jeudi 31 décembre 2015

1897 MORT DE COURBET

Nous continuons ici à 
vaillantiser Vaillant !

31 décembre 1897
MORT DE COURBET


METRO
COMMUNE DE PARIS













QUELQUE CHOSE


                                                                 sur :  GOUVERNANTS







Signé Vaillant




Si, par les crimes des gouvernants, des impérialismes capitalistes, la guerre était déchaînée, ils en porteraient les responsabilités, ils porteraient la responsabilité de ses désastres et l'Internationale, entraînant le prolétariat dans une action de masse croissante, aurait à saisir toutes les occasions, à user de tous les moyens pour imposer la paix et faire la Révolution.







31 décembre 1897 : mort de Gustave Courbet, peintre réaliste français (° 10 juin 1819).




Même jour, autre année.

1851 : abolition de la Constitution autrichienne.
1857 : Ottawa est choisie comme capitale de la colonie du Canada-Uni par la reine Victoria
1862 : début de la Bataille de la Stones River pendant la guerre de Sécession.
1896 : inauguration du Théâtre Amazonas.
1904 : inauguration du siège social du New York Times, le One Times Square.
1913 : en France, loi sur les monuments historiques.
1879 : première démonstration publique de la lampe à incandescence par Thomas Edison au Menlo Park du New Jersey.
1908 : Wilbur Wright bat le record de distance parcourue avec un avion : 124,7 km.
1909 : ouverture au public du pont de Manhattan.
1869 : Henri Matisse, peintre fauviste français († 3 novembre 1954).
1897 : Pola Negri, actrice polonaise († 1er août 1987).
1905 :
Guy Mollet, homme politique français († 3 octobre 1975).
1874 : Alexandre Ledru-Rollin, avocat et homme politique français (° 2 février 1807).
1882 : Léon Gambetta, homme politique français (° 2 avril 1838).


Gustave Courbet,
 né le 10 juin 1819 à Ornans, près de Besançon (Doubs), et mort le31 décembre 1877 à La Tour-de-Peilz en Suisse, est un peintre et sculpteur français, chef de file du courant réaliste.
Il est principalement connu pour le réalisme de ses œuvres opposées aux critères de l'académisme et transgressant la hiérarchie des genres, comme Un enterrement à Ornans (1850), qui provoqua le scandale chez ses contemporains.
Anticlérical, ami de Proudhon et proche des anarchistes, il fut l'un des élus de la Commune de Paris de 1871. Accusé d'avoir fait renverser la colonne Vendôme, il est condamné à la faire relever à ses propres frais. Réfugié en Suisse, il meurt avant d'avoir commencé à rembourser.















Pour une station de métro « Commune de Paris - 1871 »
   La lettre d’information  N°2 – décembre 2015




Depuis notre première lettre d’information, le mouvement en faveur d’une station de métro portant le nom de « Commune de Paris – 1871 » s’est amplifié.

À la suite de la motion en ce sens adoptée par le Conseil du 20e arrondissement de Paris, Le Conseil de la capitale a voté un vœu, sur proposition de Madame Vieu-Charier, adjointe à la Maire de Paris, chargée de la mémoire et du monde combattant.

Vous trouverez toutes les informations dans le document en pièce jointe

La commission communication.



Pour une station de métro
« Commune de Paris - 1871 »
La lettre d’information
N°2 – décembre 2015


Depuis notre première lettre d’information, le mouvement en faveur d’une station de métro portant le nom de « Commune de Paris – 1871 » s’est amplifié.

À la suite de la motion en ce sens adoptée par le Conseil du 20e arrondissement de Paris, Le Conseil de la capitale a voté le vœu suivant, sur proposition de Madame Vieu-Charier, adjointe à la Maire de Paris, chargée de la mémoire et du monde combattant
« Considérant les vœux déposés par le groupe Communiste-Front de Gauche, le groupe Socialiste et Apparentés et le Groupe Écologiste de Paris ;
Considérant que la Commune de Paris est un élément majeur d'une histoire qui est à la fois celle de Paris, du mouvement ouvrier et du combat républicain, et que son impact national et international fut immense ;
Considérant l'importance pour notre pays et pour la République des valeurs portées par la Commune de Paris, notamment à travers ses luttes pour l'émancipation des travailleurs et des femmes, la laïcité, la liberté de la presse et d'expression ;
Considérant que sa place dans la mémoire nationale est injustement sous-estimée, jusque dans les programmes d'enseignement, et qu'il faut permettre aux enseignants et à la population parisienne de connaître les valeurs portées par la Commune ;
Considérant que les élus parisiens peuvent s'enorgueillir de se compter parmi les héritiers des Communards et sont attentifs à ce que la réhabilitation de la Commune puisse avoir lieu ;
Considérant que nos élus, à Paris et dans toute la région parisienne, doivent poursuivre le combat engagé pour que la Commune marque l'espace public ;
Considérant que, depuis 2008, la Ville de Paris a beaucoup travaillé sur ce sujet, et que figurent déjà dans la plupart des Mairies d'arrondissement des plaques portant le nom des maires de la Commune - la dernière inauguration ayant eu lieu le 19 novembre 2015 en Mairie du 4ème ;
Considérant qu'à l'Hôtel de Ville a été inaugurée une plaque en hommage à la Commune et à ses élus ;
Considérant que le 140ème anniversaire, en 2011, a fait l'objet de deux expositions, l'une à l'Hôtel de Ville même, l'autre aux Cordeliers ;
Considérant qu'un colloque pour le 145ème anniversaire est en préparation ainsi qu'une exposition sur les grilles de l'Hôtel de Ville ;
Considérant que la Commission de dénomination des voies, places, espaces verts et équipements publics municipaux qui s'est réunie le 8 octobre 2015 a adopté la dénomination « Promenade des Femmes de la Commune de Paris » pour un quai des Voies sur Berge - Rive Droite ;
Considérant qu'en dépit de l'existence de lieux de mémoire liés à la Commune de Paris - Mur des Fédérés, noms de rues et plaques commémoratives -, ce moment crucial de notre histoire n'est pas représenté dans l'espace public parisien à la hauteur de son importance ;
Considérant l'appel de personnalités demandant qu'une station de métro parisienne puisse porter le nom « Commune de Paris 1871 » ;
Considérant que le métro parisien est un espace public central dans la vie des usagers de Paris et au-delà, lieu de cultures et de mémoires partagées ;
Considérant que différentes stations de métro à Paris portent d'ores et déjà un nom principal auquel est ajoutée une deuxième appellation, comme par exemple les stations Gare de l'Est (Verdun), Anvers (Sacré-Cœur), Picpus (Courteline), Denfert Rochereau (Colonel Roi-Tanguy), Porte d'Orléans (Général Leclerc), etc. ;
Considérant que les dernières barricades de la Commune de Paris ont été érigées à Belleville ;
Considérant que la mémoire de la Commune de Paris doit vivre ;
Le Conseil de Paris émet le vœu que soit demandé à la RATP de compléter le nom de la station « Belleville » en station « Belleville-Commune de Paris 1871 »

Elles et ils s’engagent…

Nous avons par ailleurs continué de recevoir des témoignages de soutien d’élus et de personnalités du monde politique :

Monsieur Patrice Douet, maire de Bonneuil (5 novembre 2015)
« Messieurs les présidents,
J’ai lu avec beaucoup d’intérêt votre sollicitation et l’appel que vous avez initié afin qu’avant le 150e anniversaire de la Commune de Paris une station de métro porte ce nom.
La Commune de Paris est en effet un acte historique majeur qui a marqué profondément notre région capitale, porteur à la fois de l’expression de la fidélité à la nation et d’une grande force d’anticipation sociale et démocratique.
Il serait incompréhensible que, près de 150 ans après, cet événement ne soit pas honoré de manière permanente dans un lieu de forte fréquentation de la capitale et ce serait enfin une vraie réhabilitation pour toutes celles et ceux qui ont été massacrés, déportés, exilés.
M’associant donc sans réserve à votre appel, je vous prie de croire, Messieurs les présidents, en l’expression de mes sentiments les meilleurs »

Monsieur Philippe Bouysson, maire d’Ivry-sur-Seine (5 novembre 2015)
« Messieurs les présidents,
J’ai pris connaissance de votre démarche et de celle des signataires de l’appel pour qu’une future station de métro parisienne prenne le nom de « Commune de Paris 1871 ».
Je partage pleinement cette légitime revendication au regard de la contribution majeure de la Commune de Paris à faire vivre les idéaux de notre République pour lesquelles bien des combats restent d’actualité.
J’ai donc pris l’initiative de solliciter le syndicat des transports d’Île-de-France afin de soutenir cet appel.
Dans l’espoir que cette aspiration commune aboutisse, je vous prie de croire, Messieurs les présidents, en l’assurance de mes sentiments distingués. »
(suit la lettre adressée par Monsieur Bouysson au STIF)

Monsieur Gilles Poux, maire de la Courneuve, vice-président de Plaine Commune (9 novembre 2015)
« C’est avec une attention toute particulière que j’ai pris connaissance de votre courrier du 6 octobre dernier dans lequel vous sollicitiez des personnalités afin de soutenir votre démarche de dénomination d’une station de métro.
Je tiens à vous apporter personnellement mon soutien à cette initiative qui vise à honorer et à faire vivre la mémoire de la Commune de Paris en m’associant à votre liste de signataires.
D’autre part, dans le cadre de la création des futures lignes du « super-métro » du Grand Paris Express, je suis intéressé par cette même dénomination concernant la future station située à la Courneuve.
Vous souhaitant des vœux de réussite pour votre légitime démarche, je vous adresse mes fraternelles salutations. »

Monsieur Guillaume Lacroix, secrétaire général du Parti Radical de Gauche (12 novembre 2015)
« Messieurs les présidents,
« Vous nous avez interpellé dans votre courrier du 6 octobre dernier sur l’initiative visant à nommer une nouvelle station de métro prévu dans le projet du Grand Paris : « Commune de Paris 1871 ».
Le parti radical de gauche, plus vieux parti de Frans et ardent défenseur des acquis républicains, est tout à fait enclin à soutenir cette démarche est donc à s’associer à cet appel.
En effet, la Commune de Paris, de par l’importance qu’elle a eue dans l’affirmation du caractère républicain de la nation française, fut une expérience essentielle dans l’histoire de notre pays et mérite d’être honorée.
Soyez assurés, Messieurs les présidents, de mes sentiments républicains les plus cordiaux. »

Monsieur Didier Guillaume, maire de Choisy-le-Roi, vice-président du conseil départemental du Val-de-Marne (13 novembre 2015)
« C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai pris connaissance de votre projet.
Je trouve que rappeler les valeurs qui ont porté la Commune de Paris et la barbarie avec laquelle les forces de la réaction sont étouffé cette avancée démocratique et sociale, est nécessaire.
Je m’engage à écrire au STIF pour, avec vous, qu’une station de métro parisienne porte le nom de « Commune de Paris 1871 ».
Par ailleurs et si cela peut vous aider, je suis d’accord pour être un des signataires de cet appel.
Je vous prie de croire, Messieurs les présidents, à l’expression de mes sentiments distingués. »
(suit le texte de la lettre adressée par monsieur Guillaume au STIF)

Madame Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte Ouvrière (26 novembre 2015)
« J’ai bien reçu votre appel de personnalités pour qu’une station de métro porte le nom de « Commune de Paris 1871 ». Si ma signature est utile à votre démarche, je vous l’accorde bien volontiers.
Mais, de façon générale, je ne fais pas partie des amateurs de lieux de mémoire quand je pense à tous ceux qui ont été élevés. La fête du 14 juillet le mausolée de Lénine, loin de transmettre les idées révolutionnaires, ont été une façon de les enterrer.
Ce n’est pas le baptême d’une station de métro qui fera vivre les idées de la Commune. Surtout si ces idées que les Communards ont incarnées sont aujourd’hui détournées. Ainsi, je ne souscris pas ce passage de votre appel : « la Commune a apporté à la République, dont elle fut le premier défenseur en 1871 ».
En 1871, le petit peuple de Paris, celui des artisans, des ouvriers, des femmes du peuple qui constituaient alors la majorité de sa population, s’insurgeait contre le pouvoir établi. Durant les deux mois que dura la Commune de Paris, il vécut la première expérience d’exercice du pouvoir direct par la population en posant à cette occasion les bases d’une organisation sociale nouvelle, juste et fraternelle. Le petit peuple de Paris a mis en place l’embryon d’un pouvoir démocratique au plein sens du terme, entièrement tourné vers la satisfaction des besoins de la population.
La République, elle, fut dans le camp des bourreaux, cette bourgeoisie représentée par Thiers qui déclencha une vague de répression féroce. C’est sur l’écrasement de la Commune que s’est assise cette République de classe, cette République bourgeoise.
Mais heureusement ce massacre n’a pas tué l’espoir, pour les générations de militants révolutionnaires qui allaient lui succéder, que changer le monde était possible.
Si je suis favorable à ce que vive la mémoire, c’est de la mémoire des insurgés révolutionnaires qu’il s’agit, ceux qui luttaient pour une autre organisation sociale opposée à celle des « Républiques » bourgeoises.
Alors, qu’il y ait ou non une station de métro « Commune de Paris 1871 », pour moi, le lieu de cette mémoire reste le mur des Fédérés celui où se rassemblent tous les ans ceux qui commémorent l’élan révolutionnaire de la Commune. Ce mur, témoin du massacre des Communards, montre du même coup l’implacabilité des représentants de l’ordre bourgeois. Pour moi, ce sont ces enseignements qui aujourd’hui peuvent nous aider à nous orienter et qui tissent un lien vivant, par-delà le siècle, avec les Communards de 1871.
Bien cordialement »

Par ailleurs, Messieurs Pascal Cherki, député de Paris, Georges Sarre, ancien ministre, Christian Favier, sénateur et Président du conseil départemental du Val-de-Marne et Azzedine Taïbi, maire de Stains, nous ont fait savoir par courriel qu’ils s’associaient à l’appel des personnalités


Pour soutenir l’appel :
Beaucoup d’amies et d’amis ont demandé comment ils pouvaient soutenir directement l’appel des personnalités.
Nous leur suggérons de le faire en envoyant un message de soutien à l’Association des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871
· Par email : amis@commune1871.org
· Par courrier : 46, rue des Cinq-Diamants 75013 Paris
· Par téléphone : 01 45 81 60 54
· Par fax : 01 45 81 47 91


Echange personnel avec Nathalie Arthaud :

Je comprends parfaitement bien sûr le distinguo que Nathalie Arthaud tient à exprimer, et nul doute que si elle le ressent ainsi, elle a bien fait de le faire et de le faire connaître.
C’est normal d’ailleurs qu’il ait trouvé cette expression, et il fallait en effet s’y attendre. Nous sommes en effet tous placés devant un dilemme.
Ou bien on associe la IIIe République dans un continuum record de 70 ans (1870-1940), ce qui est tout de même la continuation officielle de nos institutions, et on court alors le risque d’amalgamer des camps aux idéaux et aux objectifs opposés.
Ou bien on dissocie radicalement l’expérience communarde de la République qui a constitué son environnement, et cette fois on court le risque de trahir les aspirations des communards eux-mêmes, qui se proclamaient, du moins pour la plupart d’entre eux, les vrais défenseurs de la République.
Pour ma part, je me vois mal dans la position de quelqu’un qui risquerait de contrarier fortement Vaillant sur ce point, lui qui s’est toujours revendiqué comme un farouche défenseur de la République et de ses valeurs. Le meilleur tremplin, selon lui, vers le socialisme qu’il ne perdait jamais de vue.
Couper la Commune de la République me paraît constituer un bien plus grand risque que de l’y associer. En règle générale, d’ailleurs, j’aurais tendance à reprendre aux adversaires les symboles de la nation plutôt que de les leur abandonner, sous prétexte qu’ils ont pu les dénaturer en tentant de se les approprier.
Le combat pédagogique est le seul qui vaille, mené par les citoyens, les enseignants, les politiques, les journalistes, les historiens,… la société. Il est souhaitable que le peuple se réapproprie enfin sa mémoire, une mémoire trop longtemps occultée et déformée. Au moment où la Commune retrouve droit de cité en même temps qu’une nouvelle estime, je ne souhaite pas un retour à l’ignorance chez le plus grand nombre associé à une préservation de la pureté du souvenir chez quelques happy few. Je ne souhaite pas non plus une confrontation de préjugés manichéens sous forme de dialogues de sourds, entre descendants de communards et héritiers de versaillais.
Dire qui était qui, qui faisait quoi. Dire la vérité, dire aussi sa vérité. C’est tout à fait possible, et souhaitable, dans un tel cadre. Décrire d’un côté la République manipulée et dirigée par ses ennemis mêmes, les monarchistes capitulards qui s’en servaient comme on se sert d’un bouclier humain pour protéger la réaction, laquelle n’attendait ensuite que l’occasion d’une Restauration triomphante, une fois l’affront de la capitulation passé. Et de l’autre, la République qui ne s’estime telle que si elle est pleinement démocratique et sociale. Mais ne retirons pas la République à ceux qui ont laissé leur vie pour la défendre.
Ne jetons pas le bébé République avec la trop bourgeoise eau du bain.




Vaillant, pendant ce temps-là...


Vaillant a 57 ans. Il est député de Paris depuis 4 ans et il le restera jusqu'à sa mort.









vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté. 

Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 


Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 





TOUTES NOS DATES IMPORTANTES

http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/02/1857-flaubert-acquitte.html



LE LIVRE 









L'EDITEUR




LES POINTS DE VENTE

18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)


 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)


En voir plus :

http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/09/1907-mort-de-sully-prudhomme.html



DOSSIER DE PRESSE

http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/10/1854-naissance-de-rimbaud.html




La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.

                                                                                                              (Vaillantitude)






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