C'était le samedi 10 novembre
J'ai été beaucoup sollicité ces temps-ci par l'actualité riche à laquelle j'ai bien entendu donné la priorité, dans la mesure où il s'agit d'annonces, et que les rendez-vous qui concernent le futur prennent logiquement le pas sur les événements du passé. Il en fut d'ailleurs ainsi pour notre réunion de bureau que j'ai mise en ligne tout récemment.
Ainsi, sur les trois mousquetaires représentants du Berry, l'un d'eux (Michel) étant pris par les commémorations pacifistes du moment, nous prîmes à deux, Jean et moi, le chemin de la capitale.
Etant le moins expérimenté, et connaissant finalement peu de monde, je fus ravi de mettre enfin des visages sur des noms que je voyais depuis longtemps dans les articles et les mails de l'association. Michel Puzelat, notamment, mon destinataire des corrections du bulletin. Et j'espère avoir l'occasion de connaître une prochaine fois sa complice, Michelle Camus.
Beaucoup de rapports intéressants furent échangés. La vie de l'association se porte bien, et cela se mesure aux nombreux projets en cours ou envisagés. Evidemment, il y en aurait plus encore si les finances étaient extensibles.
A un moment, pour ce qui nous concerne directement, il ne fut plus possible de tourner davantage autour du pot, et Jean mit les pieds dans le plat. La question pourrait se résumer en une formule lapidaire: Foin de faux fuyant, la conf’ fut un flop.
Elle était pourtant une occasion en or de concrétiser à sa modeste place un maillon utile dans les liens qui unissent la province et Paris pour l'évocation de la Commune. Vaillant, bien vivant dans sa Vierzon natale comme dans le XXe arrondissement où il officia sans discontinuer jusqu'à sa mort, apparaissait comme particulièrement bien placé pour tenir le rôle.
Mais il en fut autrement, et le sort s'acharna sur ce projet. Je passe rapidement sur la kyrielle de causes évoquées pour n'en retenir qu'une: le dysfonctionnement dans la communication.
Pour retrouver la présentation de la conférence:
https://vaillantitude.blogspot.com/2018/10/edouard-vaillant-entre-berry-et-paris.html
(Je suis heureux d'avoir capté beaucoup de monde sur ces photos, mais désolé d'avoir raté rien de moins que le président Joël Ragonneau: le coupable est prêt à subir une juste punition pour cette maladresse impardonnable).
Car cela n'a pas empêché (au contraire?...) de se quitter bons amis, et de souhaiter unanimement que nous réussissions pleinement, cette fois, un événement d'une toute autre importance: la commémoration du 150e anniversaire de la Commune en 2021. Encore que, là ausi, il serait souhaitable de tisser solidement le lien Paris-Province.
Ainsi, sur les trois mousquetaires représentants du Berry, l'un d'eux (Michel) étant pris par les commémorations pacifistes du moment, nous prîmes à deux, Jean et moi, le chemin de la capitale.
Etant le moins expérimenté, et connaissant finalement peu de monde, je fus ravi de mettre enfin des visages sur des noms que je voyais depuis longtemps dans les articles et les mails de l'association. Michel Puzelat, notamment, mon destinataire des corrections du bulletin. Et j'espère avoir l'occasion de connaître une prochaine fois sa complice, Michelle Camus.
Beaucoup de rapports intéressants furent échangés. La vie de l'association se porte bien, et cela se mesure aux nombreux projets en cours ou envisagés. Evidemment, il y en aurait plus encore si les finances étaient extensibles.
A un moment, pour ce qui nous concerne directement, il ne fut plus possible de tourner davantage autour du pot, et Jean mit les pieds dans le plat. La question pourrait se résumer en une formule lapidaire: Foin de faux fuyant, la conf’ fut un flop.
Elle était pourtant une occasion en or de concrétiser à sa modeste place un maillon utile dans les liens qui unissent la province et Paris pour l'évocation de la Commune. Vaillant, bien vivant dans sa Vierzon natale comme dans le XXe arrondissement où il officia sans discontinuer jusqu'à sa mort, apparaissait comme particulièrement bien placé pour tenir le rôle.
Mais il en fut autrement, et le sort s'acharna sur ce projet. Je passe rapidement sur la kyrielle de causes évoquées pour n'en retenir qu'une: le dysfonctionnement dans la communication.
Pour retrouver la présentation de la conférence:
https://vaillantitude.blogspot.com/2018/10/edouard-vaillant-entre-berry-et-paris.html
(Je suis heureux d'avoir capté beaucoup de monde sur ces photos, mais désolé d'avoir raté rien de moins que le président Joël Ragonneau: le coupable est prêt à subir une juste punition pour cette maladresse impardonnable).
"Mais, comme dit Brel dans La Fanette, parlons d'autre chose..." Ou, comme disent les Anglais dans leur sagesse insulaire:
Car cela n'a pas empêché (au contraire?...) de se quitter bons amis, et de souhaiter unanimement que nous réussissions pleinement, cette fois, un événement d'une toute autre importance: la commémoration du 150e anniversaire de la Commune en 2021. Encore que, là ausi, il serait souhaitable de tisser solidement le lien Paris-Province.
Ajoutons (ô mânes de Caton l'Ancien!...) que la conférence de Jean Annequin est toujours d'actualité:
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ce qui s'est passé un
21 novembre
pendant la vie d'Edouard Vaillant
NOTRE PRESENCE (EVENTUELLE) DANS LES SALONS DU LIVRE OU LIEUX DE DEDICACE
Les Bordes (36) (1er décembre)
Bourges (18) (2 mars 2019)
Saint-Florent (18) (6-7 avril 2019)
vaillantiser v tr dir
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin.
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.
Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même."
Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant".
Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin vaillantise."
N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc.
Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement.
TOUTES NOS DATES IMPORTANTES
Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.
374 p. 18,80 €
484g
les 2 volumes 1044g
L'EDITEUR
LES POINTS DE VENTE LOCAUX
18
Vierzon
Espace culturel Leclerc (48 avenue de la République)
Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)
Désormais dernière Maison de la presse à Vierzon |
Photo: http://vierzonitude.fr.over-blog.com/2018/10/la-librairie-presse-du-mouton-dernier-specimen-d-une-espece-presque-eteinte.html |
Bourges
La Poterne (41 rue Moyenne)
(mystérieusement exclu depuis 2016)
Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)
Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).
Henrichemont
Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)
36
Châteauroux
Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)
Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski.
Issoudun
COMPTES-RENDUS DU LIVRE
11 3 16 JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS
29 2 16 HENRICHEMONT GIBLOG
1 11 15 MAGAZINE A VIERZON
20 10 15 DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE
28 08 15 BLOG VIERZONITUDE
DOSSIER DE PRESSE
La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national.
(Jean Jaurès)
Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.
(Vaillantitude)
La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul.
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