mardi 13 octobre 2020

LETTRE AACPARIS OCTOBRE 2020

 

 


Des contraintes sanitaires mais aussi des réalisations. 



Dimanche 4 octobre célébration de Félix Pyat à Vierzon
Jeudi 15 octobre à Le Blanc conférence de Jean Annequin 




Nos actions 
   signalées le 27 septembre 2020

(Vierzon)

Les Amies et Amis du Berry de la Commune de Paris 1871 rendront hommage au célèbre communard vierzonnais (avocat, journaliste, homme de lettres) Félix Pyat le dimanche 4 octobre à 11h au départ de la rue Félix Pyat, près du croisement avec la route de Neuvy d’après la dénomination locale (avenue du 8 mai 1945 officiellement). 

Nous suivons ainsi l’idée qui avait été la nôtre le 30 juillet pour Anatole Okolowicz et qui n’avait pas pu avoir lieu faute de temps pour s’organiser pleinement. En compensation, un excellent article du Berry républicain a marqué positivement cette date. 
On procédera au moins à un dépôt de gerbe au nom de notre association.

Il s’agit à la fois de célébrer les personnalités dont la date de naissance ou de mort concerne cette année en « 0 » (2020) et aussi d’anticiper sur l’année 2021, celle du 150e anniversaire de la Commune de Paris 1871. Félix Pyat est né le 4 octobre 1810 à Vierzon. 

Rappel : 
Notre association a surtout déjà logiquement porté l’accent sur le Berruyer Charles Ferdinand Gambon (conférence à Bourges) dont c’est le bicentenaire de la naissance, et sur notre grand homme politique vierzonnais Edouard Vaillant (né en 1840, cérémonie qui eut lieu sur sa tombe pour le 29 janvier). Pas question donc d’oublier l’’autre célèbre communard vierzonnais Félix Pyat, né en 1810.


(Berry)

Sortie en librairie du livre de Jean-Pierre Gilbert sur les Communards du Cher. 

Pour la première fois, un livre s’intéresse aux communards du Cher et en établit la liste. Ce qui représente deux cent dix notes biographiques classées par ordre alphabétique. Les noms et l’état-civil ont été vérifiés d’après les archives de l’époque.
Jean-Pierre Gilbert, La Commune et les communards du Cher 1871, préface de Michel Pinglaut. Édition de l’Alandier avec le soutien des Amis berrichons de la Commune de Paris. Un livre broché, format 15 x 21 centimètres, 280 pages, 60 portraits et illustrations hors texte.

En vente à La Poterne, Cultura, La plume du Sarthate, l’Antidote à Bourges, . librairie Sur les chemins du livre à Saint-Amand-Montrond, à la librairie d’Henrichemont. Dans d'autres librairies du Cher courant octobre et par l’association ”Les Amis berrichons de la Commune”. 
Dédicaces au salon du livre d’Henrichemont, dimanche 15 novembre 2020. Prix 18,50 euros.

(Rappel Indre)

La conférence de Jean Annequin à Le Blanc le 15 octobre  (pièce jointe).



LETTRE PARIS



[amis_distribution] LES RENDEZ-VOUS DU MOIS D'OCTOBRE
7 octobre 2020

Chère amie, cher ami,

C’est avec un peu de retard que nous vous adressons les informations du mois d’octobre et nous comptons sur votre indulgence. 
Voici donc les initiatives dont nous avons connaissance pour cette période

Du 5 octobre 2020 au 18 décembre 2020 
Les Archives Départementales de la Dordogne organisent 
L’exposition : 150e anniversaire de la Commune
 


Exposition réalisée par 
par l’Association des Amies et des Amis de la Commune de Paris, pour l'exposition à l'Hôtel de Ville de Paris en 2004 
Archives départementales de la Dordogne 
9 rue Littré - Périgueux
Du 5 octobre au 18 décembre 2020
En partenariat avec le 31e Festival de la bande dessinée de Bassillac (9 au 11 octobre), les Archives présentent une exposition consacrée à la Commune de Paris.
Composée de panneaux richement illustrés, l’exposition retrace les origines, le déroulement, les enjeux politiques et sociaux et les grandes figures de cet épisode historique qui s’est achevé par une répression sanglante, et dont l’héritage est encore très vivace aujourd’hui.
Des planches originales et des reproductions d’œuvres de bande dessinée consacrée à la Commune de Paris complètent l’exposition réalisée par l’Association des amies et amis de la Commune de Paris-1871.
Vernissage le jeudi 8 octobre à 18h (sous réserve), 
suivi de la projection de La Commune (Paris, 1871) (Peter Watkins, 2000, 3h30, version remasterisée) au Multiplex CGR à Périgueux, par Ciné-Cinéma.
Entrée libre du lundi au vendredi de 8h30 - 12h / 13h30 - 17h. 
Ouverture exceptionnelle des Archives le dimanche 11 octobre de 14h à 18h.

Jusqu’au 25/10/2020 à Paris 6e 
Du lundi au samedi à 21 h, le dimanche à 17 h 30
Le Lucernaire présente CABARET LOUISE de Régis Vlachos
 

Tarif préférentiel pour les adhérents de l’association (plein tarif 26 euros) :
-18 euros au-delà du 16 septembre
-10 euros pour les jeunes de moins de 26 ans
Pour en savoir plus : relations-publiques@lucernaire.fr ou téléphone 01 42 22 66 87
Le Lucernaire
53 rue Notre-Dame-des-Champs Paris 6ème

Le Comité creusois des Amies et Amis de la Commune de Paris-1871
lance une souscription pour la réalisation  Es jorn, une tapisserie d’Aubusson d’hommage aux ouvriers de la Creuse de la Commune et à leur idéal.
Vous trouverez toutes les informations en pièce jointe

Nos amitiés communardes
La commission communication




12 octobre 2020

Chère amie, cher ami,

 

Voici la suite de nos rendez-vous du mois.

 

Jeudi 15 octobre à (36300) Le Blanc à 18 h 00

 

Jean Annequin coprésident pour l’Indre du comité du Berry Des Amies et Amis de la Commune de Paris 1871

Tiendra une conférence sur

« L’Indre et le pays blancois en Brenne dans le Commune de Paris 1871 »

 

L’histoire de la Commune de Paris au printemps 1871 est celle des provinciaux en nombre dans la capitale dont environ 400 natives et natifs de l’Indre :

Parmi eux, près d’une vingtaine originaire du sud de la Brenne et de trois communes du canton blancois dont l’immense majorité du chef-lieu même.

C’est l’histoire de ces « sans nom » qui sera la toile de fond de l’évocation d’une période importante de notre passé souvent occultée, moment bien républicain.

Un hommage ainsi aux femmes et hommes de notre «pays »  qui ont fait l’histoire.

La commission communication.


 
Les Amies et Amis de la Commune de Paris – 1871, comité local de la Creuse

Souscription pour la réalisation d’une tapisserie en l’honneur des migrants creusois pour leur participation à la Commune de Paris 1871
La somme minimum de la souscription est libre
La souscription avec livre (minimum 30€) donne droit au livre sur la naissance d’une tapisserie 
Nom
Prénom
Adresse
Code postal
Ville
Adresse mail @
Téléphone
Voulez vous apparaitre sur la liste des souscripteurs Oui       non
Souscription libre
Souscription avec livre minimum 30€
Expédition du livre 6 timbres + enveloppe 6€
Don
Total

Chèque à l’ordre de comité 23 amis Commune de Paris 1871

Contact du comité 23 amis Commune de Paris 1871
Adresse postale de l’association
Les Amies et Amis de la Commune de Paris – 1871, comité local de la Creuse
6 Lascoux
23220 JOUILLAT
Adresse électronique de l’association
1871commune23@gmail.com
Téléphone du secrétaire
05 55 51 22 39




Maquette du futur livre, environ 70 pages couleurs,
Dos carré rainuré 



1871 – 2021 : 150e anniversaire de la Commune de Paris

Appel à souscription et dons

Le comité local de la Creuse de l’Association nationale des Amies et Amis de la Commune de Paris (1871) décide la création de Es jorn, une tapisserie d’Aubusson d’hommage aux ouvriers de la Creuse de la Commune et à leur idéal de liberté.





Quelques mots

Au village de ce pays de noisetiers, de châtaigniers, de ruisseaux à truites, l’âpre saison du vent noir, du gel à pierres fendre installée, des sonorités familières accueillent le retour des hommes, ouvriers tailleurs de pierre, maçons, charpentiers, couvreurs  la plupart, de la grande ville. « Son tornats ! Lo petit es revengut. »

Mais gardons-nous le souvenir de la tragédie nouée à Paris au printemps de l’année 1871 qui mura dans la douleur et la colère compagnes, enfants, amis des migrants du Limousin – avec une particulière intensité ceux de la Creuse et de ses confins berrichons – quand les leurs, partisans en nombre de la Commune, ne revinrent pas ?

Le général Appert, en 1875, rapporta 953 arrestations d’originaires de la Creuse, 487 condamnés par la justice militaire effectivement déportés, mais ne dit mot des morts.
L’historien Alain Corbin, un siècle plus tard, en 1975, révéla toute l’étendue du drame : autour de 400 Creusois tombèrent sur les barricades ou furent fusillés sans jugement, ou après un simulacre, du 21 au 28 mai, la Semaine sanglante. 
Né à Aubusson, Alfred Assolant, romancier et journaliste républicain, à l’écart du soulèvement mais indigné par les massacres, l’impitoyable répression, les mensonges de la presse conservatrice, révisa son jugement sur les insurgés et plaida à la suite de Victor Hugo et de Martin Nadaud, une complète amnistie.

Confrontés à une vie laborieuse difficile – le livre de Martin Nadaud « Mémoires de Léonard, ancien garçon  maçon » (1895) en témoigne avec éloquence – tout au long du XIXe siècle, les ouvriers du bâtiment surent s’organiser et mener de courageuses luttes pour les droits sociaux et l’éducation. Un profond sentiment anticlérical les accompagna qu’explique une Eglise de Rome très conservatrice, plus soucieuse d’ordre, de travail, que de justice sociale.

Sous le Second Empire, les grands travaux de Haussmann transforment la ville de Paris. La spéculation immobilière s’y déploie sans vergogne, mais l’embauche est là. Les bâtisseurs, non sans mal, obtinrent une journée de travail un peu moins longue, d’avril à novembre de 6 heures du matin à 6 heures du soir. Cette durée laissait encore bien peu au repos ou à soi.
 
La Commune de Paris, une municipalité élue, il importe de le rappeler, fut un élan social et laïque précurseur.
Parmi les mesures prises, elle ramena à dix heures la journée de travail, abolit les amendes ou retenues sur salaires, sépara l’Eglise de l’Etat, laïcisa l’enseignement, abolit la peine de mort.
La Commune porte l’idéal qu’exprime l’article premier de notre actuelle Constitution : « La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale. »

Le comité local de la Creuse de l’Association nationale des Amies et Amis de la Commune de Paris (1871) décide la création de Es jorn, une tapisserie d’Aubusson d’hommage aux ouvriers de la Creuse de la Commune et à leur idéal de liberté.
Nous confions son entière réalisation, carton, tissage, teinture à l’atelier aubussonnais des Just’Lissières. Le tissage nécessite 175 heures de travail. Il nous faut réunir une somme de 8000 euros.
Nous appelons à une grande souscription populaire. Tout montant, même modeste, participe à la réussite du projet. Le souscripteur d’un minimum de 30euros recevra un ouvrage illustré de photos, relatant l’histoire de cette œuvre d’art, œuvre véritablement collective.
Es jorn est destinée à être montrée au plus grand nombre et sera prêtée ou louée aux associations, collectivités, musées qui en feront la demande. 
Quelle traduction de notre fidélité cette œuvre tissée en basse lisse, d’une dimension de 80cm de hauteur par 130cm de largeur, offrira-t-elle à notre regard ?
L’inscription « Es jorn », son titre, brodée au point sarrasin est de l’occitan, le parler maternel de Léonard. Lui dit « patois » mais, il l’ignore, c’est bien la langue de Bernard de Ventadour, le poète universel. Prononçons /ei djou(r)/ et comprenons « au jour ».
Le français hésitant, mâtiné (« marche que », « j’ai écouté dire ») de Léonard – celui plus tard d’Antonio ou de Mohamed – fait de lui, dans la lointaine ville, un immigré étranger sur qui se porte un regard un peu moqueur ou carrément de mépris.
Es jorn est l’espoir, contre tout espoir peut-être, d’un monde rendu un peu plus fraternel par plus de justice sociale. L’œuvre tissée s’inspire d’une gravure du XIXe de Godefroy, connue de qui s’intéresse à l’histoire des ouvriers migrants. Un groupe d’hommes, de simples silhouettes dans la faible lumière du petit jour, tiennent leur chemin de terre. Coiffés de casquettes, de chapeaux, avec pour simple bagage, un baluchon accroché à un bâton, ils partent faire leur campagne. 

L’atelier des Just’lissières est le visage rayonnant du renouveau de la tapisserie à Aubusson.




« L’atelier collectif Just’lissières est né au sein de la formation de lissier proposée par le GRETA au troisième étage de la Cité de la tapisserie à Aubusson.
Pendant cet apprentissage passionnant et laborieux, des liens forts se sont tissés entre nous, et nous avons décidé de continuer cette aventure ensemble ; d’abord à 7 puis à 3.
Aujourd’hui,  nous : Cloé Paty, Aurélie Chéné et Marion Subert, constituons le collectif Just’lissières et en affinons sa forme en passant d’une association à une entreprise cogérée.
Dans l’atelier du 75 Grande rue d’Aubusson, tout est mis en commun : du matériel aux idées, en passant par les matières, les responsabilités, les qualités humaines et techniques. C’est une nouvelle forme en train de s’inventer, que l’on nourrit des valeurs du faire ensemble qui nous paraissent importantes tant pour la profession que pour sa transmission.

Nous créons des tapisseries avec les techniques séculaires d’Aubusson ; de l’ourdissage de la chaîne au tissage. 
Depuis sa création l’atelier a remporté trois appels d’offre portés par la Cité internationale de la tapisserie. Nous avons donc travaillé avec eL Seed pour C’est l’Aube ; avec l’artiste Raùl Illarramendi pour le premier carré d’Aubusson et sur une tapisserie de la tenture Tolkien ; ainsi que sur une commande privée avec l’artiste Mehryl Levisse. »






Gravure initiale de Godefroy « en route pour Lyon » bibl.nationale





Plusieurs croquis pour arriver au carton






Es jorn   la future tapisserie 





 






(Notre logo: le fond, symboliquement les pierres d'un mur, n'est rien d'autre que le mur du cimétière de Vierzon-Ville où repose Edouard Vaillant.)















Cliquez sur le calendrier pour découvrir
 ce qui s'est passé un
13 octobre
pendant la vie d'Edouard Vaillant
...ou après...











Rentrée littéraire de septembre 2016 
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome II : Le grand socialiste.



500 p.  19,80 €
560g  
les 2 volumes 1044g 





















vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  



Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 

Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




TOUTES NOS DATES IMPORTANTES




Rentrée littéraire de septembre 2015
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Tome I : La tête pensante de la Commune.



374 p.  18,80 €
484g  
les 2 volumes 1044g 








L'EDITEUR







LES POINTS DE VENTE LOCAUX


18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)
(hélas fermé depuis le 21 juillet, malgré un grand soutien local, dont le nôtre)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)




 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)

Bourges 

 La Poterne (41 rue Moyenne)



 Point Virgule (46 rue d'Auron)



Cultura Saint-Doulchard
(mystérieusement exclu depuis 2016)


 Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)

Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).













Henrichemont 

 Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)








36

Châteauroux 

 Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)





Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski. 





Issoudun 


 Centre commercial Leclerc(Rue de la Limoise)





Il y a aussi le livre sur le berrichon de notre président Michel Pinglaut 


COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE




DOSSIER DE PRESSE





La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.



                                                                                                              (Vaillantitude)



La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 

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