28 novembre 1870
BATAILLE DE BEAUNE-LA-ROLANDE
sur : GRANDEUR
Signé Vaillant
La grandeur du socialisme, c'est que dans son action, quel qu'en soit le motif, il résume tout ce qu'il se propose, et que son action contre la guerre se confond avec son action pour l'émancipation du prolétariat.
1905 : naissance du parti Sinn Féin.
1912 : indépendance de l'Albanie.
1881 : Stefan Zweig, écrivain autrichien († 22 février 1942).
1900 : Léo Lagrange, homme politique français († 9 juin 1940).
1907 : Alberto Moravia, écrivain italien († 26 septembre 1990).
1908 : Claude Lévi-Strauss, philosophe et ethnologue français († 30 octobre 2009).
1899 : La Castiglione, espionne et courtisane italienne (° 23 mars 1837).
La bataille de Beaune-la-Rolande
désigne un conflit militaire qui s'est déroulé le 28 novembre 1870 sur le territoire de la commune française de Beaune-la-Rolande, dans le département du Loiret, durant la guerre franco-prussienne de 1870. Elle s'achève par une victoire prussienne.
Le 28 novembre 1870, les forces françaises du 18e et 20e corps de la première armée de la Loire forte de 60 000 hommes tentent de forcer la position prussienne de Beaune-la-Rolande où les Allemands se sont fortement retranchés, pour ouvrir le passage vers Paris et venir au secours des Parisiens assiégés et « tendre la main au Général Ducros » qui doit assurer de son côté une « sortie ».
Vers Beaune-la-Rolande, la situation s'est donc retournée contre le 20e corps. La 2e division de Polignac voit apparaître au nord, vers Barville, le renfort du IIIe Corps prussien composé de la 5e division d'infanterie et d'une division de cavalerie et qui accentuent, à marche forcée, leur pression sur l'aile gauche française avec le 52e et le 12e régiment de Bradenbourg. L'artillerie prussienne postée sur les hauteurs de la butte de l'Ormeteau au sud de Barville, prend de flanc le mince rideau de troupes du 20e corps qui se trouvaient au nord de Beaune-la-Rolande. Le sort de la bataille tourne en faveur des Prussiens. Le général Crouzat, voyant vers 15 h 30 que la bataille tourne au désastre et que le 18e corps tarde à arriver, tente de monter une attaque de la dernière chance vers la barricade barrant la route de Boiscommun à l'ouest de Beaune-la-Rolande. Les troupes qu'il a pu rassembler, composées de zouaves, de gardes mobiles et de son état-major, partent à l'assaut de la ville, mais la barricade est en feu et le tir des Prussiens, galvanisés par l'aide du IIIe corps, est particulièrement terrible ; au même moment débouchent, venant du sud-est, quelques éléments du 18e corps (53e de marche et zéphyrs), mais trop tard. L'attaque de Crouzat a échoué, la nuit tombe, le général Billot enfin rendu à Beaune souhaite poursuivre l'effort, mais Crouzat s'y refuse car le champ de bataille est trop sombre et déjà des méprises apparaissent entre Français se tirant dessus. Il faut battre en retraite, l'aile gauche a cédé, la ville n'est pas tombée et la confusion règne dans les rangs français. Les Prussiens feront des prisonniers tard dans la nuit dans les villages environnant, là où des hommes harassés voulant trouver refuge s'arrêtèrent. Les clairons sonnent le rassemblement et les Français retraitent vers leurs positions du matin. La bataille a été très coûteuse pour les Français, les pertes s'élèvent à environ 1 000 tués et 3 500 blessés et prisonniers. Les Prussiens ont perdu 817 hommes (tués, blessés ou prisonniers).
1912 : indépendance de l'Albanie.
1881 : Stefan Zweig, écrivain autrichien († 22 février 1942).
1900 : Léo Lagrange, homme politique français († 9 juin 1940).
1907 : Alberto Moravia, écrivain italien († 26 septembre 1990).
1908 : Claude Lévi-Strauss, philosophe et ethnologue français († 30 octobre 2009).
1899 : La Castiglione, espionne et courtisane italienne (° 23 mars 1837).
La bataille de Beaune-la-Rolande
désigne un conflit militaire qui s'est déroulé le 28 novembre 1870 sur le territoire de la commune française de Beaune-la-Rolande, dans le département du Loiret, durant la guerre franco-prussienne de 1870. Elle s'achève par une victoire prussienne.
Le 28 novembre 1870, les forces françaises du 18e et 20e corps de la première armée de la Loire forte de 60 000 hommes tentent de forcer la position prussienne de Beaune-la-Rolande où les Allemands se sont fortement retranchés, pour ouvrir le passage vers Paris et venir au secours des Parisiens assiégés et « tendre la main au Général Ducros » qui doit assurer de son côté une « sortie ».
Vers Beaune-la-Rolande, la situation s'est donc retournée contre le 20e corps. La 2e division de Polignac voit apparaître au nord, vers Barville, le renfort du IIIe Corps prussien composé de la 5e division d'infanterie et d'une division de cavalerie et qui accentuent, à marche forcée, leur pression sur l'aile gauche française avec le 52e et le 12e régiment de Bradenbourg. L'artillerie prussienne postée sur les hauteurs de la butte de l'Ormeteau au sud de Barville, prend de flanc le mince rideau de troupes du 20e corps qui se trouvaient au nord de Beaune-la-Rolande. Le sort de la bataille tourne en faveur des Prussiens. Le général Crouzat, voyant vers 15 h 30 que la bataille tourne au désastre et que le 18e corps tarde à arriver, tente de monter une attaque de la dernière chance vers la barricade barrant la route de Boiscommun à l'ouest de Beaune-la-Rolande. Les troupes qu'il a pu rassembler, composées de zouaves, de gardes mobiles et de son état-major, partent à l'assaut de la ville, mais la barricade est en feu et le tir des Prussiens, galvanisés par l'aide du IIIe corps, est particulièrement terrible ; au même moment débouchent, venant du sud-est, quelques éléments du 18e corps (53e de marche et zéphyrs), mais trop tard. L'attaque de Crouzat a échoué, la nuit tombe, le général Billot enfin rendu à Beaune souhaite poursuivre l'effort, mais Crouzat s'y refuse car le champ de bataille est trop sombre et déjà des méprises apparaissent entre Français se tirant dessus. Il faut battre en retraite, l'aile gauche a cédé, la ville n'est pas tombée et la confusion règne dans les rangs français. Les Prussiens feront des prisonniers tard dans la nuit dans les villages environnant, là où des hommes harassés voulant trouver refuge s'arrêtèrent. Les clairons sonnent le rassemblement et les Français retraitent vers leurs positions du matin. La bataille a été très coûteuse pour les Français, les pertes s'élèvent à environ 1 000 tués et 3 500 blessés et prisonniers. Les Prussiens ont perdu 817 hommes (tués, blessés ou prisonniers).
NOS PROCHAINS RENDEZ-VOUS
PREMIERE SEMAINE DE DECEMBRE
ACTIONS DU LYCEE EDOUARD VAILLANT
VIERZON
Le lycée présentera ses réalisations concernant Edouard Vaillant.
Les élèves d'une classe de première ES en particulier travailleront sur Vaillant dans le cadre de leurs cours d'histoire avec validation notée de leurs travaux.
vendredi 4 décembre (jusqu'au vendredi 18 décembre)
LYCEE EDOUARD VAILLANT
début de l'exposition (avec de nombreuses images venant de l'exposition de la médiathèque)
Le vernissage aura lieu le vendredi 4 décembre à 18h.
MERCREDI 9 DECEMBRE
JOURNEE D'ETUDES EDOUARD VAILLANT
PARIS
A l'Hôtel de Ville, des interventions de haut niveau le matin et l'après midi.
Voir le détail ici :
http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/05/1907-mort-de-huysmans.html
MARDI 15 DECEMBRE
CONFERENCE SUR EDOUARD VAILLANT (sur invitation)
PARIS
A l'Assemblée nationale, à 17 h45, salle Victor Hugo (101 rue de l'Université).
- M. Michel Pigenet, Professeur d'histoire contemporaine, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
- M. Jean-Marie Favière, auteur de "Je te parle au sujet d’Edouard-Vaillant"
Sur le thème :
« Edouard Vaillant, parlementaire et élu du peuple accompli »
vendredi 18 décembre
VILLE DE VIERZON
Soirée musicale Compagnie "Une chanson dans ma mémoire" Jeaan-Marc Ducoudray
Auditorium (DKL) du lycée Henri Brisson
4 chanteurs. 14 chansonniers. Chanson "contestataire".
Partenariat : Mairie de Vierzon, Communauté de Communes, Jean-Marc Ducoudray, Elisabeth Hovasse.
Une des deux dates possibles pour la visite d'Elisabeth Badinter
DIMANCHE 20 DECEMBRE
CEREMONIE COMMEMORATIVE SUR LA TOMBE D'EDOUARD VAILLANT
VIERZON
Au cimetière du Centre Ville, dépôt de gerbe par la municipalité, interventions diverses, tombe rénovée et redorée pour l'occasion. 11h.
http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/02/1857-flaubert-acquitte.html
LE LIVRE
L'EDITEUR
LES POINTS DE VENTE
18
Vierzon
Maison de la presse Catinaud (9 rue Voltaire)
Espace culturel Leclerc (48 avenue de la République)
Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)
En voir plus :
http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/09/1907-mort-de-sully-prudhomme.html
DOSSIER DE PRESSE
http://vaillantitude.blogspot.fr/2015/10/1854-naissance-de-rimbaud.html
La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national.
(Jean Jaurès)
Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.
(Vaillantitude)
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