Macron-El Khomri, le démantèlement du code du travail patiemment mis en place par Vaillant et les siens (Arthur Groussier, 1910) ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres de ses infamies. Le glorieux parti de Jaurès et de Vaillant réduit "grâce à lui" à 6% de l'électorat...  Forcément les Vierzonnais, donc les propres parents des élèves qui vont l’entendre, souffrent dans leur quotidien des méfaits de ce président indigne. Mais qui le dira ? 
Il illustre à merveille la maxime de Bossuet : «Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.» Ce qui laisse le choix entre la bêtise (improbable ici) et l’hypocrisie. Le pyromane qui a allumé l’incendie vient mettre en garde contre les dégâts que le feu est susceptible de causer. C’est tragique et cocasse à la fois. Dans les faits divers, récents, je ne trouve guère que celui-ci (l'assassin en tête des marches blanches!) pour fournir un parallèle à cette absurdité. 



Je sais bien qu’on est dans la période des portes ouvertes... 




mais il y a des limites à l’ouverture : ça s’appelle la décence et ça s’appelle l’éthique. 



C’est au-dessus de mes forces (et de mon estomac) de reproduire ici les raisons officielles de cette visite. Mais je les ai lues, ce qui est bien le moins pour se mettre au courant, et je vous invite à le faire puisqu’elles sont, heureusement pour moi, bien exposées ici : 



Et on avait déjà ceci le 18 janvier:



Pour voir la vidéo:

> depuis 8min jusqu’à 11min 40 (la fin)



Les photogrammes suivants de cette pantalonnade mi-odieuse mi-burlesque parlent d’eux-mêmes.














Attention, ici « fake news » (fausse information, information trompeuse) de la part de France 5. 
On fait savoir au monde que celui qui est dans le cercle rouge est un élève qui fait une drôle de tête parce qu’il ne comprend rien à la question... C'est en réalité un professeur connu ici pour sa compétence et sa rigueur, et  son attitude doit être expliquée autrement (doute sur la pertinence de la question ou sur la réalité d’une question qui serait celle d’élèves,…). 












Sur "leberry.fr", un verbatim qui montre à l'évidence le côté creux et convenu de l'exeercice. Un spécialiste? Il est clair que n'importe qui (moi par exemple) aurait été beaucoup plus loin et beaucoup plus riche sur la question. Plus original, en tout cas, beaucoup moins convenu. Alors si on pense aux vrais professeurs de ces matières (histoire, économie,...) c'eût été encore bien autre chose. Notamment avec le professeur que le reportage fait fâcheusement passer pour un potache ignare: pour retrouver la vérité des choses, mieux vaut prendre l'exact inverse de ce qui est ici présenté. 
Sans oublier le message à peine subliminal qu'on fait passer en l'occurrence: des réponses précises et pertinentes d'un professeur d'histoire qualifié, on n'aurait fait aucun cas. Ce qui compte ici, c'est bien le côté people de l'événement. A rebours des leçons de nos moralistes classiques (plutôt l'être que le paraître), c'est bien l'apparence qui est ici valorisée. La publicité décervelante ne fait pas autre chose. Triste mission éducative...





Verbatim

Austérité. « Les gouvernements ont renvoyé sur l'Union européenne la responsabilité des thérapeutiques douloureuses. Le résultat a été une impopularité partagée. On a donné à l'UE un mauvais rôle. »

Déficit budgétaire. «Ce ne sont pas les 3 % qui posent problème aujourd'hui mais l'absence de politiques d'investissement en Europe. Il manque un grand plan pour l'écologie. L'Europe doit davantage investir dans l'avenir.»

Brexit. « Il faut maintenant aller jusqu'au bout du Brexit, que l'on sache quelles sont les conséquences d'une sortie de l'Union européenne. Il faut respecter les peuples. [...] Si on n'a aucune preuve de l'utilité de l'Union européenne, on sera tous perdants. Là, le Brexit montre que sortir de l'Europe présente beaucoup plus d'inconvénients que d'avantages. »

Dirigeants. « Ce sont les dirigeants nationaux qui font la politique européenne. Les vrais choix sont nationaux. »

Perspectives. « Si on veut faire mieux, il faut le faire à quelques pays pour mener des politiques qui aujourd'hui ne sont pas engagées. Si on veut faire mieux, il faut s'allier à deux, trois, quatre pays pour aller de l'avant. »

Immigration. « Si on doit faire face à d'autres flux migratoires comme nous en avons connu, on ne peut le faire à l'échelle européenne que dans la dignité et avec un esprit de solidarité. »

Irlande. « La question de la fiscalité est fondamentale dans la lutte contre les inégalités. Nous devons dire à l'Irlande : "nous serons à vos côtés face au Brexit afin que vous puissiez continuer à commercer avec le Royaume-Uni. En contrepartie vous devez montrer que vous êtes Européens en acceptant les règles fiscales communes et en ne permettant plus que les Gafa(*) soient sous-imposés" »

Avenir de l'UE. « Pour l'Union européenne, le risque aujourd'hui est celui du statu quo, que l'UE échappe aux peuples, échappe à ce qui a guidé sa construction. C'est pourtant ensemble que nous pourrons résister, mais aussi imposer des valeurs. »

Valérie Mazerolle et Willem van de Kraats

(*) Google, Amazon, Facebook, Apple


C'est le même , cynique adepte du grand écart, qui proclamait pourtant le 22 janvier 2012, au Bourget:


Dans cette bataille qui s’engage, je vais vous dire qui est mon adversaire, mon véritable adversaire. Il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera donc pas élu, et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance. Sous nos yeux, en vingt ans, la finance a pris le contrôle de l’économie, de la société et même de nos vies. Désormais, il est possible en une fraction de seconde de déplacer des sommes d’argent vertigineuses, de menacer des Etats. Cette emprise est devenue un empire. Et la crise qui sévit depuis le 15 septembre 2008, loin de l’affaiblir, l’a encore renforcée. 


Rien d'étonnant après cela si des personnalités comme François Bégaudeau remarquent que l'école ne prépare pas à devenir des citoyens capable de voter en connaissance de cause, et que l'éducation politique se fait quasi totalement en dehors de l'école. 

La pseudo neutralité qu'on avance comme excuse à cela est un leurre. Le conditionnement existe bel et bien, et il va dans un seul sens, celui de la soumission au pouvoir en place, depuis le gouvernement, le ministre et l'administration. 

Si on ne retenait que quelques exemples caractéristiques, considérons l'évolution des programmes d'économie et d'histoire sociale dans le sens du néo-libéralisme à la mode. 

Sensible aussi pour nous: la Commune de Paris, point aveugle de notre enseignement - pourtant dernier massacre gouvernemental dans le cadre d'une guerre civile la plus récente! - et si nécessaire pour comprendre la résurgence permanente dans notre actualité du clivage entre communards et versaillais, comme le révèle encore aujourd'hui, entre autres, la crise des gilets jaunes. Bien entendu, le massacre n'est pour moi qu'un argument pour montrer la force de la censure. Car d'habitude, l'histoire scolaire  met volontiers en évidence et très tôt les massacres spectaculaires (de la Saint-Barthélemy à Oradour, en passant par la Terreur révolutionnaire). C'est dire à quel point il fallait bien les masquer, les réalisations et les aspirations progressistes des communards, ainsi que le rôle peu reluisant que jouent dans cette période leurs ennemis, comme dans la nôtre ceux qui sont les héritiers de ces derniers et qui sont toujours au pouvoir. Mais cette question-là, il est clair qu'elle ne sera jamais posée. 



à partir de 22min
Une inéducation politique



La presse finit par conclure dans la caricature, mais en lui donnant un sens bien différent de celui que je lui donnerait moi-même: la pente caricaturale d'une école qui irait dans ce sens encore un peu plus loin, et elle en prend bien le chemin, ce serait de produire, dans ce domaine, des pensées aussi amputées que convenues. Sur ce point, elle pourrrait bien finir par être susceptible de se définir ainsi: l'école, même combat que BFM TV. 


Berry républicain 3 mars 2019


Ce ne fut pour la presse locale une actualité pour Vierzon, on se demande bien pourquoi. Difficile à assumer?... En tout cas les articles sont tous publiés ailleurs. Autre exemple: 


Berry républicain 28 février 2019

Peut-être est-ce en lien avec le fait qu'à Vierzon on aurait tendance à avoir sur le sujet un autre point de vue.


Berry républicain 27 février 2019

Et bien sûr, on vous soutiendra mordicus que tout ceci n'a évidemment aucun rapport avec les prochaines élections européennes. Mais où vont-ils chercher ça?... Peut-être ici, finalement?...







Prolongement avec un regard sur l'état actuel de l'école et de ses réformes (L'école de la confiance!), avec la libération de la parole néo-libérale, et la parole contrainte voire supprimée des enseignants "indépendants" ou, a fortiori, critiques. Alors quand on me parle de l’objectivité des politiques quand ils interviennent en classe...
Le lien:
https://www.youtube.com/watch?v=Z0q131gSMIc&t=281s











Réformes Jean-Michel Blanquer et Frédérique Vidal (enseignement supérieur et recherche) : économies pour l’oligarchie (accumulation interne), appauvrissement du plus grand nombre (les services publics sont leur patrimoine), casse de l’ascenseur social, creusement des inégalités.


Ce matin (21/3/2019) e brief politique de France Info note royalement  18 sur 20  la rectrice qui a répondu calmement (sic !) que ce n’était pas politique mais pédagogique (re-sic !). Evidemment, on a attendu la réaction de Marine Le Pen pour une raison d'auto discrédit évidente. Quand c'était la réaction de Jean-Pierre Chevènement, la connotation étant tout autre, c'était videmment silence radio.

Eléments complémentaires pour comprendre de quoi il s'agit:






L'académie de Lille n'annulera pas la visite de François Hollande dans un lycée d'Hénin-Beaumont, comme le demandait Marine Le Pen

La députée du Pas-de-Calais conteste cette visite de l'ancien président de la République : elle y voit une "opération de communication" visant à influencer le vote de "jeunes adultes".


La rectrice de l'académie de Lille, Valérie Cabuil, n'annulera pas la visite de François Hollande dans un lycée d'Hénin-Beaumont (Nord), prévue vendredi, selon les informations de France Bleu Nord. Cette annulation a été demandée par Marine Le Pen, la députée RN du Pas-de-Calais, qui avait écrit à la rectrice pour se plaindre de la visite de l'ancien président de la République.

"Une opération de communication" dénoncée par Marine Le Pen
François Hollande se rend actuellement dans plusieurs établissements pour parler d'Europe. La députée et présidente du Rassemblement national a demandé l'annulation de cette visite, à quelques semaines des élections européennes. "Cette visite relève d'une opération de communication en direction du public des jeunes adultes, écrit Marine Le Pen, dans le but d'influer sur leur vision de l'UE et par là même d'influencer leur vote." La présidente du RN a demandé à ce que toutes les formations politiques candidates aux élections européennes soient invitées dans les lycées.

Sur France Bleu Nord, mercredi 20 mars, Valérie Cabuil a répondu à la députée RN. "Il est hors de question que je demande une annulation à l'ancien président de la République, explique-t-elle. Les invitations de ce type de personnalités se font à la demande de l'établissement, des équipes pédagogiques qui inscrivent cela dans un programme. Il est usuel que les établissements invitent des personnalités qui ont des choses à raconter à nos élèves."

Selon elle, la visite de cet invité "prestigieux" s'inscrit "dans un programme pédagogique, pas dans une campagne dans laquelle nous ne sommes pas". La rectrice écrira prochainement à la députée du Pas-de-Calais.

Marine Le Pen suffit donc en dehors de toute argumentation sur le fond à discréditer une position. Il se trouve par ailleurs qu'elle s’insurge actuellement (mouvement des gilets jaunes) contre le fait qu’on réquisitionne l’armée pour contenir la colère du peuple, c’est donc aussi qu’on a raison de le faire. Etc.


  



EN PLEINE CAMPAGNE
Hollande dans les lycées : Chevènement dénonce "une atteinte à la laïcité"
Par LEXPRESS.fr ,
publié le 28/02/2019 à 19:46

L'ancien président fait actuellement une tournée dans des établissements scolaires pour parler d'Europe, ce qui hérisse Jean-Pierre Chevènement.
Alors que la campagne électorale pour les Européennes se lance, l'ancien président François Hollande a décidé de faire une tournée des lycées pour parler Europe et politique. Et ça ne plaît pas à tout le monde, et notamment Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre socialiste de l'Éducation nationale. Il a dénoncé "une grave atteinte à la laïcité".


"C'est un scandale, un dévoiement"
"Je souhaiterais savoir si le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a été saisi d'une demande de la part de l'ancien président avant que celui-ci n'entreprenne la tournée des lycées, qu'il a annoncée à la veille de la campagne électorale" pour les Européennes de mai, a déclaré le candidat malheureux à la présidentielle de 2002. 


"Pour ma part, je considère qu'il s'agit d'une grave atteinte à la laïcité", a-t-il poursuivi. "La laïcité veut que des hommes politiques ne soient pas invités à s'exprimer dans l'école publique sur des sujets qui font l'objet d'une campagne électorale", a encore fait valoir Jean-Pierre Chevènement, "sinon Mme Le Pen en ferait autant". "C'est un scandale, un dévoiement."


Déjà deux rencontres ont eu lieu

Dimanche, François Hollande avait proposé aux lycéens de venir à leur rencontre "dans les deux mois qui viennent" pour leur parler d'Europe, dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux. Deux rencontres ont déjà eu lieu, à Vierzon (Cher) et Nancy, avant Dreux (Eure-et-Loire) lundi.

















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25 février
pendant la vie d'Edouard Vaillant







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vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  



Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 

Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




TOUTES NOS DATES IMPORTANTES




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Tome I : La tête pensante de la Commune.



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484g  
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L'EDITEUR







LES POINTS DE VENTE LOCAUX


18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)
(hélas fermé depuis le 21 juillet, malgré un grand soutien local, dont le nôtre)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)




 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)


Bourges 

 La Poterne (41 rue Moyenne)



 Point Virgule (46 rue d'Auron)



Cultura Saint-Doulchard
(mystérieusement exclu depuis 2016)


 Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)

Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).













Henrichemont 

 Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)








36

Châteauroux 

 Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)





Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski. 





Issoudun 


 Centre commercial Leclerc(Rue de la Limoise)





Il y a aussi le livre sur le berrichon de notre président Michel Pinglaut 


COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE




DOSSIER DE PRESSE





La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.



                                                                                                              (Vaillantitude)



La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 



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