vendredi 1 mars 2019

VAILLANT CHEZ JAURÈS


Un vrai bonheur !  







À trois pages de là, je m’indignais que l’ancien président François Hollande se soit introduit sous un prétexte fallacieux, et en fait pour se livrer à une propagande absolument contraire aux valeurs de son double prédécesseur Edouard Vaillant (prédécesseur au parti socialiste, et le premier à se présenter à une élection présidentielle en 1913), sur les lieux mêmes où vivait la famille Vaillant (la Décale de Vierzon, dans le lycée Henri Brisson) avant que les ennemis politiques ne l’expulsent en 1883 pour construire le lycée.
A cette nausée il fallait un puissant antidote. Et par bonheur voici que la poste me l’apporte, sous la forme d’un envoi de Gilles Candar lui-même, avec, comme d’habitude, un mot plein de sympathie. Elle est réciproque, cela va sans dire, et j’y ajoute spontanément toute ma gratitude. 









Est-il besoin aussi de préciser que, au début de mon entreprise de passionné de Vaillant (je revendique ce titre, et uniquement celui-là) j’étais loin de m’attendre à une telle consécration, même si j’espérais, pas pour moi mais pour Vaillant, que les travaux à son sujet se multiplient à l’occasion du centenaire de 2015 ?

C’est chose faite aujourd’hui, et on a enfin des ouvrages de vrais historiens, et même d’historiens de renom, avec, hors concours parmi les modernes successeurs des mythiques Dommanget et Howorth, Gilles Candar. 

À tel point que, dans un des comptes rendus que je reproduis ici, je lis qu’on a pu qualifier de « relatif » l’aspect méconnu ou ignoré d’Edouard Vaillant.
Je suis pourtant bien placé pour témoigner qu’à la fin de l’année 2014, et voyant arriver cette fameuse année 2015, je me suis senti bien seul pour me lancer dans un travail sur le grand homme politique de Vierzon, figure éponyme de mon lycée. Si frémissements vaillantiques il y avait, le moins que je puisse dire est qu’ils n’étaient pas encore parvenus jusqu’à moi. 
Même à Vierzon, sa ville natale, malgré la grande avenue et le lycée à son nom, peu le connaissaient réellement. Avec mes élèves de l’option cinéma, nous en avons recueilli d’amples confirmations avec nos micro-trottoirs, dans la ville comme au cœur même de notre établissement. 
J’étais parti avec l’idée de faire un « livre aiguillon », avec l’espoir d’inciter d’autres chercheurs, aussi passionnés mais plus compétents, à travailler sur ce sujet. Evidemment, mon tempérament bavard ayant fait son œuvre, désormais la métaphore de l’aiguillon cadre mal avec le pavé compact qui a constitué le produit final. 

J’ai gardé dans ce blog toutes mes rencontres avec Gilles Candar. 
D’abord virtuelles, quand je l’ai vu sur l’écran de présentation du musée Jaurès de Castres, puis quand où m’a appris, au milieu de la rédaction de mon premier tome, qu’il préparait un livre sur Vaillant : je n’étais donc pas seul ! J’en ai aussitôt fait une page de « vaillantitude » pour annoncer au monde la bonne nouvelle ! 
Rencontres réelles ensuite, la première fois à la Fête de l’Humanité

Au moment de conclure ma biographie d’Edouard Vaillant, j’annonce, avec l’enthousiasme dont je ne me départis jamais et que je revendique toujours, la venue d’un livre « définitif » sur Edouard Vaillant, évidemment le sien ! La boucle est bouclée, et le but est atteint. 
Ouf !


Commençons logiquement ce parcours vaillantique par l'introduction:


















On me permettra de ne pas bouder pas mon plaisir devant ces compliments, pas pour mon hypothétique talent, mais pour la peine que je me suis donnée. Et je m’empresse de rassurer ceux qui s’inquiéteraient sur ma santé mentale à ce sujet : je ne me prends pas pour ce que je ne suis pas, et je sais trop que deux années d’histoire en DEUG à la fac de Tours ne suffisent pas à faire de moi un «historien», et que tous mes diplômes étant en lettres, discipline suivie en parallèle. 
Je ne les réfute donc pas, ces compliments, d’abord parce que ce ne serait pas poli, et ensuite parce que ce serait faire naître le soupçon d’une part d’insincérité voire de flagornerie chez ceux qui me les ont faits. Impensable ! Je dis « ceux », parce que j’y inclus Marc Lagana, des Amies et Amis de la Commune de Paris, qui est venu à Vierzon en 2015 et qui a voulu avoir mon livre pour l’offrir à Jolyon Howorth. Imaginez ce que cela peut bien représenter pour moi ! Rétrospectivement, je me rends compte que c’était déjà, au commencement, une forme de consécration. 
Et tout ça, on l’aura compris, c’est d’abord beaucoup d’heureux hasard, et ça s’appelle avoir (au moins dans ce domaine…) bien de la chance. 














Cliquez sur le calendrier pour découvrir
 ce qui s'est passé un
1er mars
pendant la vie d'Edouard Vaillant




Rentrée littéraire de septembre 2016 
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome II : Le grand socialiste.



500 p.  19,80 €
560g  
les 2 volumes 1044g 





















vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  



Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 

Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




TOUTES NOS DATES IMPORTANTES




Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.



374 p.  18,80 €
484g  
les 2 volumes 1044g 








L'EDITEUR







LES POINTS DE VENTE LOCAUX


18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)
(hélas fermé depuis le 21 juillet, malgré un grand soutien local, dont le nôtre)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)




 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)


Bourges 

 La Poterne (41 rue Moyenne)



 Point Virgule (46 rue d'Auron)



Cultura Saint-Doulchard
(mystérieusement exclu depuis 2016)


 Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)

Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).













Henrichemont 

 Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)








36

Châteauroux 

 Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)





Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski. 





Issoudun 


 Centre commercial Leclerc(Rue de la Limoise)





Il y a aussi le livre sur le berrichon de notre président Michel Pinglaut 


COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE




DOSSIER DE PRESSE





La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.



                                                                                                              (Vaillantitude)



La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 



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