Hommage à notre Ami Jean Chatelut
Notre association était représentée aux obsèques du 1er février par notre co-président de l’Indre Jean Annequin.
C’est le titre de son billet d’hommage que nous empruntons pour titrer cette page, et c’est son texte que nous plaçons en ouverture d’un hommage qui a vocation à devenir collectif.
Au beau souvenir de Jean
Si j’étais croyant, je bénirais la Commune de Paris et comme je ne le suis pas, je vais seulement et simplement lui dire merci. C’est grâce à l’intérêt porté au printemps parisien de 1871 que j’ai vraiment « rencontré» Jean il y a cinq ans, lui qui partageait ce même intérêt depuis bien plus longtemps que moi : différence d’âge certes mais aussi de maturité intellectuelle, celle qui a fait de Jean ce qu’il a été, un connaisseur incroyable en tout, arts, architecture, musique, littérature, culture, histoire : talent immense qu’il mit au service de son beau village de Saint Benoit du Sault durant quatre mandats consécutifs comme maire. Certes j’avais bien entendu son nom cité dans la belle-famille de la part de mes beaux-parents ardents communistes mais sans y faire trop attention : nageant (trop) longtemps dans d’autres eaux touchant le sport et, par forte curiosité, m’intéressant à d’autres périodes historiques, nos routes ne se sont pas croisées d’autant plus que Jean avait mis de côté durant des années son envie d’écrire sur la Commune et que moi-même j’avais donc « marginalisé » un temps mon désir de connaissance plus approfondie de cette période. Aussi cette rencontre va-t-elle vraiment commencer que fin 2014-début 2015 me permettant de côtoyer enfin Jean, personnalité bien reconnue, mais, hélas, sans avoir une idée claire de son passé et de sa vie. Ressortant aujourd’hui mes notes et liens conservés de ce moment que je pressentais privilégié, je relis ce message de Jean le 21 janvier 2015 qui fait réponse au mien débutant nos échanges: moi, avec mes premières recherches sur les natifs de l’Indre ayant participé à la Commune ; Jean en voie de lancer ses recherches pour enfin réaliser son objectif rêvé avec son ouvrage sur les maçons communards du Berry, Marche et Limousin . Et toujours avec sa grande diversité intellectuelle évoquant le cercle Gramsci de Limoges qu’il me disait avoir contribué à sa création des années auparavant et où il continuait à agir. Le fil se noua tout naturellement durant toute l’année 2015. Nous nous sommes retrouvés aux archives de la Creuse où, entre autre, un fonds que j’avais signalé à Jean (je l’avais découvert en parcourant un remarquable livre sur les natifs creusois) comportait tout un listing d’insurgés de l’Indre avec ceux de la Creuse et de la Haute-Vienne : exactement ce que je cherchais et ce que Jean cherchait. Je me souviens les temps communs passés, quasi seuls, dans la grande salle ouverte au public observant un couple unique: moi, travaillant sur le contenu des imposants cartons et Jean avec son indissociable épouse Jacqueline, côte à côte, prenant un cliché de chaque fiche que lui présentait Jacqueline : une image de pleine complicité que seul le passé pouvait expliquer. Travail minutieux dont il allait me faire bénéficier. Le 17 juin, son message évoquait très brièvement ses problèmes de santé (datant d’une quinzaine d’années) dont il ne parlait que très peu me sollicitant pour une confrontation de nos recherches respectives. Quelle fierté alors de cette proposition de Jean qui m’encourageait en permanence ! La rencontre eut lieu le 17 septembre chez Jean à saint Benoit : après-midi de travail, d’échanges avec Jacqueline toujours proche et discrète. Cinq heures durant de partage autour de la Commune avec un repas préparé par Jean lui-même avec simplicité et convivialité, comme il le fit si souvent durant ses mandatures dans son village. Et sa bibliothèque…magnifique, parlante…2016 fut l’année pour Jean de la sortie de son si bel ouvrage sur les maçons de la Commune. Mais quelle stupeur mêlée de gratitude quand, dans l’introduction, Jean me cita comme un des éléments déclencheur de sa relance d’écriture de par la simple info donnée et notre quête commune. L’ouvrage achevé, il parut et Jean en fit sa promotion dès mai lors d’un beau café communard à Bourges autour des amis berrichons. De passage, Jean s’arrêta un soir à mon domicile toujours avec Jacqueline : moment humain intense tout en délicatesse m’encourageant à nouveau à produire sur la Commune et me chargeant de suivre les dépôts de son livre ; il parla aussi de ses milliers de kilomètres parcourus pour visiter les petits villages étant membre éminent du jury national pour les plus beaux villages de France. Lancé dans mes premières conférences, Jean fut cette année-là à mes côtés à Issoudun en juin pour l’exposition sur la Commune ; en octobre à Issoudun encore pour ma deuxième conférence me faisant de judicieuses remarques aussitôt prises en compte en changeant la trame de mes communications suivantes. Mais 2016, c’est aussi en juillet le décès de Jacqueline, son double : obsèques sous le soleil que Jean organisa avec minutie et un calme apaisant me sollicitant pour prendre la parole et évoquer aussi Jacqueline. Bien que la connaissant très peu mais quêtant des éléments de sa vie et surtout m’en tenant à mes vives impressions de rencontre, j’arrivais à faire un court texte que Jean apprécia. Puis le verre de l’amitié dans sa maison avec ses enfants, Jean allant de l’un à l’autre avec son sourire permanent. Avec son livre sorti, Jean avait réalisé son rêve, et avec Jacqueline partie, Jean avait perdu une partie de lui-même. L’année 2017 fut difficile pour Jean confronté à des déplacements incessants pour ses rendez-vous médicaux s’excusant par mot auprès de moi de n’être pas à la conférence de La Châtre ; Jean ne pouvait plus venir à nos réunions berrichonnes. Et pourtant il était avec nous en juin 2018 à Issoudun pour l’assemblée générale du comité : on le voit sur la photo prise à l’Espace Marie Mercier, casquette sur la tête, puis partageant notre repas pour notre plus grand plaisir.
Son dernier mot à notre intention date du 20 avril 2019 …la terrible souffrance est là, pernicieuse et dévorante. Puis la nuit sombre, nous devinions sans le dire … avant son décès et ses obsèques ce samedi 1ier février 2020. Ah, ces obsèques déchirantes et la deuxième vraie découverte. J’ai pris ce jour pleinement conscience de l’énormité de son parcours, de ses engagements, de ses convictions, de sa vie mais aussi des violentes cassures morales subies que je connaissais mieux. Mes trop courtes années de proximité grâce à la Commune ne représentaient pas grand-chose en face d’un tel chemin : ses nombreuses et si anciennes amitiés qui multiplièrent souvenirs, anecdotes, mots de Jean faisant exploser l’esprit avec, affiché, son visage digne et franc nous fixant avec une bonté désarmante. Un vertige continu.
Et que de regrets intenses m’envahissant pour être passé trop à côté d’une telle personne…mais aussi, pour ne pas me noyer, quelle chance extraordinaire d’avoir croisé Jean même de façon trop courte et d’avoir eu son amitié. Combien faut-il de vies pour ne rien rater des êtres qui bousculent les pensées et qui écorchent trop bellement le cœur ? On ne sort jamais indemnes d’une telle secousse, source naturelle d’introspection.
Les derniers mots de Jean avril 2019 :
« Chers Jean, Michel et également tous les camarades
Hospitalisé depuis plusieurs mois…je sus dans l’obligation de suspendre ma contribution aux associations ce qui ne m’empêchera pas de participer à vos actions quand elles me seront possibles…ne sachant pas encore comment organiser cette situation….sachez surtout que mon attachement à la Commune demeure entier de même que mon amitié pour vous tous.
J.Chatelut »
Le 4 février 2020
Jean Annequin
Les photos qui suivent ont été prises à l'occasion de l'exposition de 2016 à Issoudun.
Texte prononcé par Jean Annequin aux obsèques de Jean Chatelut:
Samedi 1er février 2020 Saint Benoit du Sault
HOMMAGE À JEAN CHATELUT
L’Association nationale des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871 et le Comité du Berry Indre/Cher adressent à la famille de notre ami Jean, sa fille Anne et son fils Etienne, ses profondes condoléances empreintes d’une immense tristesse lui témoignant sa plus vive sympathie en ce jour de deuil si douloureux. Toutes nos amies et tous nos amis, berrichons et parisiens, sont particulièrement touchés par la disparition de Jean, figure éminente de notre association, présent à la fondation du comité local et participant à son activité.
Les raisons de l’intérêt porté par Jean à l’histoire de la Commune de Paris recoupent étroitement ses différents engagements citoyens et traduisent ses fortes convictions qu’il savait transmettre avec justesse et clarté. Jean ne pouvait donc que se reconnaître dans les idéaux du printemps parisien 1871 : la démocratie la plus authentique à tous les niveaux; la justice sociale ; les droits égaux pour toutes et tous, femmes comme étrangers ; la culture pour tous ; la laïcité de la société; l’école laïque, gratuite et obligatoire. Mais qui pourrait témoigner le mieux de cet intérêt né alors qu’il était étudiant à Paris que les maçons de l’Indre, de la Creuse et de la Haute-Vienne montés dans la capitale en 1871 et insurgés de la Commune ? Eux que Jean a sortis de l’ombre dans son livre référence « La Commune de Paris 1871 avec les ouvriers maçons des confins Berry, Marche et Limousin » dont la parution lui tenait tant à cœur tout comme à son épouse, Jacqueline, pour qui nous avons une belle pensée aujourd’hui. Eux représentatifs de ces milliers de femmes et d’hommes venus de la province - 2/3 des Communardes et Communards - et plongés dans le bain bouillonnant des 72 jours de la Révolution parisienne : le Peuple des inconnus, des sans-voix, des sans-nom ; les gens dits de rien, les oublié-e-s de l’histoire et pourtant celles et ceux qui ont fait et font notre histoire. Jean a finalisé une quête essentielle : redonner vie et existence à des gens du Peuple, travailleuses et travailleurs manuels, ouvrières et ouvriers aux multiples métiers qui, pour un très grand nombre, subiront dignement une terrible répression, une marginalisation sociale et un oubli complet. La sensibilité de Jean se retrouve dans cet ouvrage : à travers le chemin de ces maçons, travailleurs et migrants, que l’on suit dans les ruelles sombres de Paris, dans leurs garnis, sur la place de Grèves, Jean fait transparaître autant les sentiment de misère que les actes de solidarité dont il avait pleine conscience dans la société actuelle. De même, les courts commentaires de Jean après certains témoignages de procès retranscrits expriment toute son humanité face à l’avilissement des insurgé-e-s emprisonnés, particulièrement les femmes, écho aux dégradations humaines insupportables du temps présent.
Jean a ainsi participé à repenser l’histoire par le bas et à la réécrire au plus près de la réalité des vies: il a fait de l’histoire populaire si rare alors qu’elle est l’essence d’une civilisation. Sollicité pour présenter son ouvrage, Jean a brillamment animé un café communard à Bourges et a proposé des causeries captivantes en Indre, Creuse et Haute-Vienne. Jean avait aussi montré le chemin de l’édition régionale, insuffisamment reconnue et bien méritante, qui a toute sa place aux côtés des éditions nationales, voire internationales. Jean, tu as rejoint ainsi la constellation lumineuse des chercheurs qui, selon ta philosophie philanthropique, éclairent le cercle des connaisseurs.
Ami-e-s de la Commune, nous renouvelons nos marques d’affection à toute la famille et resterons dépositaires moraux de l’oeuvre de Jean. Nous perdons un ami et un grand Monsieur. Nous te rendons un dernier hommage, Ami Jean, à la façon des Communeuses et Communeux du Paris libre de 1871 lorsqu’ils se croisaient et dans un élan de bonheur clamaient: « Salut et Fraternité », en notre nom à nous toutes et tous mais aussi au nom de ces milliers d’ombres, humbles et anonymes de la Commune, qui t’ont accompagné dans ton écriture et qui, aujourd’hui, t’entourent, silencieuses et silencieux.
Paroles prononcées par Michel Pinglaut à l'occasion des commémorations Vaillant au cimetière de Vierzon-Ville:
Les Amies et Amis berrichons de la Commune de Paris-1871 sont paticulièrement touchés par la disparition d'un de leurs membres fondateurs, qui suivait avec assiduité et compétence nos réunions de travail et nos Assemblées Générales.
Nous nous souvenons du café communard qu'il avait brillamment animé, à Bourges, avec générosité et savoir, dans l'espace protégé des Marais de Bourges. Son livre sur la Commune de 1871, sur les ouvriers maçons du Berry, Marche et Limousin a été déclencheur pour notre comité local. Cher Jean, chercheur émérite, tu nous as confortés sur la présence importante sur les anonymes ou méconnus de province qui ont participé à cet évènement, lien entre Paris et province.
Jean , tu nous a aussi montré le chemin de l'édition régionale sur ce sujet, qui a toute sa place, aux côtés des éditions nationales, voire internationales. Ton ouvrage fait référence. Jean, tu as rejoint la constellation lumineuse des historiens, qui, selon ta philosophie philantropique, élargissent le cercle des connaisseurs.
Nous perdons un grand Monsieur, personnage historique .
Jean Chatelut était de ces gens dont l’estime importait.
Je l’ai peu connu, et (trop) tardivement, aussi je ne me risquerai pas à ajouter quoi que ce soit d’important à ce qui a été dit, et bien dit, par ceux qui l’ont plus intimement fréquenté.
A ce propos, je constate que la qualité de ces hommages en font des textes, non pas transitoires et circonstanciels, ce qui eût par ailleurs été bien légitime, mais exprimant dans la continuité la nature de notre association, de nos engagements et de nos actions : il me semble à ce titre qu’il sera opportun de s’y référer régulièrement dans le futur, à chaque fois qu’on sera interrogés et qu’on s’interrogera nous-mêmes sur le sens de ce que nous entreprenons.
Je ne veux retenir à titre purement personnel, et comme me parlant à moi-même en cette occasion, qu’un instant très bref, à la fois banal et inoubliable.
C’était lors du café communard de Bourges, quand Jean s’est tourné vers moi pour me dire : « Tu fais un super boulot avec tes livres sur Vaillant et ton blog ». Ceux qui le connaissent bien comprennent tout de suite que ce ne sont pas là les paroles exactes qu’il avait prononcées : il s’exprimait avec un autre registre de langue. Simplement, ses paroles exactes, je les ai oubliées, et je n’en ai retenu que le sens.
Ce que je n’oublierai jamais en revanche, c’est le regard et le sourire qui les accompagnaient.
Ils disaient on ne peut plus éloquemment, dans leur langage silencieux, exactement ceci : « Tu es bien des nôtres, et j’en suis très content. » Depuis ce temps, ce regard et ce sourire ne m’ont plus jamais quitté, et tiennent une place privilégiée parmi mes amis les plus précieux.
Jean-Marie Favière
Pour retrouver Jean Chatelut dans notre blog (pages principales, car il a évidemment été mentionné à d'autres reprises, notamment lors des conférences de Jean Annequin):
L'hommage à Vierzon
Un combat de Jean que nous avons relayé
Sa conférence en Creuse
Compte rendu de son livre par Jean Annequin
A l'exposition du 4 juin 2016 à Issoudun
pppp
A notre Assemblée générale à Lignières
(contribution de Jean pour article de bulletin paru)
EDITER LA COMMUNE EN PROVINCE
1) Comment s’est faite la rencontre auteur-éditeur et l’élaboration : quelles contraintes ?
L’auteur est membre d’une association dont l’objet est d’éditer des ouvrages intéressant la région. Les contraintes sont essentiellement l’obligation d’être particulièrement exigent pour le contenu et la mise en forme du livre puisqu’il n’y a pas confrontation avec un œil critique extérieur. Les avantages sont évidemment d’échapper à des demandes contredisant les intentions de l’auteur.
2) Comment s’est opérée la diffusion ?
Par la visite des librairies et des points de vente de livres et journaux jusques dans les plus modestes villages (maisons de la presse, superettes et même cafés…) et en proposant un dépôt de quelques livres. La difficulté est le suivi de ces dépôts très nombreux, et aussi par la tenue de rencontres avec le public, rencontres sur le thème traité ou foires aux livres généralistes qui se multiplient actuellement
3) Quel retour concernant l’intérêt des lecteurs ?
Il est évidemment très divers. Dans le cas particulier du livre sur les maçons communards, il va de la demande d’informations concernant des personnes, les plus nombreuses jusqu’à la proposition de monter une exposition sur le sujet (y compris à l’occasion d’une fête de village comme c’est le cas pour l’été prochain)
Cliquez sur le calendrier pour découvrir
ce qui s'est passé un
4 février
vaillantiser v tr dir
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin.
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.
Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même."
Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant".
Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin vaillantise."
N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc.
Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement.
TOUTES NOS DATES IMPORTANTES
Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.
374 p. 18,80 €
484g
les 2 volumes 1044g
L'EDITEUR
LES POINTS DE VENTE LOCAUX
18
Vierzon
Espace culturel Leclerc (48 avenue de la République)
Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)
Désormais dernière Maison de la presse à Vierzon |
Photo: http://vierzonitude.fr.over-blog.com/2018/10/la-librairie-presse-du-mouton-dernier-specimen-d-une-espece-presque-eteinte.html |
LA LIBRAIRIE
Bourges
La Poterne (41 rue Moyenne)
(mystérieusement exclu depuis 2016)
Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)
Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).
36
Châteauroux
Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)
Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski.
Issoudun
COMPTES-RENDUS DU LIVRE
11 3 16 JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS
29 2 16 HENRICHEMONT GIBLOG
1 11 15 MAGAZINE A VIERZON
20 10 15 DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE
28 08 15 BLOG VIERZONITUDE
DOSSIER DE PRESSE
La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national.
(Jean Jaurès)
Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.
(Vaillantitude)
La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul.
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