jeudi 29 octobre 2015

1840 THIERS REMPLACE PAR SOULT


Elisabeth ne viendra pas le 7 novembre...
mais après. 

29 octobre 1840
THIERS REMPLACE PAR SOULT




















QUELQUE CHOSE


                                                                       sur :  JAPON







Signé Vaillant





Il n'est pas sur toute la surface de l'Asie un opprimé qui n'écoute avec anxiété les bruits de la guerre, dans le sentiment, à chaque bonne nouvelle, grandissant d'un avenir hier inespéré, demain libérateur. Et cet avenir d'indépendance et de liberté, évoqué par la pensée, sera réalisé. La victoire du Japon en est le premier gage.









29 octobre 1840 : le président du Conseil français Adolphe Thiers est remplacé par Soult.



Même jour, autre année.

1888 : signature de la convention du canal de Suez à Constantinople.
1914 : début de la première bataille d'Ypres, bataille qui marquera, avec la bataille de l'Yser, la fin de ce que l'on nomma la course à la mer.
1882 : Jean Giraudoux, romancier et dramaturge français († 31 janvier 1944).
1907 : Edwige Feuillère, comédienne française († 13 novembre 1998).
1911 : Joseph Pulitzer, éditeur et magnat américain de la presse (° 10 avril 1847).


Jean-de-Dieu Soult
 (Saint-Amans-la-Bastide, aujourd'hui Saint-Amans-Soult, Tarn, 29 mars 1769 -id., 26 novembre 1851) est un militaire et homme politique français.
Maréchal d'Empire (1804), il est considéré par Napoléon, après la bataille d'Austerlitz (1805) à laquelle il contribue de manière décisive, comme « le premier manoeuvrier de l'Europe ».


 Pair de France (1815 puis 1827), il a une carrière politique importante, notamment sous la Monarchie de Juillet où il est ministre de la Guerre et par trois fois chef du gouvernement - il détient de facto le record de longévité à ce poste (9 ans, 3 mois et 17 jours, dont 6 ans, 10 mois et 20 jours en continu).
Président du Conseil pendant quasiment sept ans, de 1840 à 1847, il laisse la direction effective du Cabinet à son ministre des Affaires étrangères, François Guizot, lequel lui succède logiquement quand il quitte le gouvernement, pour raisons de santé. Pendant cinq ans (1840-1845), il cumule sa fonction avec celle de ministre de la Guerre, son rôle étant par la suite de plus en plus effacé.
Le 26 septembre 1847, Louis-Philippe rétablit pour lui la dignité honorifique de maréchal général des camps et armées du roi, portée précédemment par Turenne, Villars ou de Broglie, modifiant cependant ce titre en celui, unique dans l'histoire militaire du pays, de maréchal général de France.
En 1848, il se déclare républicain. Il meurt trois ans après dans son château de Soultberg, près de Saint-Amans-la-Bastide où il est né, quelques jours avant le coup d'Etat de Louis-Napoléon Bonaparte. En son hommage, la commune fut renommée Saint-Amans-Soult dès 1851.







21e président du Conseil des ministres français
(et Ministre de la guerre) jusqu'au 10 novembre 1845
(22e chef du gouvernement)
29 octobre 1840 – 18 septembre 1847
(6 ans 10 mois et 20 jours)
Monarque : Louis-Philippe Ier
Gouvernement : Soult (3)
Prédécesseur : Adolphe Thiers 
(Amédée Despans-Cubières)
Successeur : François Guizot


ELISABETH BADINTER 
UN EMPECHEMENT DE DERNIERE MINUTE POUR LE SAMEDI 7 NOVEMBRE A VIERZON


Prévue pour notre journée Vaillant du 7 novembre, Elisabeth Badinter vient de nous faire savoir qu'il lui sera impossible de venir ce jour-là. 
Le point positif, c'est qu'elle a non seulement exprimé son regret de ne pouvoir venir, mais qu'elle a manifesté son intention de le faire à une autre date. 
On lui a proposé alors le 14 novembre, à l'occasion du Salon du Livre, ou le 18 décembre, la journée Edouard Vaillant avec le spectacle en chansons à la DKL d'Henri Brisson. 






Elisabeth Badinter et son 
arrière-arrière grand-mère,
Ambroisine Vaillant, mère d'Edouard. 






Vaillant pendant ce temps-là...




Edouard est un bébé de neuf mois. Il ne sait évidemment pas qu'il vient de croiser la route de Thiers. Il le retrouvera dans des circonstances extraordinairement tragiques, à la fois pour lui et pour notre histoire nationale, quelque trente ans plus tard. Quant à Soult, je n'ai pas mieux à proposer comme convergence que de remarquer que la dernière maison d'Edouard Vaillant à Paris dans le 12e arrondissement, Villa du Bel-Air, est longée par le Boulevard Soult. Soult en 1840, et Soult en 1915... 







La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.

                                                                                                              (Vaillantitude)





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