jeudi 19 mars 2020

LE 19 MARS 1820...


…il y a 200 ans naissait Charles Ferdinand Gambon. 
  

"Il rêvait d’un socialisme 
qui redonnerait leur dignité aux travailleurs."
(Le Maitron)

                inégalitairement 
             ou solidairement?...

Vaillantisons Gambon
et sauvons du même coup  (au moins virtuellement)
l’honneur perdu de nos médias locaux. 



Pour consoler (un peu) Michel qui a pu y croire un instant... mais c'était sans compter avec le macronisme à la mode dans le Landerneau médiatique français, appliqué à nous persuader que la vie continue toujours comme avant, avec la même priorité de l'argent sur l'humain, comme s'il n'y avait jamais d'alternative possible. 









Gambon, le prestigieux enfant du pays, le courageux défenseur du peuple en 48 et en 71, honoré entre autres par ses rues à Bourges comme à Vierzon, négligé des modernes incultes, c'est chez nous qu'il est légitimement célébré, et notamment ici:






Peut-être que les choses changeront, et peut-être dans le bon sens, avec l'aide paradoxale de ce maudit virus. 
Dans un état d'esprit différent mais dans une inspiration analogue, comme aurait dit de Gaulle, pourquoi ne pas poursuivre la même démarche imaginative avec notre (?) télévision publique...




"Je remercie les partis de gauche, la France insoumise, le Parti communiste, les gilets jaunes, les syndicalistes, les grévistes, et ce qui reste de socialistes encore fidèles à l'idéal vaillantique, de m’avoir empêché de mener jusqu’à son terme ma politique de casse des services publics, et en particulier de l’hôpital public. 
Sans eux, je dois le reconnaître, cette situation difficile eût été proprement catastrophique, et cette guerre, nous l’aurions menée sans armée, sans arme, sans aucun moyen de défense.
Je promets donc à l’avenir de renoncer au néo-libéralisme qui était ma doctrine jusqu’ici, et de me convertir à une vraie politique sociale, c’est-à-dire dans la continuité réelle, et non plus seulement en paroles et en faux-semblants, du programme du Conseil national de la Résistance, dont j'ai eu l'audace de me réclamer, alors que je faisais exactement le contraire. 
Mais j'ai changé, j'ai beaucoup changé, et cette fois, je vous en fais la promesse solennelle, c'est bien la dernière fois que je change. 
Vive la République! Vive la France!"



Notre agitation médiatique d'utilité publique et blogueuse a eu des échos heureux jusque dans le Tessin suisse. Voici ce que nous avons reçu au café associatif l'Antidote, siège des interventions de Michel sur Gambon:


Bonjour,
Bravo pour avoir signalé les 200 ans de la naissance du grand personnage que fut C. F. Gambon. Je suis un enseignant d'histoire à la retraite et j'habite la région d'origine de la famille Gambon, le Val Onsernone, dans le canton suisse du Tessin de langue italienne. En effet, le grand père de Charles-Ferdinand avait émigré de Comologno au milieu du XVIIIe siècle pour s'installer à  Bourges.
Je viens de terminer la rédaction d'une biographie de Gambon (env. 300 pages avec plusieurs illustrations) qui sera publiée prochainement en italien, la version française est en cours. Croyez-vous  qu'il  serait possible de trouver  un éditeur français intéressé à la publier?
Salutations distinguées.
l. Chiesa


Bien entendu, nous avons aussitôt répondu (merci Jean-Pierre de Gilblog qui a attiré son attention!) à ce sympathique érudit si proche - lui! - de nos préoccupations citoyennes.  



Devant cette crise sanitaire qui est aussi une crise sociale, les "enfants" de Gambon ont logiquement des réactions similaires. 
Par exemple:



Bonjour,
Je tiens à préciser qu'actuellement je lis le livre de Michele Audin "Comme une rivière bleue" sur la commune (grand merci à Jean-Marie qui me l'a prêté). 

https://vaillantitude.blogspot.com/2019/10/michele-audin-vierzon.html

Ça fait drôle d'être en parallèle en situation de confinement (avec tout ce que ça implique de renfermement) et de se plonger dans un livre qui relate un autre "confinement" : celui des habitants de Paris encerclés par les versaillais. On sait comment ça s'est terminé en 1871 - souhaitons qu'en 2020 nous connaîtrons une fin moins dramatique. Un autre parallèle, la déformation en province de ce qui se passait à Paris a été très préjudiciable à la Commune. La déformation de l'information sert toujours ceux qui ne veulent rien perdre de leur pouvoir et de leurs intérêts. 
- il est évident que face à cette crise sanitaire du COVID 19 - tout va circuler sur les réseaux sociaux et dans les médias en général avec le n'importe quoi. 
- il n'empêche que la situation actuelle met en évidence l'impossibilité d'une société dont l'ultra-libéralisme a été l'alpha et l'oméga de faire face à une telle crise. 
On ne peut pas avoir depuis des années cassé tout "le collectif" et d'un seul coup pleurer sur le besoin de solidarité comme l'ont fait nos hommes politiques (Président ou Ministre). Depuis des années nous avons combattu toutes les baisses de budget et tous les projets de réformes (retraite, chômage, privatisation et casse des services publics - devant un gouvernement sourd et jusqu'au-boutiste - il sera très important de se le rappeler et de le rappeler à l'issue de cette période difficile. 
Même sous les canons, les communards continuaient à rêver à un monde meilleur. Tous les canons n'ont pas fait disparaître leurs idéaux. 
Cette visée de changement de société (basé sur le marxisme d'après moi) est plus que jamais d'actualité. 
Prenez bien soin de vous
Edwige

Pour complément d'info, je vous joins (ci-dessous) le message que j'ai adressé (au nom de la section du PCF de Vierzon).


Bonjour cher(e) Camarade, 
Le coronavirus, son irruption et sa diffusion partout dans le monde est un événement majeur qui suscite beaucoup d'inquiétude.
Nous devons prendre en compte et respecter les mesures inédites décidées dans notre pays - EVIDEMMENT, LA SECTION DU PCF DE VIERZON SERA FERMEE PENDANT TOUTE LA PERIODE DU CONFINEMENT.

Plus généralement, cette crise met à jour les graves dangers provoqués par les politiques néolibérales et l'urgence de profonds changements. Nous avons depuis des années combattu les mesures de récession imposées par les gouvernements successifs.

Nous pouvons être fier(e)s d'avoir défendu et conservé notre hôpital - 
- au côté des personnels dont nous saluons le dévouement, 
- derrière le maire Nicolas Sansu, réélu au premier tour dimanche dernier, ou avec les maires des communes du Vierzonnais (communistes ou apparentés de gauche eux aussi réélus) - SALUONS SA VICTOIRE  ET LA FORMIDABLE MOBILISATION DES CAMARADES - 

C'est l'état de civilisation de nos société qui est révélé par la situation. 
Bien des mobilisations et des recherches de solutions pour construire une société plus solidaire, plus humaine, plus respectueuse de la nature sont devant nous.
Entre autres :
- lutter contre les inégalités, relancer la solidarité internationale
- mettre en cause la croissance capitaliste, 
- retrouver du sens pour une nouvelle dynamique de civilisation.

Et plus précisément, en lien avec la situation sanitaire 
- Développer des outils de santé publique, la santé étant à considérer comme un bien commun mondial
- Augmenter la protection sociale solidaire. 

Nous serons de toutes ces batailles, sans rien lâcher. 
PRENEZ SOIN DE VOUS.
Pour le secrétariat de section
Edwige SALLE

CI DESSOUS UN LIEN POUR SIGNER UNE PETITION EN DIRECTION DU MINISTERE DE LA SANTE. 

https://www.change.org/p/ministère-de-la-santé-covid-19-du-matériel-de-protection-pour-nos-soignants?recruiter=131382100&utm_source=share_petition&utm_medium=facebook&utm_campaign=share_petition&utm_term=Search%3ESAP%3EFR%3EBrand%3EGeneral%3EBMM&recruited_by_id=01776b85-7e52-4071-b14b-bd58453b5536&utm_content=starter_fb_share_content_fr-fr%3Av2












"On n’avait nul besoin de cette catastrophe pour prendre conscience de l’inhumanité paradoxale qui habite notre monde", argue Henri Peña-Ruiz.

La catastrophe sanitaire que nous traversons est source de révélations pour notre président. Une soudaine lucidité vient de l’éclairer : la santé doit rester accessible à tous sans distinction de fortune. Gratuite, elle ne doit donc pas dépendre des lois du marché. Ne peut-on en dire autant des autres biens de première nécessité, essentiels en ce qu’ils assurent à toute personne les conditions d’une vie digne ? L’instruction , la culture, l’accès à l’eau et à l’énergie, un logement décent. Ce ne sont pas des luxes dans un monde qui n’a jamais produit autant de richesses, ni autant d’inégalités dans leur répartition. Révélation encore. Mieux vaut tard que jamais. Le banquier-président ferait-il sa place à l’homme ? Peut-être. Mais l’intelligence du cœur n’est-elle pas faite pour anticiper ?

Encore faut-il pour cela que les pensées ne soient pas filles serviles d’intérêts particuliers. Ces derniers ont fondé plus de deux ans de politique néolibérale, dans le sillage de la fausse gauche et de la vraie droite. Apparemment bouleversé par la pandémie en cours et la situation du monde médical devant ce fléau, le président va-t-il jusqu’à remettre en question le mode de développement imposé par la mondialisation capitaliste ? Celle-ci a produit à bas bruit la maladie mortelle qui dévore l’environnement, mais aussi la cotisation sociale et la redistribution solidaire qu’elle permet. Aujourd’hui, elle se fait support d’une pandémie mondiale qui rend manifestes ses failles. Et les faiblesses d’une démocratie politique qui ne s’assortit d’aucun pouvoir réel du peuple sur l’économie.

RÉVÉLATEUR
Ainsi la pandémie du coronavirus agit comme un révélateur, à la façon du réchauffement climatique, de la disparition de plus de la moitié des espèces, et des révoltes multiformes contre un système irresponsable. Obnubilé par les gains de productivité, qu’il ne veut pas partager, le capitalisme mondialisé externalise trois coûts majeurs : écologique, social et humain. Sa frénésie de profit le conduit à jouer la géographie contre l’histoire, en délocalisant les productions là où le coût du travail du travail est le plus faible. En parallèle, un rejet de toute dépense publique, sauf pour le sauver quand son aventurisme financier le met au bord du gouffre. D’où une pression à la baisse sur les dépenses de santé, pourtant vitales dans le sens fort du terme. Aucune réserve stratégique pour nos médicaments, produits pour l’essentiel en Inde et en Chine. Exit la souveraineté populaire en matière de politique de santé. En 15 ans de néo-libéralisme, de 2000 à 2015, les hôpitaux publics ont perdu 15% de leurs lits. Ils seront bientôt en difficulté extrême pour accueillir en urgence les cas graves d’infection virale. Va-t-on devoir choisir les personnes à sauver ? Telle est la barbarie en marche, racontée par des médecins italiens qui ne peuvent retenir leurs larmes. Tel est le passage à la limite de l’indifférence à la solidarité.

Une révélation en entraîne une autre : on ne peut se passer de services publics affranchis de la loi du marché. C’est pourtant l’Europe de Jean Monnet qui les a condamnés à la privatisation. C’est elle qui oblige tout directeur d’hôpital à ériger la loi du marché en boussole, et à se comporter en chef d’entreprise graduellement aveugle aux exigences propres de l’éthique médicale.

Le banquier-président ferait-il sa place à l’homme ? Peut-être. Mais l’intelligence du cœur n’est-elle pas faite pour anticiper ?


C’est elle encore qui conduit à détruire la solidarité intergénérationnelle des retraites pensées par le Conseil National de la Résistance en même temps que la Sécurité Sociale. Celle-ci consacre des cotisations proportionnelles aux revenus à des soins proportionnels à la restauration de la santé. Solidarité ! Que médecins et infirmières n’aient pas assez de masques pour prodiguer leurs soins est un scandale absolu.

Comme l’insuffisance des lits et des respirateurs. Pourquoi notre président est-il resté sourd à la longue révolte du monde hospitalier? Depuis des années, celles et ceux qui nous soignent sont en détresse. Monsieur le Président, la santé gratuite est incompatible avec les cadeaux aux plus fortunés ou aux exilés fiscaux. Elle implique des services publics qui fassent du social la fin essentielle et non un supplément d’âme. Seul des Etats-Nations souverains, délivrés de la dictature des marchés, peuvent leur fixer des limites pour que l’humain prime sur le fric. Cela n’empêche nullement l’internationalisme qui permet aux pays de s’entraider, comme l’ont fait la France pour la Chine puis la Chine pour l’Italie. Mais cela implique une politique fiscale de solidarité et de redistribution, qui refuse de tout aliéner au credo de la concurrence libre et non faussée.

"RUPTURES NÉCESSAIRES"
Monsieur le Président, vous ne cessez de mettre en avant l’Europe actuelle. Mais celle-ci réduit le social à un résidu facultatif de l’économique. A rebours de cette Europe mortifère, Victor Hugo, lui, rêvait des Etats-Unis d’Europe, qui feraient du mieux-disant social leur finalité commune. Aurez-vous le courage, au moment des « ruptures nécessaires » que vous annoncez, de refonder l’économie sur l’écosocialisme, qui soude l’écologie à la justice sociale, et de donner sens à la souveraineté populaire que vous voulez réaffirmer? Ce sera le moment ou jamais.

Certains analystes constatent que la catastrophe en cours appelle un nouveau mode de développement. Mais on n’avait nul besoin de cette catastrophe pour prendre conscience de l’inhumanité paradoxale qui habite notre monde. Un monde insensé « qui produit la richesse en créant la misère » (Victor Hugo). Les souffrances des plus fragiles et leur mort multipliée nous serrent la gorge. Cessons d’être hypnotisés par les idoles irresponsables d’un monde absurde, qui consacre l’oubli des fins et du sens.









(Un mail transféré par Edwige:) 

Face au COVID-19 et aux besoins en OXYGENOTHERAPIE, je vous joins le contact du député André Chassaigne qui a demandé par courrier au ministre Bruno Le Maire la nationalisation et la reprise d'activité immédiate de l'usine LUXFER de GERZAT. Vous pourrez prendre connaissance de la lettre et du lien pour signer une pétition de soutien à cette initiative.
https://andrechassaigne.org/
Salut fraternel, prenons soin de nous.







SACRÉ SACRÉ-CŒUR


Berry républicain 20 mars 2020


Michel:
Une bonne nouvelle ! Le Sacré Coeur est fermé ! Complétement ! Depuis lundi.
Le BR qui s'intéresse plus au Sacré Coeur qu'à  Charles-Ferdinand Gambon signale que c'est la 1ère fois que la basilique (le hic et non la hic) est fermée.
Le recteur Mgr Jean Laverton (dit la Vertu ?) appelle les fidèles à des prières à distance. 
Rappelons que Françoise Bazire a rappelé, à la télé, l'origine scandaleuse de l'édifice en 2019.

https://vaillantitude.blogspot.com/2019/10/le-sacre-cur-sur-france-3.html

Moi, j'en propose la démolition, puisqu'il est désaffecté.


Christiane:
On pourrait prier Napoléon Gaillard, qui peut être, nous voit depuis Carouge, et qui ale bras long, que le SC s’effondre (pendant qu’il n’y a personne dedans)... hé hé...

Et dans le même journal, en première page, le ton est donné:




Solidarité? Apparemment la conception de la solidarité qui se révèle ici n'est pas celle de la tradition qui passe par Babeuf, Gambon, Pyat, ... Jaurès, Guesde, Vaillant ... et bien d'autres du même tonneau, comme Croizat. 
Ici: solidarité = bénévolat = Restos du coeur = main à la poche par des particuliers! 
Bref, de la charité individuelle. A cent lieux d'une organisation collective garantie par un Etat protecteur. Partage des richesses? Hérésie. Que les plus pauvres se débrouillent entre eux.
Néo-libéralisme oblige, on vous dit! 
Colluche??? Mais c'est lui qui disait que si les Restos, secours d'urgence immédiate, étaient encore là dans dix ans après leur création, ce serait un scandale d'Etat!

Foin de toutes ces billevesées qui ne visent qu'à nous égarer. Ecoutons plutôt un proche de Vaillant, Jean Jaurès:










(Notre logo: le fond, symboliquement les pierres d'un mur, n'est rien d'autre que le mur du cimétière de Vierzon-Ville où repose Edouard Vaillant.)










Cliquez sur le calendrier pour découvrir
 ce qui s'est passé un
19 mars




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Tome II : Le grand socialiste.



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vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  



Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 

Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




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Tome I : La tête pensante de la Commune.



374 p.  18,80 €
484g  
les 2 volumes 1044g 








L'EDITEUR







LES POINTS DE VENTE LOCAUX


18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)
(hélas fermé depuis le 21 juillet, malgré un grand soutien local, dont le nôtre)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)




 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)

Bourges 

 La Poterne (41 rue Moyenne)



 Point Virgule (46 rue d'Auron)



Cultura Saint-Doulchard
(mystérieusement exclu depuis 2016)


 Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)

Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).













Henrichemont 

 Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)








36

Châteauroux 

 Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)





Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski. 





Issoudun 


 Centre commercial Leclerc(Rue de la Limoise)





Il y a aussi le livre sur le berrichon de notre président Michel Pinglaut 


COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE




DOSSIER DE PRESSE





La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.



                                                                                                              (Vaillantitude)



La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 



1 commentaire:

  1. Bonsoir, j'ai relayé avec ma sauce la page sur le billet "solidarité" du BR du 20 mars: http://www.gilblog.fr/berry_blog/quand-le-berry-confond.html
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