avec les vaillantistes Gilles Candar et Jean NUMA-DUCANGE
Sans oublier
Pierre CAILLAUD-CROIZAT, petit-fils d’Ambroise Croizat,
bien entendu !
Et d'autres que vous reconnaîtrez au passage...
Une majorité de citoyennes et de citoyens le demandent : retrait de la réforme Macron !
Depuis le 5 décembre, des millions d'hommes et de femmes se retrouvent dans les grèves, dont beaucoup en reconductible, et les manifestations à l'appel des organisations syndicales.
Ils et elles rejettent la réforme du système de retraites que veulent leur imposer le président de la République et son gouvernement.
Ce projet n'est pas acceptable, car il est porteur de régression des droits de chacune et chacun : toutes les hypothétiques avancées proposées par le gouvernement devraient être financées par des baisses de pensions ou par l’allongement de la durée de la vie au travail. D’autres choix sont pourtant possibles.
C’est pourquoi nous demandons le retrait du projet présenté par le Premier ministre, afin que soient ouvertes sans délai de vraies négociations avec les organisations syndicales, pour un système de retraites pleinement juste et solidaire, porteur de progrès pour toutes et tous, sans allongement de la durée de la vie au travail.
https://lapetitionretraite.fr/
Parmi les premiers signataires :
Pierre CAILLAUD-CROIZAT, petit-fils d’Ambroise Croizat
https://www.humanite.fr/une-insulte-la-memoire-de-mon-grand-pere-682428
Voir aussi:
http://www.e-torpedo.net/imprimersans.php3?id_article=3553
Tous deux ont eu l'occasion, pour célébrer Vaillant, d'être accueillis dans notre blog.
Gilles CANDAR, historien
Par exemple, car il fait l'objet de plusieurs pages:
https://vaillantitude.blogspot.com/2019/05/grace-gilles-candar.html
Jean NUMA-DUCANGE, historien
Il était présent à l'Hôtel de Ville pour le centenaire Vaillant:
https://vaillantitude.blogspot.com/2015/12/1905-loi-de-separation-de-leglise-et-de.html
Laurence DE COCK, historienne
Une historienne qui nous intéresse beaucoup étant donné nos préoccupations actuelles concernant l'enseignement de l'histoire, dont elle est une spécialiste:
Gérard MORDILLAT, écrivain
Les Amis de la Commune doivent tous connaître cet article. Si vous passez par ici, n'en faites surtout pas l'impasse! D'ailleurs, je vais même l'archiver ici pour vous faciliter la tâche et, surtout, pour que le lien ne se perde pas:
https://www.humanite.fr/gerard-mordillat-vive-la-sociale-608135
Photo: Hommage au cent quarante-sept Fédérés, combattants de la Commune, en 2010.
GÉRARD MORDILLAT : « VIVE LA SOCIALE ! »
Vendredi, 27 Mai, 2016
Samedi, la montée au mur des Fédérés se fera sur fond de luttes sociales, dignes de l’histoire du mouvement ouvrier français, comme nous le rappelle l’auteur, natif de Belleville et Ami de la Commune. Rendez-vous à 14 h 30 à l’entrée du Père-Lachaise, rue des Rondeaux, Paris 20e, métro Gambetta.
Cent quarante-cinq ans après la Commune, le discours officiel dominant est de caricaturer l’action revendicative populaire ?
Déjà, Saint-Just le pointait : « Il n’est pas de pire ennemi du peuple que son gouvernement. » Le pire ennemi du peuple insurgé pendant la Commune de 1871, ce n’était ni Bismarck ni von Moltke, mais le gouvernement de Thiers et des généraux félons, battus sur tous les champs de bataille – Mac Mahon en tête – se faisant une gloire de massacrer 20 000 hommes, femmes, enfants, vieillards désarmés qui, à Paris, n’avaient pas renoncé à lutter contre les Prussiens. Aujourd’hui, le pire ennemi du peuple, c’est le gouvernement de François Hollande et ses socialistes félons : Macron, Sapin, Cazeneuve, El Khomri, ces nouveaux Versaillais battus à toutes les élections et sous les ordres de Manuel Valls – nouveau Galliffet –, prêts à massacrer tous ceux qui n’obéissent pas aux diktats du Medef au nom duquel ils gouvernent la France. La Commune mise à genoux n’est pas morte et ne mourra jamais pour ceux qui gardent au cœur une plaie ouverte. De même qu’il n’y a qu’un livre qui s’écrit depuis la nuit des temps, il n’y a qu’une seule insurrection qui anime les hommes et les femmes épris de liberté, de justice et d’égalité. Les pathétiques tentatives de disqualifier tout mouvement populaire ne sont que des gesticulations politiciennes. M. Hollande s’interroge (comme Thiers) de la place qu’il laissera dans l’histoire. Gageons que ce sera celle d’une trace douteuse sur un slip sale.
Concernant 1871, la question est toujours celle de la réhabilitation. Pourquoi la République hésite-t-elle toujours autant à célébrer la Commune ?
Gérard Mordillat Célébrer la Commune et les communards reviendrait à reconnaître qu’en 1871 le peuple avait raison contre les politiques, l’armée, l’église, les nantis, les bourgeois, les Zola, les Flaubert, les Goncourt, les George Sand et tous ceux qui leur ressemblaient, seulement capables d’exprimer la haine des classes populaires et la peur de voir leurs privilèges disparaître. Pour les bourgeois d’aujourd’hui, l’oligarchie politico-financière au pouvoir, les médias aux ordres et les philosophes de salon, ce serait reconnaître que l’intelligence populaire dépasse et de beaucoup leur médiocrité, leurs bassesses, leurs malveillances conduites par la seule raison financière. Ce serait rendre à la démocratie son sens premier et ce serait insupportable.
Les Amies et Amis de la Commune de Paris 1871 ont pris une initiative forte à l’approche du 150e anniversaire ?
Gérard Mordillat Les Amis de la Commune ont obtenu que, désormais, il y ait une station de métro qui porte le nom « Belleville, Commune de Paris 1871 », célébrant la mémoire de cette insurrection populaire, l’inscrivant dans la ville elle-même. Ce fut un long combat, alors qu’il demeure dans Paris deux voies dédiées aux assassins de la Commune. Et n’oublions pas qu’il n’y a toujours pas à Paris d’artères Robespierre, ni Saint-Just, ni Marat, mais un square Louis XVI. Les ennemis de la Commune et de la Révolution sont les mêmes qu’hier. Vive la Sociale !
Entretien réalisé par Pierre Chaillan
Alain RUSCIO, historien
Jean-Paul SCOT, historien
Sylvie SCOT, professeur d’histoire retraitée
(je n'ai pas trouvé de photo)
La liste complète (au 7 janvier) des premiers signataires :
Éliane ASSASSI, sénatrice, Parti communiste français
Clémentine AUTAIN, députée
Guillaume BALAS, coordinateur, Génération.S
Josiane BALASKO, comédienne
Julien BAYOU, secrétaire national, Europe écologie-Les Verts
Ester BENBASSA, sénatrice, Europe écologie-Les Verts
Olivier BESANCENOT, porte-parole, Nouveau Parti anticapitaliste
Éric BEYNEL, porte-parole, Union syndicale Solidaires
Frédéric BOCCARA, économiste, membre du CESE, Parti communiste français
Paul BOUFFARTIGUE, sociologue CNRS
Marie-Pierre BRESSON, adjointe à la maire de Lille, co-présidente, Union des démocrates et des écologistes
Pierre CAILLAUD-CROIZAT, petit-fils d’Ambroise Croizat
Gilles CANDAR, historien
Damien CAREME, député européen, Europe écologie-Les Verts
André CHASSAIGNE, député, Parti communiste français
Jean-Louis COMOLLI, cinéaste, écrivain
Éric COQUEREL, député, La France insoumise
Alain COULOMBEL, porte-parole, Europe écologie-Les Verts
Laurence DE COCK, historienne
Anne DE HARO, Gauche démocratique et sociale
Dyenaba DIOP, porte-parole, Parti socialiste
Sylvie DURAND, secrétaire générale, Union générale des ingénieurs, techniciens et cadres-CGT
Eric FASSIN, sociologue
Olivier FAURE, premier secrétaire, Parti socialiste
Caroline FIAT, députée
Gérard FILOCHE, Gauche démocratique et sociale
Christakis GEORGIOU, chercheur, université de Genève
Gaël GIRAUD, économiste
Raphaël GLUCKSMANN, député européen, Place publique
Cécile GONDARD-LALANNE, porte-parole, Union syndicale Solidaires
Roland GORI, professeur honoraire des universités, psychanalyste, essayiste, président de l’Appel des appels
Pierre JOUVET, porte-parole, Parti socialiste
Régis JUANICO, député, Générations.S
Aurore LALUCQ, députée européenne, Place publique
François-Michel LAMBERT, député, co-président, Union des démocrates et des écologistes
Jean-Luc LAURENT, ancien député, Gauche républicaine et socialiste
Frédéric LEBARON, sociologue (Savoir/Agir)
Marie-Noëlle LIENEMANN, sénatrice, Gauche républicaine et socialiste
Myriam MARTIN, conseillère régionale LFI Occitanie, porte-parole, Ensemble
Philippe MARTINEZ, secrétaire général, Confédération générale du travail
Corinne MASIÉRO, comédienne
Laurent MAUDUIT, journaliste, cofondateur de Mediapart
Emmanuel MAUREL, député européen, Gauche républicaine et socialiste
Dominique MEDA, sociologue
Jean-Luc MÉLENCHON, député, La France insoumise
Gérard MEYLAN, comédien
Claire MONOD, coordinatrice, Génération.S
Chantal MONTELLIER, dessinatrice et écrivaine
Gérard MORDILLAT, écrivain
Jean NUMA-DUCANGE, historien
Jean-François PELLISSIER, porte-parole, Ensemble
Roland PFEFFERKORN, professeur émérite de sociologie
Michel PINÇON, sociologue, ancien directeur de recherche CNRS
Monique PINÇON-CHARLOT, sociologue, ancienne directrice de recherche CNRS
Christine POUPIN, porte-parole, Nouveau Parti anticapitaliste
Philippe POUTOU, porte-parole, Nouveau Parti anticapitaliste
Audrey PULVAR, journaliste, responsable associative
Adrien QUATENNENS, député, La France insoumise
Yvon QUINIOU, philosophe
Gilles RAVEAUD, économiste
Sandra REGOL, secrétaire nationale adjointe, Europe écologie-Les Verts
Fabien ROUSSEL, secrétaire national, Parti communiste français
Alain RUSCIO, historien
Stéphane SAINT-ANDRÉ, président, Les Radicaux de gauche
Jean-Paul SCOT, historien
Sylvie SCOT, professeur d’histoire retraitée
Gabrielle SIRY, porte-parole, Parti socialiste
Stéphane SIROT, historien et sociologue
Françoise SIVIGNON, médecin
Jo SPIEGEL, président, Place publique
Valère STARAZELSKI, écrivain
Henri STERDYNIAK, économiste (Les économistes atterrés)
Sophie TAILLÉ-POLIAN, sénatrice, Génération.S
Benoît TESTE, secrétaire général, Fédération syndicale unitaire
Marie-Christine VERGIAT, responsable associative
Voir également ici, plus du côté du cinéma que de l'histoire:
https://cinegraphe.blogspot.com/2020/01/actu-janvier-2020.html
Depuis le 5 décembre, des millions d'hommes et de femmes se retrouvent dans les grèves, dont beaucoup en reconductible, et les manifestations à l'appel des organisations syndicales.
Ils et elles rejettent la réforme du système de retraites que veulent leur imposer le président de la République et son gouvernement.
Ce projet n'est pas acceptable, car il est porteur de régression des droits de chacune et chacun : toutes les hypothétiques avancées proposées par le gouvernement devraient être financées par des baisses de pensions ou par l’allongement de la durée de la vie au travail. D’autres choix sont pourtant possibles.
C’est pourquoi nous demandons le retrait du projet présenté par le Premier ministre, afin que soient ouvertes sans délai de vraies négociations avec les organisations syndicales, pour un système de retraites pleinement juste et solidaire, porteur de progrès pour toutes et tous, sans allongement de la durée de la vie au travail.
https://lapetitionretraite.fr/
Parmi les premiers signataires :
https://www.humanite.fr/une-insulte-la-memoire-de-mon-grand-pere-682428
Voir aussi:
http://www.e-torpedo.net/imprimersans.php3?id_article=3553
Tous deux ont eu l'occasion, pour célébrer Vaillant, d'être accueillis dans notre blog.
Gilles CANDAR, historien
Par exemple, car il fait l'objet de plusieurs pages:
https://vaillantitude.blogspot.com/2019/05/grace-gilles-candar.html
Jean NUMA-DUCANGE, historien
Il était présent à l'Hôtel de Ville pour le centenaire Vaillant:
https://vaillantitude.blogspot.com/2015/12/1905-loi-de-separation-de-leglise-et-de.html
Une historienne qui nous intéresse beaucoup étant donné nos préoccupations actuelles concernant l'enseignement de l'histoire, dont elle est une spécialiste:
Gérard MORDILLAT, écrivain
Les Amis de la Commune doivent tous connaître cet article. Si vous passez par ici, n'en faites surtout pas l'impasse! D'ailleurs, je vais même l'archiver ici pour vous faciliter la tâche et, surtout, pour que le lien ne se perde pas:
https://www.humanite.fr/gerard-mordillat-vive-la-sociale-608135
Photo: Hommage au cent quarante-sept Fédérés, combattants de la Commune, en 2010.
GÉRARD MORDILLAT : « VIVE LA SOCIALE ! »
Vendredi, 27 Mai, 2016
Samedi, la montée au mur des Fédérés se fera sur fond de luttes sociales, dignes de l’histoire du mouvement ouvrier français, comme nous le rappelle l’auteur, natif de Belleville et Ami de la Commune. Rendez-vous à 14 h 30 à l’entrée du Père-Lachaise, rue des Rondeaux, Paris 20e, métro Gambetta.
Cent quarante-cinq ans après la Commune, le discours officiel dominant est de caricaturer l’action revendicative populaire ?
Déjà, Saint-Just le pointait : « Il n’est pas de pire ennemi du peuple que son gouvernement. » Le pire ennemi du peuple insurgé pendant la Commune de 1871, ce n’était ni Bismarck ni von Moltke, mais le gouvernement de Thiers et des généraux félons, battus sur tous les champs de bataille – Mac Mahon en tête – se faisant une gloire de massacrer 20 000 hommes, femmes, enfants, vieillards désarmés qui, à Paris, n’avaient pas renoncé à lutter contre les Prussiens. Aujourd’hui, le pire ennemi du peuple, c’est le gouvernement de François Hollande et ses socialistes félons : Macron, Sapin, Cazeneuve, El Khomri, ces nouveaux Versaillais battus à toutes les élections et sous les ordres de Manuel Valls – nouveau Galliffet –, prêts à massacrer tous ceux qui n’obéissent pas aux diktats du Medef au nom duquel ils gouvernent la France. La Commune mise à genoux n’est pas morte et ne mourra jamais pour ceux qui gardent au cœur une plaie ouverte. De même qu’il n’y a qu’un livre qui s’écrit depuis la nuit des temps, il n’y a qu’une seule insurrection qui anime les hommes et les femmes épris de liberté, de justice et d’égalité. Les pathétiques tentatives de disqualifier tout mouvement populaire ne sont que des gesticulations politiciennes. M. Hollande s’interroge (comme Thiers) de la place qu’il laissera dans l’histoire. Gageons que ce sera celle d’une trace douteuse sur un slip sale.
Concernant 1871, la question est toujours celle de la réhabilitation. Pourquoi la République hésite-t-elle toujours autant à célébrer la Commune ?
Gérard Mordillat Célébrer la Commune et les communards reviendrait à reconnaître qu’en 1871 le peuple avait raison contre les politiques, l’armée, l’église, les nantis, les bourgeois, les Zola, les Flaubert, les Goncourt, les George Sand et tous ceux qui leur ressemblaient, seulement capables d’exprimer la haine des classes populaires et la peur de voir leurs privilèges disparaître. Pour les bourgeois d’aujourd’hui, l’oligarchie politico-financière au pouvoir, les médias aux ordres et les philosophes de salon, ce serait reconnaître que l’intelligence populaire dépasse et de beaucoup leur médiocrité, leurs bassesses, leurs malveillances conduites par la seule raison financière. Ce serait rendre à la démocratie son sens premier et ce serait insupportable.
Les Amies et Amis de la Commune de Paris 1871 ont pris une initiative forte à l’approche du 150e anniversaire ?
Gérard Mordillat Les Amis de la Commune ont obtenu que, désormais, il y ait une station de métro qui porte le nom « Belleville, Commune de Paris 1871 », célébrant la mémoire de cette insurrection populaire, l’inscrivant dans la ville elle-même. Ce fut un long combat, alors qu’il demeure dans Paris deux voies dédiées aux assassins de la Commune. Et n’oublions pas qu’il n’y a toujours pas à Paris d’artères Robespierre, ni Saint-Just, ni Marat, mais un square Louis XVI. Les ennemis de la Commune et de la Révolution sont les mêmes qu’hier. Vive la Sociale !
Entretien réalisé par Pierre Chaillan
Jean-Paul SCOT, historien
Sylvie SCOT, professeur d’histoire retraitée
(je n'ai pas trouvé de photo)
La liste complète (au 7 janvier) des premiers signataires :
Éliane ASSASSI, sénatrice, Parti communiste français
Clémentine AUTAIN, députée
Guillaume BALAS, coordinateur, Génération.S
Josiane BALASKO, comédienne
Julien BAYOU, secrétaire national, Europe écologie-Les Verts
Ester BENBASSA, sénatrice, Europe écologie-Les Verts
Olivier BESANCENOT, porte-parole, Nouveau Parti anticapitaliste
Éric BEYNEL, porte-parole, Union syndicale Solidaires
Frédéric BOCCARA, économiste, membre du CESE, Parti communiste français
Paul BOUFFARTIGUE, sociologue CNRS
Marie-Pierre BRESSON, adjointe à la maire de Lille, co-présidente, Union des démocrates et des écologistes
Pierre CAILLAUD-CROIZAT, petit-fils d’Ambroise Croizat
Gilles CANDAR, historien
Damien CAREME, député européen, Europe écologie-Les Verts
André CHASSAIGNE, député, Parti communiste français
Jean-Louis COMOLLI, cinéaste, écrivain
Éric COQUEREL, député, La France insoumise
Alain COULOMBEL, porte-parole, Europe écologie-Les Verts
Laurence DE COCK, historienne
Anne DE HARO, Gauche démocratique et sociale
Dyenaba DIOP, porte-parole, Parti socialiste
Sylvie DURAND, secrétaire générale, Union générale des ingénieurs, techniciens et cadres-CGT
Eric FASSIN, sociologue
Olivier FAURE, premier secrétaire, Parti socialiste
Caroline FIAT, députée
Gérard FILOCHE, Gauche démocratique et sociale
Christakis GEORGIOU, chercheur, université de Genève
Gaël GIRAUD, économiste
Raphaël GLUCKSMANN, député européen, Place publique
Cécile GONDARD-LALANNE, porte-parole, Union syndicale Solidaires
Roland GORI, professeur honoraire des universités, psychanalyste, essayiste, président de l’Appel des appels
Pierre JOUVET, porte-parole, Parti socialiste
Régis JUANICO, député, Générations.S
Aurore LALUCQ, députée européenne, Place publique
François-Michel LAMBERT, député, co-président, Union des démocrates et des écologistes
Jean-Luc LAURENT, ancien député, Gauche républicaine et socialiste
Frédéric LEBARON, sociologue (Savoir/Agir)
Marie-Noëlle LIENEMANN, sénatrice, Gauche républicaine et socialiste
Myriam MARTIN, conseillère régionale LFI Occitanie, porte-parole, Ensemble
Philippe MARTINEZ, secrétaire général, Confédération générale du travail
Corinne MASIÉRO, comédienne
Laurent MAUDUIT, journaliste, cofondateur de Mediapart
Emmanuel MAUREL, député européen, Gauche républicaine et socialiste
Dominique MEDA, sociologue
Jean-Luc MÉLENCHON, député, La France insoumise
Gérard MEYLAN, comédien
Claire MONOD, coordinatrice, Génération.S
Chantal MONTELLIER, dessinatrice et écrivaine
Gérard MORDILLAT, écrivain
Jean NUMA-DUCANGE, historien
Jean-François PELLISSIER, porte-parole, Ensemble
Roland PFEFFERKORN, professeur émérite de sociologie
Michel PINÇON, sociologue, ancien directeur de recherche CNRS
Monique PINÇON-CHARLOT, sociologue, ancienne directrice de recherche CNRS
Christine POUPIN, porte-parole, Nouveau Parti anticapitaliste
Philippe POUTOU, porte-parole, Nouveau Parti anticapitaliste
Audrey PULVAR, journaliste, responsable associative
Adrien QUATENNENS, député, La France insoumise
Yvon QUINIOU, philosophe
Gilles RAVEAUD, économiste
Sandra REGOL, secrétaire nationale adjointe, Europe écologie-Les Verts
Fabien ROUSSEL, secrétaire national, Parti communiste français
Alain RUSCIO, historien
Stéphane SAINT-ANDRÉ, président, Les Radicaux de gauche
Jean-Paul SCOT, historien
Sylvie SCOT, professeur d’histoire retraitée
Gabrielle SIRY, porte-parole, Parti socialiste
Stéphane SIROT, historien et sociologue
Françoise SIVIGNON, médecin
Jo SPIEGEL, président, Place publique
Valère STARAZELSKI, écrivain
Henri STERDYNIAK, économiste (Les économistes atterrés)
Sophie TAILLÉ-POLIAN, sénatrice, Génération.S
Benoît TESTE, secrétaire général, Fédération syndicale unitaire
Marie-Christine VERGIAT, responsable associative
Voir également ici, plus du côté du cinéma que de l'histoire:
https://cinegraphe.blogspot.com/2020/01/actu-janvier-2020.html
(Notre logo: le fond, symboliquement les pierres d'un mur, n'est rien d'autre que le mur du cimétière de Vierzon-Ville où repose Edouard Vaillant.)
Cliquez sur le calendrier pour découvrir
ce qui s'est passé un
8 janvier
vaillantiser v tr dir
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin.
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.
Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même."
Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant".
Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin vaillantise."
N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc.
Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement.
TOUTES NOS DATES IMPORTANTES
Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.
374 p. 18,80 €
484g
les 2 volumes 1044g
L'EDITEUR
LES POINTS DE VENTE LOCAUX
18
Vierzon
Espace culturel Leclerc (48 avenue de la République)
Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)
Désormais dernière Maison de la presse à Vierzon |
Photo: http://vierzonitude.fr.over-blog.com/2018/10/la-librairie-presse-du-mouton-dernier-specimen-d-une-espece-presque-eteinte.html |
LA LIBRAIRIE
Bourges
La Poterne (41 rue Moyenne)
(mystérieusement exclu depuis 2016)
Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)
Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).
36
Châteauroux
Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)
Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski.
Issoudun
COMPTES-RENDUS DU LIVRE
11 3 16 JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS
29 2 16 HENRICHEMONT GIBLOG
1 11 15 MAGAZINE A VIERZON
20 10 15 DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE
28 08 15 BLOG VIERZONITUDE
DOSSIER DE PRESSE
La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national.
(Jean Jaurès)
Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.
(Vaillantitude)
La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul.
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