mercredi 14 août 2019

L’EXPRESS FUSTIGE


la connerie des pauvres. 


 




De la Commune de Paris à aujourd’hui,
une concordance des temps versaillaise

Et l'indice vaillantitude de satisfaction pour ce contenu ne peut être que minimum




Il fallait bien une contre-attaque versaillaise : sur les réseaux sociaux et dans une presse « alternative » ( ?), fleurissent décidément beaucoup trop de références anti-macron adossées à la Commune de Paris, ce fantôme de l’Histoire qui menace de plus en plus dangereusement de sortir du placard où on l’a enfermé depuis près d’un siècle et demi. Et sur ce blog même, vous savez qu’il m’est arrivé plus d’une fois de tenir ma partie en faveur des « néo-communards »…


Il est clair, pour les bons apôtres de la macronie - ces tartuffes trop contents que Molière soit tout à fait mort - que les pauvres seraient bien plus heureux s’ils se laissaient tondre sans protester (air -trop - connu). 


Mais c’est bon Dieu bien sûr ! Ce ne sont pas les possédants de l’époque qui l’ont soutenu qui sont responsables de l’accession et du maintien de Thiers au pouvoir, mais ce sont bien les pauvres, qui l’ont combattu. Qu’on se le dise une bonne fois pour toutes ! 
Il est surtout grand temps d’enseigner la Commune correctement à tous les lycéens de France et de Navarre…

 Les médias macronistes (c’est devenu un pléonasme vu les liens consanguins de propriétés qui les caractérisent) ont retenu la leçon d’Orwell, non pas pour s’en servir à seule fin d’élever le niveau de la moralité ambiante, mais au contraire pour en tirer profit le plus cyniquement possible. 


Eléments de langage : 
Les pauvres sont trop cons 
-Ils se font facilement avoir, (c’est sûrement vrai pour ceux qui ont voté Macron, mais ça, il ne faut pas le dire, ça ne compte pas) 
- Ils n'ont pas de pain… et ils ne pensent même pas à la brioche
- La preuve qu’ils n’ont pas de goût : ils se nourrissent de malbouffe et deviennent obèse (même pas cinq fruits et cinq légumes bios par jour, comme conseillé pourtant).

Quant à l’esthétique, n’en parlons pas: 
- N’exhibent-ils pas dans leur salon un cerf ou une biche relevant de l’art industriel, au lieu d’un Rembrandt ou d’un Degas ?
- Ne font-ils pas exprès d’aller sans dents, trop paresseux qu’ils sont pour aller chez le dentiste ?

Les riches, eux, sont en revanche bien trop intelligents pour eux, qui les trompent et les répriment. Avec bonheur, avec facilité… C’est même presque trop facile : ça gâche un peu le plaisir… (les massacrent, aussi, à l’occasion, même si on peut admettre du bout des lèvres que c’est peut-être un peu rudement…).


Seraient-ils, ces puissants, sous un autre point de vue, tout simplement des salauds qui abusent lâchement de leur pouvoir ? La question, bien sûr, ne sera pas posée. Ils sont au contraire gratifiés de « courageux » quand ils oppriment les faibles et flattent leurs pairs maîtres de tous les pouvoirs qui comptent… Le courage d’être du bon côté du manche: novlangue oblige. 

Ainsi va, à travers les siècles, la haine des pauvres et des classes dangereuses, et la complaisance à l’égard des puissants. 
A part ça, la lutte des classes, ça n’existe évidemment pas…

Théorème de l’Express : 
Les puissants sont intelligents quand ils oppriment le peuple.
Le peuple est intelligents quand il se laisse opprimer. 

Eh bien non, désolé de décevoir, mais ça ne marche pas du tout comme ça ! 


Bon, maintenant qu’on vous a fourni l’antidote, vous pouvez vous risquer à lire le propos qui suit sans trop redouter le venin qu’il distille.

D’autant plus que ce faisant, ironie suprême, le chroniqueur ne se rend même pas compte qu’il en vient, bien involontairement mais aussi très efficacement, à accréditer d’une autre manière l’analogie malfaisante Thiers-Macron… 
Et ça, c’est un plaisir de gourmet.

https://blogs.lexpress.fr/histoire-politique/2019/08/10/les-vrais-gagnants/







L’agitation de ces derniers mois a réveillé dans les médias la référence à la Commune de Paris de 1871. Il est bien certain que le niveau de violence atteint par cet événement et la cruauté de sa répression interpellent, mais s’est-on vraiment posé la question de la portée historique réelle (et loin du mythe) de cette insurrection, des conditions objectives de son éclatement, des conséquences politiques qu’elle a entraînées,  qui s’avèrent très éloignées des intentions de ses promoteurs et même de l’idée que beaucoup s’en font encore cent cinquante ans après les faits? Une brève mise au point (!!!) n’est peut-être pas inutile ni exempte d’enseignements. Rappelons en donc les circonstances.
(Tout le monde se trompe, et seul le rédacteur va dire la vérité)

En 1870, rien en France ne laisse supposer une situation pré-révolutionnaire. Le 8 mai, un plébiscite à scrutin secret a approuvé de manière écrasante les réformes du régime impérial (plus de 7 millions de « oui » contre un million et demi de « non » et moins de deux millions d’abstentions). Le peuple rural, majoritaire alors, soutient et conforte Napoléon III. Si, quatre mois plus tard, le putsch du 4 septembre proclame à Paris la République, c’est la conséquence de la défaite militaire dans l’imprudente guerre engagée contre la Prusse : comme soixante-dix ans plus tard, en 1940, le désastre de Sedan offre l’occasion de renverser le régime.



Fort bien, mais  purement circonstancielle, cette démarche est loin de faire l’unanimité dans une France que le plébiscite de mai vient de montrer plutôt conservatrice. Paradoxalement, c’est donc la droite monarchiste qui profite de la situation et l’assemblée, élue dans des conditions difficiles et qui se réunit à Bordeaux avant de rallier Versailles après l’armistice, écarte les leaders républicains parisiens pour les remplacer, à la tête de l’exécutif provisoire, par Adolphe Thiers, ancien ministre de Louis-Philippe. Plus que la perspective de république démocratique portée par toute une fraction de la gauche sous l’Empire, c’est la restauration de la monarchie qui se profile.



Y a-t-il calcul des nouveaux dirigeants? Sans entrer dans la théorie du complot, l’idée de discréditer la République en occasionnant des troubles, spécialement dans la capitale, ranimant ainsi l’équation République/Paris/désordre, n’est pas à exclure du côté de Thiers et des conservateurs. Elle expliquerait les provocations du pouvoir de Versailles à l’égard de la population parisienne, exténuée par le terrible siège qu’elle vient de subir, mais il faut alors constater qu’elle trouve un allié inattendu dans l’irresponsabilité de l’extrême gauche, qui prend, au printemps 1871, l’initiative déraisonnable de tenter à Paris une révolution sociale quand il est évident qu’elle n’a aucune chance sérieuse d’entraîner l’ensemble de la nation.



Mythifiée au XXème siècle par le socialisme marxiste, la Commune de Paris (mars-mai 1871) est en réalité un affreux gâchis qui va se solder par la mort de milliers de pauvres gens, dont l’exaspération légitime au lendemain du siège de la ville est instrumentalisée par une poignée de doctrinaires radicaux. Convaincus contre toute évidence que si Paris donne le signal de la révolution sociale, le reste de la France suivra, ceux-ci exploitent la colère populaire quand il aurait fallu la calmer et tombent sans coup férir dans le piège que leur tendent Thiers et le gouvernement de Versailles. Constituant ( un souvenir de 1793) une Commune insurrectionnelle dont les capacités d’action ne dépasseront jamais l’enceinte fortifiée de la capitale, se perdant en chamailleries idéologiques alors que les « Versaillais » de l’armée régulière s’apprêtent à donner l’assaut, ils finissent par n’avoir comme unique issue qu’une défense aussi héroïque que vaine face à un adversaire faisant preuve d’une implacable férocité. Le bilan final est de 30 000 morts, une impitoyable répression qui ajoutera d’autres victimes et la dévastation de Paris, dont nombre de monuments publics ont été incendiés. Quant au résultat politique, il se traduit par le renforcement des conservateurs et le discrédit jeté sur le projet républicain, exactement ce que souhaitait Thiers.


(Aveu: la République était donc à Paris, pas à Versailles)

Discrédit durable et qui manque avoir raison de la République. Si la monarchie n’est pas rétablie durant la décennie 1870, c’est surtout parce que l’impasse constituée par la discorde entre les princes de la Maison de France, (le petit-fils de Charles X et le petit-fils de Louis-Philippe), fait perdre trop de temps et que la nécessité de sortir du provisoire conduit à promulguer, en 1875, non pas une vraie constitution, mais un ensemble ambigu de « lois constitutionnelles » où le mot même de « république » entre en catimini, par le biais d’un amendement voté à une voix de majorité !

Il faudra presque une décennie pour donner à la gauche républicaine le temps de convaincre l’opinion. 
(Quelle "gauche républicaine"? Celle qui fut vaincue à la Commune, dont il fut question jusqu'ici, ou une autre, qui viendrait d'où?... Toute la question est là, mais ne sera pas posée) 
Ce n’est qu’au terme de la conquête des deux nouvelles chambres par une majorité républicaine, en 1879, que la IIIème République sera effectivement fondée.


(Tout cela pour en venir à la fausse analogie qui suit: la monarchistes conservateurs de 1871 verraient leur correspondants modernes dans la démocratie libérale!)

En quoi le rappel de ces réalités (!!!) peut-il avoir aujourd’hui une valeur exemplaire? Peut-être parce qu’au moment où, un peu partout, la démocratie libérale héritée des révolutions anglaise et française des  XVII° et XVIII° siècles est contestée, sinon menacée, nous voyons se multiplier les attaques du «système», de «l’oligarchie», des privilèges ou des prébendes supposées. Non que des exigences de moralisation ne soient pas légitimes, mais inventer chaque année une « affaire d’été » qu’on veut transformer en affaire d’Etat ne contribue-t-il pas à servir des forces qu’on prétend d’autre part combattre? 

(Vient ici, dans la logique de cette analogie boiteuse, l'aveu involontaire qui tue: Macron est dans le rôle du Thiers moderne)

De la même façon que les doctrinaires de la Commune faisaient à leur insu le jeu de Thiers et des monarchistes, certaines officines médiatiques promptes à dénoncer des « scandales » oubliés six mois plus tard, mais qui entretiennent dans l’opinion les thèmes du « tous pourris » ou des « élites coupées du peuple », cautionnent de fait l’argumentation du populisme d’extrême droite. Mme Le Pen n’a pas  à se donner de mal, elle dispose là d’agents électoraux aussi zélés qu’irresponsables.

(On croit retomber sur ses pieds en introduisant une autre piste. Errance des concepts, dirait Roland Barthes. Les politiques libérales, et Macron en France, suscitent ces populites d'extrême droite, mais il faut absolument en rendre responsables ceux qui les combattent. Extravagant sophisme!)

Certes, fort heureusement, tout cela est moins sanglant et moins atroce que ne le fut la Commune de 1871 mais le résultat est le même : la myopie politique d’idéologues sans envergure donne à la réaction les moyens de gagner à terme la partie.

(CQFD, et voilà pourquoi votre fille est muette! Le sanglant et l'atroce ne doivent rien à Thiers et les siens, mais doivent tout aux victimes. Il fallait y penser : quand des tortures sont infligées, ne blâmons pas les bourreaux, blâmons d’abord les victimes. Le darwinisme social est ici largement dépassé. 
Bien joué? Enfin, il le croit peut-être... Reste que la réaction qui gagne la partie, en l'occurrence, ça désigne Macron et son gouvernement. 
La voilà donc, cette fameuse révélation qui prétendait faire litière de toutes les recherches historiques antérieures. 
En voulant nous démontrer que le mal est toujours la faute de l’extrême gauche, hier comme aujourd’hui, il nous a surtout convaincu que le mal, c’était hier Thiers et c’est aujourd’hui Macron. 
Pas mal, pour quelqu’un qui fait profession de se moquer de ceux qui n’atteignent pas le but qu’ils se proposaient d’atteindre.
Outre cela, il nous donne quitus de points que nos contradicteurs habituels ne nous concèdent pas aussi facilement, comme Thiers pas du tout républicain, ou la République démocratique et sociale seulement à Paris, ou encore  l'ampleur et la férocité de la répression. 
Enfin, du point de vue de son camp, cet article vérifie la morale de La Fontaine: "Mieux vaudrait un sage ennemi").  


Besoin, voire désir, de davantage d'antidote?... Pas de problème, voyez par exemple ceci, avec Courbet:






Une « riposte » aux célébrations en grande pompe
Cela a amené à la « riposte » de vendredi. Car au-delà de l’artiste, c’est aussi le militant «Communard sans concessions, mort ruiné en exil» qui devait être réhabilité pour les participants. Déjà, le 8 mai dernier, lors du rafraîchissement bénévole de sa sépulture, certains exprimaient leur «dégoût d’un viol mémoriel» à propos des célébrations en grande pompe du bicentenaire de sa naissance.

Logiquement, cette date était donc pétrie de symbolique. La convergence, fixée à 20 h au parking d’Alstom, le confirme d’emblée. Banderoles et pancartes étaient explicites : soutien aux salariés de Général Electric Belfort, reprise du célèbre « Désespéré » proclamant «la Commune n’est pas morte», ou encore la formule «Thiers ou Macron, Courbet déteste les Versaillais.» Environ 150 personnes ont répondu présentes, incluant des Ornanais, des Bisontins, et des Jurassiens. Un nombre élevé pour une « nocturne » hors des grosses villes : l’effet Courbet ?



http://www.factuel.info/article/ornans-hommage-communard-courbet-aurait-ete-gilet-jaune-005869

Ou encore:




Ci-après je donne le twitt de Renaud Dély, une petite crapule journalistique qui est passé de Libération à L’obs, et qui aujourd’hui remplace Aphatie sur France Inter. Il traite les gilets jaunes qui ont crié ce slogan, de vermine. Ce menteur de profession en s’attaquant lâchement aux gilets jaunes s’évite de penser par lui-même et donc de s’interroger sur ce qu’il y a de plus important derrière cet écran de fumée : la dérive fasciste de Macron. Qu’est-ce qui en effet peut bien justifier aux yeux de Dély les tabassages, les gazages, les tirs de LBD40, les gardes à vue arbitraires ? Il ne se pose pas la question, en bon Versaillais, il dénonce les « gueux » qui osent insulter des robocops surarmés. 

Arrestations de journalistes, tabassages, gazages, c’est la marque d’un régime impopulaire. Ils frappent même les street medics, détruisent les portables, confisquent le matériel des journalistes.  Le bloc bourgeois se ressoude autour de la milice de Castaner et de la justice façon Belloubet. Ça me fait penser à Vichy, mais peut-être plus encore aux Versaillais qui ne rêvaient que de détruire les Communards et qui l’ont fait, au nom de la défense de la République, bien entendu. Certes il n’y a pas encore de déportations, mais au train où vont les choses, ça ne saurait tarder. J’ai déjà vu plusieurs twitts macroniens réclamant la réouverture du Bagne. Mais en réalité les éditocrates couvrent le coup d’Etat de Macron qui a eu lieu très exactement le 10 décembre 2018, quand, au lieu de négocier une sortie de crise, il a choisi l’affrontement et le pourrissement. Mais cela Dély ne vous en parlera pas, d’ailleurs il ne s’en est pas rendu compte. Il préfère jouer les indignés contre la partie la plus faible de la population. Ça lui plait d’être du côté du manche. Il rejoint dans l’ignoble le ventripotent Cohn-Bendit qui en 1968 hurlait CRS = SS, et qui aujourd’hui approuve la répression des gilets jaunes. Comme disait le jeune Marx, « Il faut rendre la honte plus honteuse en la livrant à la publicité ». 



http://in-girum-imus.blogg.org/le-courage-des-gilets-jaunes-la-lachete-de-la-milice-a-castaner-et-cel-a161894270






















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 ce qui s'est passé un
14 août
pendant la vie d'Edouard Vaillant





NOTRE PRESENCE (EVENTUELLE) DANS LES SALONS DU LIVRE 
OU LIEUX DE DEDICACE



Souesmes (41)
Clairière aux livres entre Sologne et Berry
(dimanche 6 octobre, 10h-18h)

















Rentrée littéraire de septembre 2016 
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome II : Le grand socialiste.



500 p.  19,80 €
560g  
les 2 volumes 1044g 





















vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  



Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 

Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




TOUTES NOS DATES IMPORTANTES




Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.



374 p.  18,80 €
484g  
les 2 volumes 1044g 








L'EDITEUR







LES POINTS DE VENTE LOCAUX


18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)
(hélas fermé depuis le 21 juillet, malgré un grand soutien local, dont le nôtre)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)




 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)

Bourges 

 La Poterne (41 rue Moyenne)



 Point Virgule (46 rue d'Auron)



Cultura Saint-Doulchard
(mystérieusement exclu depuis 2016)


 Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)

Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).













Henrichemont 

 Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)








36

Châteauroux 

 Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)





Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski. 





Issoudun 


 Centre commercial Leclerc(Rue de la Limoise)





Il y a aussi le livre sur le berrichon de notre président Michel Pinglaut 


COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE




DOSSIER DE PRESSE





La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.



                                                                                                              (Vaillantitude)



La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 



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