jeudi 21 février 2019

LES AMIS DE L'HUMANITÉ DÉBATTENT


sur le pluralisme de la presse







Les Amis de l’Humanité, au même endroit, avaient présenté une soirée Howard Zinn avec Michel Pinglaut, notre co-président des Amis de la Commune du Berry pour le Cher, dans le rôle de Karl Marx… et oui, il en fut une fort digne réincarnation!


Leurs titres 



Leurs sites










L'annonce du Berry (21 et 27 février 2019)

















Tout est bon... jusqu'au dernier paragraphe de conclusion, celui du point sensible de la défiance.

Hors contexte, tel que présenté, le lecteur n'y comprend rien. Mauvais signe! 
Alors explicitons les rapports.

Réseaux sociaux. Ce ne fut pas l'explication la plus unanime. Disons que la confiance a été captée par ces réseaux, pour le meilleur (parfois plus performants, tant sur les faits que sur leurs interprétations) et pour le pire (pas besoin de commenter). Mais c'est plus une conséquence qu'une cause: si on va vers les réseaux, c'est qu'on ne trouve pas son compte dans les médias traditionnels, et aussi parce que les modes de consommation des infos ont changé. Il faut donc chercher ailleurs...

Chaînes d'infos en continu. Pas tellement qu'elles soient d'infos, ni qu'elles soient en continu. Rien à dire jusque-là. Mais, et on l'a dit, les "éditocrates" et les interviewers de ces médias sont complaisants avec les gens au pouvoir, et se comportent comme d'odieux pitbulls avec les opposants. C'est clair, et pas besoin d'aller chercher beaucoup plus loin. 

Le passage à l'euro. Là, franchement, difficile de comprendre quelque chose. Le prix du journal a augmenté?... Sans doute, mais ce n'est pas tout l'enjeu du débat, bien plus large. C'est que la presse dans son ensemble, relayant les discours officiels qui mettent en avant des indices qui ne reflètent pas le quotidien des gens (écrans plats en baisse, baguette de pain en hausse), a expliqué à tout le monde qu'il n'y avait pas de hausse des prix. Contre toute évidence. 

 Le référendum de 2005. On peut sans doute ici, tant les souvenirs sont vifs dans la population, deviner un peu plus aisément. C'est que toute la presse, audio comme écrite, à quelques exceptions près (L'Huma...) ont fait la promotion frénétique du OUI, allant jusqu'à discréditer les adversaires, en les insultant au besoin. Or on connaît trop bien le résultat qui a révélé une opinion générale contraire. Dans ce cas, la défiance est un mot faible. Surtout quand on sait ce que le pouvoir en place a fait ensuite pour passer outre cette expression du peuple.

Mais le plus important n'apparaît nulle part ici, comme pas partout ailleurs, loin de là. C'est que tout cela est largement surdéterminé par la concentration de la presse entre les groupes financiers puissants. Mais la question, si elle a bien été posée, et largement débattue (contraire au programme du Conseil National de la Résistance notamment, spécificité française ou non,...), elle ne sera pas relayée ici. Sans doute encore un motif de défiance qui a encore de beaux jours devant lui.


On a aussi soulevé le sujet toujours un peu délicat et complexe de la correction de la langue, qui se limite le plus souvent à la question de la qualité de l'orthographe. Sur ce point le professeur de français que je suis est toujours lui aussi un peu partagé. D'une part je veux bien en général entendre que ce n'est pas facile de produire autant de textes du jour pour le lendemain sans qu'une erreur ne se gilsse ici ou là. Et d'autre part j'entends aussi les professionnels qui de l'intérieur nous disent qu'ils perçoivent une certaine dégradation dans ce domaine, du fait des conditions de travail ou de la préoccupation moindre (c'est un euphémisme) des nouvelles générations de journalistes dans ce domaine. A vous de décider (si c'est possible...) à quelle catégorie appartient l'exemple ci-dessous. 




Berry républicain 8 mars 2019




Berry républicain 26 mars 2019

Pour le gros titre ci-dessous, c'est un peu différent d'une simple coquille, et le remède qui s'impose est soit un stage de rattrapage en CM2 soit un rendez-vous urgent chez l'oculiste.

Berry républicain 2 avril 2019

Même l'humour peut se prendre les pieds dans le tapis.


Berry républicain 19 mai 19

Tout comme le commentaire politique (même jour):  










Le Berry républicain par ailleurs ne rechigne pas à proposer une réflexion sur les médias. Exemple le 5 décembre 2016.




Ce n'ai pas moi qui ai dit, mais je l'ai forcément pensé un moment ou un autre:

Il est vrai que, pour toutes sortes de raisons, des formes nouvelles du capitalisme sont apparues, et des formes qui prennent (…) un caractère de plus en plus dictatorial ; il est vrai que l’extrême concentration des entreprises industrielles, que l’introduction, corrélative à cette concentration, de nouvelles méthodes industrielles, que la création et le développement, par-dessus la concentration industrielle, de (…) la superconcentration bancaire, il est vrai que tout cela a donné au capitalisme nouveau une forme nouvelle, et que ce capitalisme impose maintenant sa dictature même aux Etats, même aux institutions politiques, et que nous le voyons commettre chaque jour de nouvelles usurpations de souveraineté. Léon Blum, congrès extraordinaire de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO), 26-27 décembre 1927.

Deux cents familles sont maîtresses de l’économie française et, en fait, de la politique française. Ce sont des forces qu’un Etat démocratique ne devrait pas tolérer, que Richelieu n’eût pas toléré dans le royaume de France. L’influence des deux cents familles pèse sur le système fiscal, sur les transports, sur le crédit. Les deux cents familles placent au pouvoir leurs délégués. Elles interviennent sur l’opinion publique, car elles contrôlent la presse. Edouard Daladier, congrès du Parti radical, 28 octobre 1934.

Au cours des dernières périodes, nous avons assisté à une emprise accrue des puissances industrielles et financières sur l’Etat et sur son appareil. Il n’est pas indifférent de relever qu’elle s’est traduite par un renforcement des exécutifs au détriment d’assemblées plus ou moins représentatives ; ces dernières, sensibles aux pressions des catégories nombreuses (ouvriers, paysans, fonctionnaires, petite bourgeoisie, etc.), ont été privées en partie de leurs moyens, au profit d’équipes, d’administrations, de bureaux, de gouvernants où les grandes sociétés, que l’on désigne généralement sous le nom de monopoles ou de multinationales, trouvent des interlocuteurs amis, compréhensifs, voire complaisants. Pierre Mendès France, La vérité guidait leurs pas,  1976.



Rappel utile:
le programme du CNR (Conseil National de la Résistance):




Extrait:


Le programme du CNR et les ordonnances de 1944

Le programme du CNR, adopté en 1944 sous le nom « Les jours heureux », annonçait notamment « la pleine liberté de pensée, de conscience et d’expression, la liberté de la presse, son honneur et son indépendance à l’égard de l’État, des puissances d’argent et des influences étrangères, la liberté d’association, de réunion et de manifestation ».

Ce programme est la principale source d’inspiration des ordonnances de 1944. Les principes qu’il énonce sont en outre réaffirmés dans les déclarations solennelles de la jeune Fédération nationale de la presse française (syndicat patronal), dans sa Déclaration des droits et des devoirs de la presse :

« Art. 1. La presse n’est pas un instrument de profit commercial, mais un instrument de culture ; sa mission est de donner des informations exactes, de défendre des idées, de servir la cause du progrès humain.

Art. 2. La presse ne peut remplir sa mission que dans la liberté et par la liberté.

Art. 3. La presse est libre quand elle ne dépend ni de la puissance gouvernementale ni des puissances d’argent mais de la seule conscience des journalistes et des lecteurs. »

En mai 1944, avant même le débarquement des Alliés, la première ordonnance du Gouvernement provisoire concerne le secteur de la presse. Trois autres ont suivi en août et septembre. Ces ordonnances ont pour objectif affiché d’éviter tout retour de la presse vénale du début du siècle et de régénérer un système qui s’était discrédité dans la collaboration.

Les journaux collaborateurs et leurs imprimeries sont mis sous séquestre et redistribués aux journaux issus de la résistance. La capitalisation des journaux doit être transparente, les actions nominatives, les prête-noms interdits, les concentrations horizontale et verticale sont prohibées et le directeur d’un journal, qui est obligatoirement son propriétaire, ne peut plus tirer ses principaux revenus d’une fonction industrielle ou commerciale :

« Dans le cas d’un hebdomadaire dont le nombre d’exemplaires tirés excède 50.000 ou d’un quotidien dont le nombre d’exemplaires tirés excède 10.000 nul ne peut exercer les fonctions de directeur de la publication ou de directeur délégué accessoirement à une autre fonction soit commerciale, soit industrielle, qui constitue la source principale de ses revenus et bénéfices. La même personne ne peut être directeur ou directeur délégué de plus d’un quotidien. » (Ordonnance du 26 août 1944)





Remarque: ARTE était là, et a filmé le début du débat. Annoncé: à voir aujourd'hui (jeudi 7 mars 2019) à 19h45. 
(J'ai regardé... Il n'y avait rien. Pas encore?... Demain peut-être? Jamais, ô Anastasie?...).

Peut-être (!!!) ici une explication, dans une table ronde en ligne qui est au coeur de notre sujet:




En ce qui concerne Arte, se reporter à l'intervention de la productrice Frédérique Dumas à partir de 1.40.20. (Un comité Théodule présidé par BHL décide souverainement.)





Et maintenant le compte rendu dans le magazine DIX-HUIT du 14 mars 2019, rédigé par notre président Michel Pinglaut. Et croyez-moi ou non, cette belle photo, admirablement cadrée, est aussi de lui!







C'était l'annonce. Après la constatation que le filmage d'ARTE était resté au placard, l'humeur des organisateurs a logiquement changé. 




Le Canard enchaîné n'est pas un quotidien, il n'a été cité qu'occasionnellement pour son indépendance, ce qui n'est pas une denrée si fréquente dans les médias français. Quelques articles pour alimenter la réflexion:


10 février 2016

13 juin 2018


30 mai 2018





Contrepoint littéraire : l’effet que peut faire un journal à la solde d’un pouvoir honni (Napoléon III, what else ?...).

Victor Hugo « Floréal » (Les Châtiments, 1853)


Au retour des beaux jours, dans ce vert floréal
Où meurent les Danton trahis par les Réal,
Quand l'étable s'agite au fond des métairies,
Quand l'eau vive au soleil se change en pierreries,
....

Et je dis aux oiseaux :  Petits oiseaux, vous n'êtes
Que des chardonnerets et des bergeronnettes,
Vous ne me connaissez pas même, vous allez
Au hasard dans les champs, dans les bois, dans les blés,
....

Vous êtes, quoique beaux, très bêtes ; votre loi,
C'est d'errer ; vous chantez en l'air sans savoir quoi
Eh bien, vous m'inondez d'émotions sacrées !
....
Mais dans ces moments-là, tu le sais, Juvénal,
Qu’il sorte par hasard de ma poche un journal,
Et que mon oeil distrait, qui vers les cieux remonte,
Heurte l’un de ces noms qui veulent dire honte,
Alors toute l’horreur revient ; dans les bois verts
Némésis m’apparaît et me montre à travers
Les rameaux et les fleurs sa gorge de furie.
....
Ainsi pas de printemps ! ainsi pas de ciel bleu !
Ô bandits, et toi, fils d’Hortense de Saint-Leu,
Soyez maudits, d’abord d’être ce que vous êtes,
Et puis soyez maudits d’obséder les poëtes !
Soyez maudits, Troplong, Fould, Magnan, Faustin deux,
De faire au penseur triste un cortège hideux,
De le suivre au désert, dans les champs, sous les ormes,
De mêler aux forêts vos figures difformes !
Soyez maudits, bourreaux qui lui masquez le jour,
D’emplir de haine un coeur qui déborde d’amour !


Prolongement sur la question du langage.




Le lien (surtout à partir de 14min):




Un débat (La liberté de la presse n’est pas garante de la démocratie, c’est au contraire la démocratie qui est garante de la liberté de la presse):









On prétendra peut-être nous rassurer en évoquant l'éducation des médias à l'école. 
De la façon dont je l'assurais dans le cadre de mon atelier de médialogie au lycée Edouard Vaillant, sans aucun doute. 
Mais de la façon dont cela se pratique officiellement et habituellement, bien davantage que des doutes. 
Car ce qui nous a préoccupé principalement ici, et qui nous a sans doute (encore...) valu la censure d'ARTE, n'est jamais mentionné. Donc la question de la concentration des médias entre les mains d'une poignée de milliardaires qui se comptent sur les doigts des deux mains et qui défendent leurs intérêts ultra minoritaires ne sera pas posée, pour reprendre la formulation des juges militaires de l'affaire Dreyfus. 


Berry républicain 22 mars 2019

Autre exemple, avec le lycée Edouard Vaillant... Et là va-t-on en parler? Bien sûr que non, faut pas rêver.

Berry républicain 29 mars 2019

Parler de développement d'esprit critique dans ces conditions est évidemment une énorme imposture et une insupportable "fake news".
Que dirait-on d'un secouriste qui vous donnerait plein de conseils pertinents sur la façon de respirer ou de positionner correctement ses mains, mais qui ne ferait rien de concret pour vous sortir de l'eau où vous êtes en train de vous noyer?
Est-ce cela libérer l'esprit des futurs citoyens? Tout au contraire, c'est les aliéner davantage. 
Il y a là-dessus une fable de La Fontaine qui pourrait efficacement illustrer cette remarque:








Et Vaillant dans tout ça?...
Il était présent à différents niveaux, lui qui a écrit tant d'articles et qui a dirigé plusieurs journaux. 

Une admiratrice de Séverine, présente dans le public à cette soirée, nous a permis de nous rappeler mutuellement qu'à la mort de Vallès cette dernière a choisi Vaillant pour être à la tête du Cri du Peuple

Alexandre Varenne, qui fonda le journal La Montagne et qu'on peut considérer comme le fondateur du Berry républicain, a croisé Vaillant, sans aucun doute, puisqu'il était le secrétaire de rédaction de l'Humanité à son origine. 

Enfin cette anecdote, extraite de mon Edouard Vaillant. Le grand socialiste donne une idée de son caractère et d'un aspect conflictuel de ses relations avec la presse. 





(1888, la mémoire d’Eudes insultée peu après sa mort provoque une colère de Vaillant au Conseil municipal de Paris)
Cette colère de Vaillant me rappelle une autre anecdote rapportée en 1933 par Henri Laudier dans un article de La Vie socialiste, anecdote dont malheureusement je n’ai pas la date et que je suppose assez nettement ultérieure. Vaillant lit dans un journal du Cher - son fief ! - qu’il montre plus d’ardeur dans le combat électoral qu’il n’en a montré dans les combats de la Commune. Sacrilège, insulte intolérable, honneur bafoué ! Son sang ne fait qu’un tour, ses réunions électorales passent au second plan, il se rue au bureau du journal à Bourges, empoigne vigoureusement au col le journaliste impudent, le menace du « pistolet chargé à balles à cinq pas », ou de « la hache en chambre close ».
Complètement hallucinant !
Ces derniers mots et ces précisions sont d’Henri Laudier… Charitable pourtant et grand seigneur, Vaillant donne au journaliste un moyen pour échapper au massacre annoncé : la rétractation, les excuses. Evidemment, il obtient satisfaction immédiate sur toute la ligne !...
















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 ce qui s'est passé un
21 février
pendant la vie d'Edouard Vaillant







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vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  



Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 

Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




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L'EDITEUR







LES POINTS DE VENTE LOCAUX


18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)
(hélas fermé depuis le 21 juillet, malgré un grand soutien local, dont le nôtre)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)




 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)


Bourges 

 La Poterne (41 rue Moyenne)



 Point Virgule (46 rue d'Auron)



Cultura Saint-Doulchard
(mystérieusement exclu depuis 2016)


 Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)

Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).













Henrichemont 

 Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)








36

Châteauroux 

 Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)





Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski. 





Issoudun 


 Centre commercial Leclerc(Rue de la Limoise)





Il y a aussi le livre sur le berrichon de notre président Michel Pinglaut 


COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE




DOSSIER DE PRESSE





La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.



                                                                                                              (Vaillantitude)



La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 



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