mardi 16 juillet 2019

14 JUILLET


République et Commune de Paris


 



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https://information.tv5monde.com/info/trois-idees-fausses-sur-le-14-juillet-311023




13 JUIL 2019
 Mise à jour 13.07.2019 à 09:09 par
Pascal Priestley

Contrairement à certaines idées reçues, le 14 juillet, jour de la fête nationale française, ne célèbre pas la chute de la monarchie, encore moins l’avènement de la République. Il ne commémore pas même explicitement la prise de la Bastille.

Le 14 juillet, fête entre toutes de la République française, marque son avènement?
Pas du tout, en tout cas pas historiquement. La prise de la Bastille par la foule parisienne le 14 juillet 1789 constitue seulement l’un des premiers actes – majeur - d’un processus révolutionnaire qui s’étend sur une dizaine d’années pour se clore en 1799 par la prise du pouvoir de Bonaparte.


La République elle-même n’est proclamée que le 21 septembre 1792, après bien d’autres événements et insurrections.

Cette «Première République» dure en théorie 11 ans, jusqu’à l’établissement de l’Empire napoléonien (1804) mais comprend des phases très différentes : Terreur, réaction contre-révolutionnaire, Directoire, coup d’État de Bonaparte, «Consulat».

Elle est suivie de soixante-dix années de retour de formes anciennes – voire autocratiques – du pouvoir : un empereur (Napoléon 1er), trois rois (deux de la dynastie Bourbon, l’un de la branche rivale Orléans), une brève seconde République (1848), renversée à son tour par un second empereur (Napoléon III, neveu du premier).

Ce n’est qu’à la chute de ce dernier dans une guerre perdue contre la Prusse (1870) que la République parlementaire, dans la décennie suivante, s’installe réellement en France.

Encore s’impose-t-elle presque subrepticement. Le parlement de 1870 est majoritairement royaliste mais il ne s’accorde pas avec l’héritier légitime du Trône, le Duc de Chambord (Henri V pour les royalistes).

Crédibilisée aux yeux des influents milieux économiques par l’écrasement sanglant de l’insurrectionnelle Commune de Paris (1871), une république provisoire s’installe par défaut, formalisée en 1875 par un simple amendement (« amendement Wallon ») voté avec une voix d’avance.


Ainsi s’instaure de façon peu romanesque la République française moderne qui perdure avec des modifications (IVème et aujourd'hui Vème République), bien loin de l’embrasement du 14 juillet 1789.


Le 14 juillet marque au moins la chute de la monarchie ?
Pas d’avantage, sinon celle de la monarchie absolue. On sait (rétrospectivement) que la Révolution française s’est ouverte quelques semaines plus tôt par la réunion des États Généraux mais ils sont convoqués par le roi Louis XVI, qui cherche l’appui politique et financier de la nation. Les Cahiers de doléances, vaste consultation qui les a précédés, témoignent partout d’un soutien quasi unanime à sa personne et à l’institution monarchique.

L'ouverture des États généraux, à Versailles. 
Une crise fracture ces États Généraux en juin 1789 sur la question – essentielle – du vote par tête ou par ordre : la représentation nationale doit-elle être égalitaire ou soumise à la hiérarchie des trois ordres d’ancien régime (noblesse, clergé, tiers-état) ?

Elle débouche – le roi s’accrochant à l’ancien ordre et ayant fait disposer des troupes autour de la capitale - sur l’émeute du 14 juillet 1789. Des dizaines de milliers de Parisiens, dans le désir initial d'y chercher des armes, prennent d’assaut la Bastille, forteresse et vieille prison symbole d’arbitraire.

L’épisode est connu : ils s’en emparent et délivrent les sept prisonniers qui s’y trouvent (dont quatre faux monnayeurs). Une centaine de personnes sont tuées de part et d’autre dans l’assaut dont le marquis de Launay, gouverneur de la place. Sa tête est exhibée sur une pique.

On peut dater de cet événement fondateur la fin symbolique de la monarchie absolue et, d’une certaine façon, de l’ancien régime (le rôle de l’Assemblée devient prépondérant ; la noblesse perd ses privilèges dans les semaines suivantes).

Mais le roi lui-même n’est toujours pas contesté, et fait même l’objet d’un attachement renouvelé. Les révolutionnaires eux-mêmes, Robespierre inclus, ne sont alors nullement républicains.

Ce n’est qu’après la tentative de fuite de Louis XVI vers la frontière (équipée de Varennes, juin 1791) que son image est irrémédiablement ternie et que l’idée d’abolir la monarchie fait son chemin. Sa collusion avérée avec les cours ennemies de la France feront le reste. Le palais royal des Tuileries est pris par la foule le 10 août 1792. Louis XVI arrêté et jugé. Il est guillotiné le 21 janvier 1793.




Le "14 juillet" commémore cependant bien la prise de la Bastille le 14 juillet 1789 ?
Non, en tout cas pas légalement, même si l'imaginaire français s'est révélé, à l'usage, plus audacieux que le législateur et célèbre bien cette défaite de l'ordre établi.

Fête de la Fédération le 14 juillet 1790.
Selon les débats du parlement qui l'institue près d'un siècle après la Révolution, le jour choisi commémore plutôt la fête de la Fédération qui, un an plus tard (14 juillet 1790), marque un moment de grande réconciliation nationale en présence du roi.

Ce n’est qu’en 1880, en effet, que la Troisième République commençante, en manque de symboles édifiants, établit le « 14 juillet » pour fête nationale.

Les régimes précédents avaient eu successivement pour jour emblématique celui de la naissance de la première République (22 septembre, jusqu’en 1804) la Saint-Napoléon sous les deux Empires ou la fête du roi sous la Restauration.

La Troisième République, née d’une défaite, sans date de naissance très claire et inaugurée par la répression sanglante d’une insurrection (la Commune de Paris ; au moins 20 000 tués, autant d’emprisonnements et déportations) n’avait pas dans sa propre histoire de journées bien glorieuses à commémorer. On chercha donc ailleurs.





Benjamin Raspail 
(fils du républicain François-Vincent Raspail) 
André Gill, 1877 
Gallica 



Après que furent proposées différentes dates, le député de gauche Benjamin Raspail propose celle du 14 juillet. Émoi d’une partie des parlementaires qui s’inquiètent qu’on fasse ainsi l’apologie d’une émeute.

Le rapporteur du Sénat, l’historien Henri Martin, évoque alors l’autre 14 juillet, celui de 1790. «N’oubliez pas, dit-il, qu’après la journée du 14 juillet 1789 il y a eu la journée du 14 juillet 1790. Cette journée-là, vous ne lui reprocherez pas d’avoir versé une goutte de sang, d’avoir jeté la division à un degré quelconque dans le pays. Elle a été la consécration de l’unité de la France.»

Le rapport du Sénat reprend cette option : «Nous espérons qu’aucun de vous ne refusera de se joindre à nous pour la renouveler et la perpétuer, comme le symbole de l’union fraternelle de toutes les parties de la France et de tous les citoyens français dans la liberté et l’égalité. Le 14 juillet 1790 est le plus beau jour de l’histoire de France, et peut-être de toute l’histoire. C’est en ce jour qu’a été enfin accomplie l’unité nationale. (…) Fédération, ce jour-là, a signifié unité volontaire.»

Votée le 6 juillet 1880, la loi ne comprend finalement qu’un seul article, prudemment sibyllin : « La République adopte le 14 juillet comme jour de fête nationale annuelle ».


Pascal Priestley

Mise à jour 13.07.2019 à 09:09




La fête de la Fédération

Dès la fin de 1789, la France connaît un grand mouvement de fraternisation entre villages, villes ou régions dans un élan révolutionnaire et patriotique, en des réunions citoyennes nommées « fédérations ».

« Il n’y a plus ni riches ni pauvres, ni nobles ni roturiers, écrira l’historien Jules Michelet. Les ennemis se réconcilient, les sectes opposées fraternisent, les croyants, les philosophes, les protestants, les catholiques (…) Un sentiment inouï de concorde avait pénétré les âmes ».

L’Assemblée Nationale décide de couronner ce mouvement par un immense rassemblement parisien.

Le 14 juillet 1790, anniversaire de la prise de la Bastille, 14 000 gardes nationaux venus de tout le royaume sont réunis au Champ-de-Mars dans l’enthousiasme. On jure « d’être à jamais fidèle à la Nation, à la Loi et au roi » et de « demeurer unis à tous les Français ».

« Ah ! De quel cœur il jure, ce peuple ! Ah, comme il est crédule encore », écrit encore Michelet.


COMPLEMENT SUR LE MEME SUJET:





3. La prise de la Bastille fut un acte de révolte contre l’autorité de l’État, un soulèvement du peuple, auquel participèrent les Gardes françaises, qui passèrent du côté des insurgés. Le défilé militaire est une manifestation de l’obéissance de l’armée envers les corps constitués, et le témoignage que le gouvernement tient bien en main son outil militaire, contre tout ennemi extérieur... ou intérieur !

4. La prise de la Bastille fut une manifestation de violence envers l’autorité (le gouverneur de Launay fut lynché) alors que le défilé du 14-Juillet voit les Parisiens assister avec dévotion à la descente des Champs-Élysées par le président de la République.

5. Il n’est pas anodin, il n’est pas innocent, que les troupes qui défilent viennent de l’ouest. En effet, ce fut également de l’ouest que les troupes d’Adolphe Thiers, les "Versaillais" vinrent pour écraser la Commune de Paris en avril-mai 1871. Les troupes allemandes paradèrent deux jours sur les Champs-Élysées en 1871 après la capitulation de Paris et récidivèrent en juin 1940.

• On m’a parfois objecté que la célébration du 14-Juillet n’était pas la commémoration de la prise de la Bastille, le 14 juillet 1789, mais celle de la Fête de la Fédération, le 14 juillet 1790. Il s’agit là d’un sophisme. En effet, les organisateurs de la Fête de la Fédération auraient pu choisir d’autres jours symboliques de 1789, comme le Serment du Jeu de Paume, le 20 juin, ou l’abolition des privilèges, le 4 août, ou le retour du roi à Paris, le 6 octobre.

- Néanmoins, ce fut le 14 juillet qui fut choisi car les Parisiens, et, au-delà, tous les Français, eurent le sentiment que (du fait que la prise de la Bastille ne fut pas réprimée), ce jour-là, il s’était passé un événement décisif, radical et irréversible. La preuve : le comte d’Artois, frère de Louis XVI (et futur Charles X), que l’on présente parfois comme peu intelligent, émigra dès le 17 juillet 1789, soit trois jours après la prise de la Bastille, alors que son frère Louis XVI allait encore régner, formellement, plus de trois ans (jusqu’au 10 août 1792). Il avait tout compris...

Une commémoration du 14-Juillet qui en respecterait l’esprit, devrait être comme un 1er Mai, mais un 1er mai des grandes années revendicatives, un 1er mai avec drapeaux rouges, chants révolutionnaires, revendications sociales et sociétales foisonnantes exprimées avec véhémence et slogans bien sentis. Et un 14 juillet qui se tiendrait non pas aux Champs-Élysées mais place de la Bastille...


Deuxième commentaire, du 12 juillet, à 16 h 01.

Comment se fait-il que le 14-Juillet soit commémoré par un défilé militaire et ait ainsi acquis un caractère guerrier qu’il n’avait pas au départ, en 1789 ? Cela est peut-être dû à la date à laquelle il commença à être fêté de manière régulière.

1. La première célébration eut lieu en 1880, mais sur l’hippodrome de Longchamp. Cette date est importante car elle se déroula neuf ans après une défaite douloureuse et mortifiante contre l’Allemagne.

2. On ne se représente pas à quel point, pour les Français, cette défaite fut un choc. En effet, jusque là, l’armée française passait pour la meilleure d’Europe. Or, elle fut balayée en moins d’un mois, entre la surprise de Wissembourg (4 août) et la capitulation de Sedan (1er septembre 1870).

3. Certes, la République, qui succéda à l’Empire dès le 4 septembre, sauva l’honneur en prolongeant la lutte jusqu’en février 1871, mais, en dehors de quelques succès tactiques sans lendemain (comme à Coulmiers, à Bapaume et à Villersexel), elle fut battue stratégiquement sur tous les théâtres d’opération : le long de la Loire, dans le Nord, dans l’Est, et, surtout, dans tous les grands sièges : à Paris, Metz, Strasbourg, Belfort, etc. Et elle dut abandonner trois départements et payer 5 milliards de francs-or. Ce fut là une humiliation dont la France rumina la revanche durant 43 ans.

4. La revue militaire de Longchamp fut ainsi une manière de montrer aux Français que, cette fois-ci on ne se laisserait pas faire et qu’on rendrait coup pour coup aux Allemands.

5. Cette première célébration, en 1880, eut lieu cinq ans après l’amendement Wallon (en janvier 1875), qui officialisait la République, ce qui était important puisque, jusqu’en 1873, les monarchistes eurent encore, avec le comte de Chambord, l’espoir d’une restauration. Et que ce ne fut qu’en 1883 que ledit comte de Chambord mourut en Autriche. Il fallait donner du prestige à la République et prouver que celle-ci savait - et saurait, mieux que l’empire, mieux que la royauté - défendre le pays et la patrie.

6. Ce défilé était (peut-être) aussi destiné à présenter au peuple un autre visage que celui où l’armée s’était "illustrée" en dernier (à savoir l’écrasement de la Commune, en mai 1871), et à montrer à la bourgeoisie républicaine qu’elle avait l’instrument militaire bien en main, soit pour réprimer les grèves (comme à Fourmies, en mai 1891), soit pour reprendre en main un régiment mutiné (le 17e à Béziers, en 1907), soit pour écarter un général aux velléités putschistes (Boulanger en 1889), soit pour imposer à l’armée une décision dont, au départ, cette armée ne voulait pas (réhabilitation de Dreyfus, en 1906).

7. Ce caractère militariste et cocardier ne put qu’être confirmé (et même renforcé) par les deux guerres mondiales qui suivirent.

8. Il le fut aussi, sans doute, de façon paradoxale, par les deux défaites qui suivirent (Indochine et Algérie) ainsi que par la perte de certains attributs de prestige international : fin de l’empire colonial et absorption de pans de souveraineté dans des institutions plus vastes : Communauté européenne, OTAN. Et il le fut enfin par l’état de paix qui règne sur le continent européen (du moins à l’ouest) depuis 1945. On semble d’autant plus fasciné par l’armée qu’il n’y a plus de péril ni allemand (comme en 1914 et 1939), ni soviétique (comme jusqu’en 1989).

Philippe ARNAUD

URL de cet article 35113 
https://www.legrandsoir.info/remarques-sur-le-defile-du-14-juillet.html

   




















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pendant la vie d'Edouard Vaillant





NOTRE PRESENCE (EVENTUELLE) DANS LES SALONS DU LIVRE 
OU LIEUX DE DEDICACE


Sainte-Thorette (18)
Médiathèque
(dimanche 28 juillet, 11h-17h)

Châteaumeilland (18)
Salle des fêtes
(samedi 24 août, 14h-19h)
LE DOMAINE DE L’ACTEUR
À partir de 14 heures salle des Fêtes
SALON DU LIVRE ET DE LA LECTURE
Présence prévue d’une trentaine d’auteurs régionaux avec lectures par

des acteurs de textes d’auteurs présents


Souesmes (41)
Clairière aux livres entre Sologne et Berry
(dimanche 6 octobre, 10h-18h)

















Rentrée littéraire de septembre 2016 
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Tome II : Le grand socialiste.



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Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  



Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 

Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




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L'EDITEUR







LES POINTS DE VENTE LOCAUX


18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)
(hélas fermé depuis le 21 juillet, malgré un grand soutien local, dont le nôtre)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)




 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)

Bourges 

 La Poterne (41 rue Moyenne)



 Point Virgule (46 rue d'Auron)



Cultura Saint-Doulchard
(mystérieusement exclu depuis 2016)


 Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)

Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).













Henrichemont 

 Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)








36

Châteauroux 

 Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)





Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski. 





Issoudun 


 Centre commercial Leclerc(Rue de la Limoise)





Il y a aussi le livre sur le berrichon de notre président Michel Pinglaut 


COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

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20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE




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La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.



                                                                                                              (Vaillantitude)



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