mardi 21 janvier 2020

LA NAISSANCE D’EDOUARD VAILLANT


commémorée à Vierzon, sa ville natale. 





Jeudi 30 janvier 
à 14h
Cimetière de Vierzon-Ville 
(le lendemain du 29, 180 ans après!)

Avant cela:




C'est avec un grand plaisir que je constate que notre annonce a été mise en ligne sur le site (magnifiquement rénové) de notre association nationale, avant même que je ne le fasse moi-même sur notre blog local.
Alors je leur rend immédiatement hommage ici, en insistant sur le calendrier qui montre l'actualité des événements avec une belle efficacité. 
En plus, comme précédemment, notre blog figure en bonne place parmi les liens amis.



Une belle page, vraiment, et que je m'empresse d'archiver, en fournissant, bien sûr, le lien qui permet de l'ouvrir.






Voici donc notre annonce (venez nombreux!):

Chères et chers Amies et Amis,
L’année 2020 commencera par une cérémonie dont nous sommes les initiateurs et les organisateurs pour célébrer la naissance d’Edouard Vaillant le 29 janvier 1840 (une année terminée en zéro). Comme nous n’avions pas la possibilité de l’organiser le 29 même, nous le ferons le jeudi 30 janvier à 14h. Le lieu c’est bien sûr (comme traditionnellement en fin d’année) la tombe d’Edouard Vaillant au cimetière de Vierzon-Ville (rue du Souvenir-Français).
Nous appelons le plus grand nombre, dans le Vierzonnais et bien au-delà, à s’associer à cette cérémonie qui comprendra notamment un dépôt de gerbe sur la tombe, et une allocution de Jean-Marie Favière, vice-président de l’association pour le Berry.
Le Bureau

































Après l'hommage à Edouard Vaillant, Michel Pinglaut a rendu hommage à notre camarade récemment disparu Jean Chatelut. 



























Reconstitution approximative car a posteriori de la petite allocution que j'ai prononcée à cette occasion:

Cérémonie en l’honneur de la naissance d’Edouard Vaillant au cimetière de Vierzon-Ville le 30 janvier 2020 à 14 heures

Bonjour les Amies, bonjour les Amis.

Ce bégaiement est volontaire, c’est que notre association a l’habitude de saluer les citoyennes (les Ami-es) avant les citoyens (les Ami-s).  

Donc, les Amies et les Amis,

Je vais vous demander un petit effort d’imagination. 
Avec le froid qu’il fait, ça nous réchauffera au moins un peu les neurones. Eh oui, vous l’avez remarqué : le Vaillant est d’hiver, né en janvier, mort en décembre… 

Alors oui, je vais vous demander de vous reporter, par un effort de pensée, exactement 180 ans en arrière. Déjà, cette tombe, vous ne la voyez pas, puisqu’elle n’existera pas avant 40 ans d’ici. 

Mais on est là pour parler de naissance. Je suis venu pour vous apporter une bonne nouvelle !

Edouard est né hier matin, de très bon matin : à 3 heures, donc au beau milieu de la nuit. 

Cela se passe à l’étage du 3 rue Neuve. 
Pour les hommes du XXIe siècle, ce sera le bas de l’avenue de la République. Normal, Edouard sera un grand défenseur de la République, mais la vraie, la démocratique et sociale, pas de cette Troisième République que l’historien de l’Université d’Orléans Jean Garrigues célèbrera sous le titre La République des hommes d’affaires. 
L’appartement est près de l’Hôtel du Bœuf. Au XXIe siècle, l’hôtel aura disparu depuis longtemps, ce seront les Nouvelles Galeries, et de la fenêtre de l’appartement où Edouard est né on aura une vue imprenable sur la place Jacques Brel. Jacques Brel, un chanteur de ces temps de notre futur éloigné, qui, après Vaillant, contribuera à rendre Vierzon célèbre. Mais lui, sans y être né. Vous ne pouvez évidemment pas connaître ça, mais ce sera plus tard très connu : 

T’as voulu voir Vierzon et on a vu Vierzon…


Brel ne chantera pas directement Edouard, mais presque. Il célèbrera les luttes politiques et sociales de l’époque du député Vaillant, en chantant son compagnon de lutte, son ami Jean. Jean Jaurès bien sûr. Et on connaîtra aussi ça par cœur, en 2020 :


Oui notre monsieur oui notre bon maître

Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

Mais revenons à notre époque. Inutile de vous rappeler que nous sommes en 1840, bien sûr. 

Hier donc, auprès du nouveau-né, il avait deux Michel (comme nous ici) : son père, qui a 35 ans, et son grand-père, qui en a 62 et qui avait donc 13 ans au moment de la Révolution française. Le bébé était également veillé par la grand-mère Victoire, et par une servante de 29 ans, dont nous donnons le nom : Jeanne Bernard. Car les humbles ont eux aussi le droit d’être nommés. 

Donc il est né le divin enfant. Et cette expression montre que je n’ai pas oublié la personne la plus importante dans toute la vie d’Edouard Vaillant, à savoir sa mère, Ambroisine, née Ambroisine Lachouille, une jeune femme de 26 ans. En effet, si son fils sera un athée convaincu, elle, elle est résolument croyante. Mais une croyante tendance sociale, qu’on se rassure… 


Cette femme exceptionnelle ne quittera guère son fils. Elle lui fera faire des études prestigieuses, et sera très souvent près de lui, même pendant la Commune. Elle ne se mettra à l’abri à Vierzon qu’au déclenchement de la Semaine sanglante. Elle verra son fils encore pendant son exil à Londres, après qu’il aura été condamné à mort par un conseil de guerre versaillais. 

C’est elle qui apporte la richesse dans le couple. Son père, un riche propriétaire bourguignon, étant décédé alors qu’elle n’avait pas un an. Son mari Michel a pu se mettre en retraite de son premier métier de notaire, et il se trouve désormais répertorié comme homme d’affaire, ou propriétaire. 

Je ne raconterai pas, moi qui ai pourtant un don de prescience tout à fait exceptionnel, ce que sera sa non moins exceptionnelle existence. 

Quoi ? J’oublierais la sœur aînée ?.. 
C’est vrai, il a déjà une sœur qui a 7 ans de plus que lui, prénommé Jenny, comme le grand amour de Marx… Mais sa mère, qui veille sur sa bonne éducation, l’a déjà envoyée à Paris, et quand Edouard aura deux ans, elle en fera de même pour ce fils qu’elle chérit d’emblée et pour toujours. Et ce fils le lui rendra bien, disons-le tout de suite. 

Mais plus tard, bien plus tard… 

…il sera ingénieur, médecin, dirigeant de la Commune de Paris avec son « pays » l’autre Vierzonnais Félix Pyat, célèbre auteur de théâtre. Il y sera en outre en charge de l’Education, et aussi des artistes. 
Puis il sera député à Paris, fondateur du parti socialiste SFIO avec Guesde et Jaurès, parti dont il sera comme le ministre des affaires étrangères auprès des autres socialistes européens. 
Il sera également à l’origine de nombreuses lois sociales, et un des siens le sera pour le code du travail. On le surnommera aussi, cet enfant qui vient tout juste de naître, « « le grand père de la CGT… 

Mais soyons bref. Trop peut-être car c’est un peu cruel… Mais bon, notre temps est limité, et sa vie est trop pleine. 

Eh oui, dans 75 ans d’ici, cet hyperactif mourra à Paris, dans le XIIe arrondissement, tout près de son fief du XXe arrondissement, où il sera le député sans solution de continuité depuis 1893 jusqu’à sa mort. 
Imaginez donc, qu’ici - où il n’y a évidemment rien pour l’heure - il y aura une tombe, le caveau familial, où il reposera aux côtés de ses parents, et où le rejoindra, une trentaine d’années plus tard, son fils, Jacques, né pendant son exil londonien, en 1875. Ce fils de 40 ans veillera sur ses derniers instants, comme son père de 35 ans vient de veiller hier sur sa naissance. Jacques respectera scrupuleusement les dernières volontés de son père. Bien trop scrupuleusement de mon point de vue : en effet, il brûlera tous les papiers personnels de son père, compliquant ainsi considérablement la tâche de ceux qui souhaiteront écrire sur lui… Cela, les gens du futur l’apprendront de la petite fille de Jacques, la philosophe féministe qui sera aussi l’actionnaire principale de Publicis, et ils la connaîtront tous car elle sera célèbre. Son nom : Elisabeth Badinter. 

Sans transition et sans justification - juste parce que tel est mon bon plaisir - je fais un bond de 180 ans dans le temps. 

En 2020 - par exemple, au hasard - je sais qu’il y aura d’importantes manifestations en France. 
Parmi les manifestants qui défileront à Vierzon, il y en aura qui diront souvent à un obscur biographe vierzonnais marchant avec eux : « Il doit bien se retourner dans sa tombe, en ce moment, Edouard Vaillant ! » 
Et le biographe répondra habituellement : « Oui, bien sûr. Mais il ne doit pas être le seul… Combien de ceux qui ont combattu avec lui pour un monde meilleur, qui ont mené une vie dure, mais qui avaient au moins des perspectives d’amélioration de leur sort… Souvenez-vous de la chanson :

Et pourtant l'espoir fleurissait 

Dans les rêves qui montaient aux yeux 
Des quelques ceux qui refusaient 
De ramper jusqu'à la vieillesse
Oui notre bon maître oui notre monsieur, etc.

…combien de ceux-là, oui, qui se battaient pour l’honneur des travailleurs et pour un monde meilleur, se retournent dans leurs tombes respectives, à commencer par tous ceux qui sont tombés dans la grande boucherie de la guerre de 14, quand ils voient avec quelle sauvagerie on est maintenant occupé  à détruire méthodiquement tout ce qu’à leur époque ils s’étaient évertués à bâtir. » 


Mais puisque notre Edouard vient de naître, je préfère être optimiste. 

Et il me plaît de penser que, se retourner dans leur tombe, ce sera surtout pour eux le moyen de mieux tendre la main à ceux qui se réclameront alors de leurs combats, et qui auront à leur égard - à l’égard de ces grands pionniers des droits sociaux - toute la gratitude qu’ils auront si grandement méritée.
Et du fond du coeur fervent de ces militants, près de toutes ces tombes, jaillira un grand cri, semblable à celui que pousseront les Vierzonnais du futur : « Merci Edouard, merci Vaillant, merci notre très cher Edouard Vaillant ! » Et ces cris seront poussés si forts que les grands ancêtres couchés là parviendront à les entendre, malgré leurs oreilles mortes.

Mais maintenant il me faut absolument m’interrompre. 

Car le couple Vaillant se prépare. Michel et Ambroisine sortent même de leur logement, et se dirigent vers la mairie toute proche. Ils vont y déclarer leur nouvel enfant. Le maire de Vierzon-Ville, monsieur François Moyret, les attend déjà, en compagnie d’un notaire local que vous connaissez tous, puisqu’il s’agit de maître Théophile-Louis- Stanislas Maigny. 
Alors oui, dans une demi-heure exactement - un jour et demi précisément après sa venue au monde - notre infiniment cher Edouard Vaillant sera déclaré officiellement né. Alors…
…Vive Vaillant ! Vive la Commune ! et place au peuple, place à l’espoir !









Quant a notre co-président pour le Cher Michel Pinglaut il a tenu des propos semblables à ceux qu'il nous a fait parvenir ensuite: 

Les Amies et Amis berrichons de la Commune de Paris-1871 sont paticulièrement touchés par la disparition d'un de leur membre fondateur, qui suivait avec assiduité et compétence nos réunions de travail et nos assemblées Générales.
Nous nous souvenons du café communard qu'il avait brillamment animé, à Bourges, avec générosité et savoir, dans l'espace protégé des Marais  de Bourges. Son livre sur la Commune de 1871, sur les ouvriers maçons du Berry, marche et Limousin a été déclencheur pour notre comité local. Cher Jean, chercheur émérite,  tu nous as conforté sur la présence importante sur les anonymes ou méconnus de province qui ont participé à cet évènement, lien entre Paris et province.
Jean, tu nous a aussi montré le chemin de l'édition régionale sur ce sujet, qui a toute sa place, aux côtés des  édtitions nationales, voire internationales. Ton ouvrage fait référence. Jean, tu as rejoint la constellation lumineuse des historiens, qui, selon ta philosophie philantropique, élargissent le cercle des connaisseurs.
Nous perdons un grand Monsieur, personnage historique.




C'est chroniqué (article de Michel Pinglaut) dans le Dix-Huit:













Annoncé également ici (allez-y voir, d'autant plus que Michel Pinglaut s'y trouve aussi):



https://cinegraphe.blogspot.com/2020/01/actu-janvier-2020.html









J'imagine que plus tard on retrouve des articles de presse concernant cette préstation, et qu'on en extraie les formules principales. J'imagine que ça donnerait quelque chose comme ceci:

"deux pédagogues d'exception chacun dans son genre"
"le barbu rendant hommage à l'ami glabre disparu"
"un régal, un festival d'humour et d'érudition"
"l'art de dire délicieusement de spirituelles grossièretés"
"la médiathèque de Vierzon, une fois de plus, le lieu convivial de rencontres où la culture ne rime pas avec ennui"
"les adhérents de l'association locale Ciné Rencontres répondent toujours Présent! dans ces cas-là"
"une réussite de l'Université populaire de Vierzon"










T'as voulu voir Vierzon...

Vierzon.
Le mot évoque immédiatement une ambiance familière et bon enfant. Comme Romorantin et comme Landernau, Vierzon symbolise la France. Mais la France provinciale et industrielle, la France des machines plutôt que la France des pâturages.
Sur les cartes ferroviaires de la communale, Vierzon est indiqué en grosses lettres, et au-dessous, on peut lire « métallurgie ». La SNCF y a fait se croiser deux des plus grandes lignes de chemin de fer, Paris-Toulouse et Nantes-Lyon. Ces quatre noms de ville résument la France, réconcilient le nord et le sud, la France d'oïl et la France d'oc. Vierzon est un noeud ferroviaire. Vierzon est un noeud routier. Vierzon noue et dénoue la circulation dans tout l'hexagone. Il est impossible de ne pas être allé au moins une fois à Vierzon.
On en parle en plaisantant, sur un ton débonnaire. C'est une ville où l'on passe. On ne s'y arrête guère. Personne ne fait de cure à Vierzon. Personne ne visite Vierzon.
Ça ferait rire les voisins, si on leur disait, tout simplement :
- « Cet été, tiens... je vais aller passer trois semaines de vacances
à Vierzon ! »
C'est la vertu de Vierzon que de prêter ainsi gentiment à sourire. Parfois, même, il suffit de prononcer le mot :
- Je suis passé par Vierzon ...
- Ah  ! oui,   Vierzon   !...reprend   l'interlocuteur,   amusé,   et
manifestement en proie à une forme de jubilation franco-française.
Vierzon, c'est à la fois le Village, les Forges et la Ville. C'est la ligne de démarcation, c'est le canal du Berry, c'est le rendez-vous entre le syndicalisme ouvrier et le serf paysan du Moyen Age.
A Vierzon, l'urbanité croise la ruralité. Vierzon rassemble ses quartiers dans le chiffre trois, et, à ce titre, est plus française que Colombey les deux Eglises.
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Vierzon, c'est la lutte ouvrière, les grèves, la gauche intraitable, les tracteurs américains francisés, re-nationalisés. C'est l'Ecole Professionnelle, les ponts métalliques et les usines des années cinquante, avec sirènes et fumées pour tous !
C'est la Reconstruction. C'est l'ouvrier paysan, qui voit rouge, même quand il est au vert dans son potager de banlieusard sans capitale.
Le buffet de la gare de Vierzon fut longtemps considéré comme le plus poussiéreux, le plus charbonneux, le plus fuligineux de toute la France métropolitaine.
Roland Dubillard en dit beaucoup de mal, mais avec tellement d'attendrissement ! Aragon le cite dans les « Beaux Quartiers » sans, toutefois, qu'il en fasse partie. George Sand, à qui rien n'échappe, a noté son existence.
Vierzon est historique, littéraire, industriel, agricole, musical.
Vierzon dispose d'une forêt, d'un début d'autoroute gratuite, et d'une clinique psychothérapique. Vierzon a élu un maire qui ne i parvient pas à réussir dans le monde politique, et qui n'y parviendra \ jamais, parce qu'on ne trahit pas Vierzon.
Je sais ce qui fait la force poétique de Vierzon : c'est le « V » et le « Z ». Vierzon est à la fin de l'alphabet, mais les derniers seront les premiers, plus tard.
J'adore Vierzon.
Mais comme la plupart des français, je n'y réside pas.
Si tous les français habitaient Vierzon, Vierzon serait une ville banale, comme Paris, Londres, Tokyo ou Hong Kong.
C'est pourquoi les français, impressionnés et respectueux, habitent tout autour de Vierzon, parfois même assez loin, comme c'est le cas à Lille, à Brest, à Biarritz ou à Nice.
Ils agissent ainsi par pudeur et par délicatesse. Il faut être digne de Vierzon.
Vierzon, je te salue !









(Notre logo: le fond, symboliquement les pierres d'un mur, n'est rien d'autre que le mur du cimétière de Vierzon-Ville où repose Edouard Vaillant.)














Cliquez sur le calendrier pour découvrir
 ce qui s'est passé un
21 janvier
pendant la vie d'Edouard Vaillant
...ou après...










Rentrée littéraire de septembre 2016 
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome II : Le grand socialiste.



500 p.  19,80 €
560g  
les 2 volumes 1044g 





















vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  



Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 

Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




TOUTES NOS DATES IMPORTANTES




Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.



374 p.  18,80 €
484g  
les 2 volumes 1044g 








L'EDITEUR







LES POINTS DE VENTE LOCAUX


18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)
(hélas fermé depuis le 21 juillet, malgré un grand soutien local, dont le nôtre)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)




 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)

Bourges 

 La Poterne (41 rue Moyenne)



 Point Virgule (46 rue d'Auron)



Cultura Saint-Doulchard
(mystérieusement exclu depuis 2016)


 Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)

Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).













Henrichemont 

 Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)








36

Châteauroux 

 Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)





Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski. 





Issoudun 


 Centre commercial Leclerc(Rue de la Limoise)





Il y a aussi le livre sur le berrichon de notre président Michel Pinglaut 


COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE




DOSSIER DE PRESSE





La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.



                                                                                                              (Vaillantitude)



La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 



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