mardi 23 février 2021

L’ANTI-COMMUNARDISME PRIMAIRE

    tente un combat d’arrière-garde.




Heureusement totalement absurde après tant d’études précises, après tant de vulgarisations de qualité, après la défense et illustration des militants contemporains, après la réhabilitation de novembre 2016 par l’Assemblée nationale. 




Pour ces (quelques, du moins on l'espère) dinosaures versaillais égaré dans notre XXIe siècle, il faut condamner les victimes, et encourager les bourreaux. Revisitons nos principes de justice (c’est d’ailleurs déjà largement en cours, pas besoin de dessin). 
Haro alors sur 
Les victimes qui ont donné un coup de corps dans le poignard de leur assassin
Les femmes battues qui ont donné un coup d’œil dans le poing du mari violent
Les manifestants pacifiques qui ont donné un coup de crâne sur la matraque du CRS
Etc. 





Il faut pour eux réécrire La prière (chanson de Brassens (1953) sur le poème Rosaire de Francis Jammes avec les accusations suivantes :

Accusons donc, et surtout punissons durement :

L’oiseau brutal qui donne un coup d’aile dans le plomb du gentil chasseur
Les odieux gosses battus qui ont donné des coups de corps sur les poings de l’ivrogne qui rentre
L’affreux innocent châtié qui s’est attiré sans motif la haine de ses bourreaux
L’odieuse vierge vendue qui ne s’est pas laissée déshabillée de bonne grâce
Le fils indigne qui n’a pas approuvé quand sa mère a été insultée
La vieille criminelle qui ose crier « Mon Dieu ! » en trébuchant sous trop de poids
Le cheval coupable qui ne tombe pas de bonne grâce sous le chariot qu’il traîne
Le salaud de juste qui est mis justement au rang des assassins au motif qu’il est juste

Vivement le retour à la normale :

La mère qui apprend que son fils est guéri
L’oiseau rappelant l’oiseau tombé du nid
L’herbe qui a soif et recueille l’ondée
L’amour redonné
Le mendiant retrouvant sa monnaie

La Commune réhabilitée dans les faits 
Ses bourreaux condamnés par le tribunal de l’Histoire

Rappelons le dossier, ici archivé:










PARIS
La Commune de 1871, un anniversaire sous haute tension à la Mairie de Paris
La gauche au pouvoir dans la capitale se prépare à glorifier l’insurrection, la droite y est hostile.

Par Denis Cosnard
Publié aujourd’hui [19 février 2021] à 01h00, mis à jour à 14h13 
Temps de Lecture 5 min.


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L’Hôtel de Ville de Paris après l’incendie survenu lors de la Commune en 1871.
CHARLES FRANCOIS BOSSU / DOMAINE PUBLIC

Ce mercredi 3 février, le couvre-feu est déjà passé, le Conseil de Paris commencé la veille s’étire depuis des heures, et les élus n’ont qu’une envie : voter rapidement les dernières délibérations, puis rentrer. L’ordre du jour, quelques subventions et hommages, semble consensuel. Mais soudain, Rudolph Granier prend le micro et réveille l’hémicycle. Parmi les vingt-sept associations à subventionner, il en est une à laquelle son parti, Les Républicains (LR), ne veut pas accorder un centime : les Amies et amis de la Commune de Paris 1871. Cette association coprésidée par un ancien dirigeant communiste « glorifie les événements les plus violents de la Commune », peste-t-il.

M. Granier évoque « les incendies de la Commune qui ont ravagé des pans entiers de la capitale », et accuse la maire socialiste, Anne Hidalgo, d’« ânonner » à ce sujet « une série de contre-vérités historiques » dans le seul but de ressouder les socialistes, les communistes et les écologistes, en vue de son « projet présidentiel ». Celui-ci « rassemblera certainement moins de personnes que les dix millions de Français qui ont participé à la souscription nationale pour l’édification du Sacré-Cœur », ajoute l’élu LR.

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Lire aussi  « Commune(s) », de Quentin Deluermoz : une histoire mondiale de la Commune de Paris







Patrick Bloche, l’adjoint socialiste d’Anne Hidalgo, qui préside la séance, ponctue cette diatribe d’une phrase : « Ce qui me rassure, c’est que je crois au clivage entre la gauche et la droite, et vous l’avez illustré parfaitement, cent cinquante ans après la Commune. » Entre les deux camps, la joute verbale se poursuit près d’une heure.

Le 18 mars 1871, Paris se révoltait. « Exténuée par un siège de quatre mois, écrasée d’humiliation par la défaite devant les Prussiens », selon les mots de l’historien Jacques Rougerie, la capitale se soulevait contre une Assemblée nationale monarchiste. Le début d’une aventure de soixante-douze jours, une tentative unique de République indépendante, écrasée au cours d’une « semaine sanglante ».

« Des valeurs qui sont les nôtres aujourd’hui »
Un siècle et demi plus tard, ces neuf petites semaines conservent une puissance symbolique extrême, et la préparation de leur anniversaire électrise les élus de Paris. « Durant ce Conseil, on se serait cru de nouveau en 1871, avec les communards bataillant contre les versaillais, s’étonne encore l’historienne Mathilde Larrère. Preuve que la mémoire de la Commune reste profondément conflictuelle. »

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L’historienne Mathilde Larrère



On devrait presque remercier les "modernes" versaillais (un oxymore...) d'illustrer de façon aussi prégnante l'actualité de la Commune. Le pire pour la Commune, en effet, ce n'est pas la polémique, qui alimente le débat, c'est l'occultation, l'indifférence, l'ignorance. 

Continuons (c'est un PDF):

22/02/2021 
Le Monde 
Tensions à la Mairie de Paris autour des 150 ans de la Commune 
La droite est hostile aux commémorations prévues par la maire socialiste 

Mercredi 3 février, le couvre-feu est déjà passé, le Conseil de Paris s'étire depuis des heures. L'ordre du jour, quelques subventions et hommages, semble consensuel. Mais soudain, Rudolph Granier prend le micro et réveille l'hémicycle. Parmi les vingt-sept associations a subventionner, il en est une à laquelle son parti, Les Républicains (LR), ne veut pas accorder un centime : les Amies et amis de la Commune de Paris 1871. Cette association coprésidée par un ancien dirigeant communiste « glorifie les événements les plus violents de la Commune ››, peste-t-il. M. Granier évoque «les incendies dela Commune qui ont ravagé des pans entiers de la capitale ››, et accuse la maire socialiste, Anne Hidalgo, d'« ãnonner ›› à ce sujet « une série de contre-vérités historiques ›› dans le seul but de ressouder les socialistes, les communistes et les écologistes, en vue de son « projet présidentiel ››. Celui-ci « rassemblera certainement moins de personnes que les dix millions de Français qui ont participé à la souscription nationale pour l'édification du Sacré-Cœur », ajoute l'élu LR. Patrick Bloche, l'adjoint socialiste d'Anne Hidalgo qui préside la séance, ponctué cette diatribe d'une phrase ; « Ce qui me rassure, c'est que je crois au clivage entre la gauche et la droite, et vous l'avez illustré parfaitement, cent cinquante ans après la Commune. ›› Entre les deux camps, la joute verbale se poursuit près d'une heure. Puissance symbolique Le 18 mars 1871, Paris se révoltait. « Exténuée par un siège de quatre mois, écrasée d'hurniliation parla défaite devantles Prussiens ››, selon les mots de l'historien Iacques Rougerie, la capitale se soulevait contre une Assemblée nationale monarchiste. Le début d'une aventure de soixante-douze jours, une tentative unique de République indépendante, écrasée au cours d'une « semaine sanglante ››. Un siècle et demi plus tard, ces neuf semaines conservent une puissance symbolique, et la préparation de leur anniversaire électrise les élus de Paris, « Durant ce Conseil, on se serait cru de nouveau en 1871, avec les communards bataillant contre les versaillais, s'étonne encore l'historienne Mathilde Larrère. Preuve que la mémoire de la Commune reste profondement conflictuelle. ›› 

A gauche, l`alliance rouge-rose-vert au pouvoir à Paris se prépare à glorifier l'insurrection, « la révolution la plus moderne, la plus large et la plus féconde de toutes celles qui ont illuminé l'histoire ››, selon Raphaëlle Primet. 

Elue du XXe, celui de Vaillant!



Et l'élue communiste de citer les « avancées ›› de ces semaines-clés : la citoyenneté accordée aux étrangers, l'égalité des salaires entre les femmes et les hommes, la réquisition des logements vacants pour les sans domicile, la justice gratuite, la reconnaissance de l'union libre, la séparation de l'Eglise et de l'Etat... « La Commune porte toutes les valeurs qui sontles nôtres aujourd'hui ››, appuie sa camarade de parti Laurence Patrice, l'adjointe d'Anne Hidalgo chargée de la mémoire et du monde combattant, qui a préparé le programme des manifestations. 




A la traditionnelle montée au mur des Fédérés, les élus de gauche ont prévu d'ajouter une multitude d'opérations spécialement conçues pour les 150 ans. Des expositions, des conférences, des promenades sur les traces de la Commune, des spectacles de rue... Anne Hidalgo entend aussi planter sur place un araucaria, une essence de Nouvelle-Calédonie, en référence au bagne où fut déportée Louise Michel. 






Le 2 avril, une évocation de son procès est prévue dans l'hémicycle du Conseil de Paris. Des plaques rendant hommage aux élus de la Commune doivent également être apposées dans les mairies d'arrondissement. 

« Légende noire ›› 

A l'approche du Conseil de Paris où le sujet devait être évoqué, «je m'attendais plutôt á des attaques sur la gauche ››, raconte Karen Taieb, l'adjointe socialiste chargée du patrimoine et de l'histoire de Paris. 





L'association des Amies et amis de la Commune avait réclamé sans succès qu'une station de métro porte le nom de « Commune de Paris 1871 ››. Elle aurait pu revenir à la charge. Le risque paraissait élevé, surtout qu'une partie de la gauche proteste contre le projet validé par la Mairie de classer aux monuments historiques le Sacré-Coeur, une basilique dont la construction a longtemps été perçue comme un acte d'eXpiation après les « excès ›› de la Commune. Karen Taïeb avait d'ailleurs décidé, à l'automne 2020, de repousser à 2022 le débat sur ce sujet sensible, «pour donner toute sa place à l'anniversaire de la Commune ››.

 En réalité, c`est de droite qu'est venue l'offensive. La doctrine des LR et apparentés est simple. Commémorer la Commune, oui. La célébrer, non. Pas question de valoriser « ce triste moment de guerre civile ››, plaide, lors du Conseil de Paris, l`avocat Antoine Beauquier, un fidèle de Christine Boutin. élu du 16e arrondissement. A ses yeux, nul besoin de transformer en héros « ceux qui prirent en otage et assassinérent les dominicains d'Arcueil venus ramasser les blessés sous l'emblème de la Croix-Rouge ››, ni les fédérés qui, le 26 mai 1871, exécutèrent cinquante et un prisonniers, « dont dix prêtres, bien sûr, et trente neuf gendarmes ››. L'avocat poursuit en interrogeant la municipalité de gauche : « Pourrez-vous encore dénoncer les casseurs après avoir honoré en grande pompe ceux qui ont choisi de brûler les Tuileries, le Palais-Royal, le palais d'Orsay, les synagogues et notre Hôtel de Ville .›› Tout en reconnaissant les « idées généreuses ›› de la Commune, son collègue David Alphand (LR) mentionne un autre aspect qui le hérisse : « La confiscation des moyens de production. ›› 

Patrick Bloche bout. « C'est parfois une épreuve de présider la séance ››, lâche le socialiste. Après avoir divisé la population parisienne, « la Commune a fait dès le départ l'objet d 'un affrontement mémoriel très fort, commente l'historien Michel Cordillot, coordinateur de l'ouvrage La Commune de Paris 1871. Les acteurs, l'événement, les lieux (Les Editions de l'Atelier, 1 438 pages, 34,50 euros). 





Une légende noire s'est vite développée autour des “barbares et bandits" de la Commune, et une légende rouge y a répliqué. ›› Au fil des années, l'insurrection a fait l'objet de récupérations multiples. « A la suite de Marx et d'Engels, les communistes y ont vu la première révolution moderne, annonciatrice de celle d'octobre 1917, alors qu'elle constitue plutôt la dernière des révolutions du XIXe siècle ››, note Mme Larrère. Les socialistes ont aussi revendiqué l'héritage de la Commune, notamment au service du Front populaire. Les anarchistes, les défenseurs de l'autogestion, la gauche radicale l'ont tour à tour prise comme référence, notamment pour son « questionnement libertaire de la démocratie ››, selon la formule de Jacques Rougerie. Même la droite et l`extrême droite l'ont parfois instrumentalisée, en s'appuyant sur sa dimension patriotique. Depuis cinquante ans, de nombreuses recherches ont été effectuées et les historiens commencent à avoir une vision apaisée de cette année terrible. Le Britannique Robert Tombs, en particulier, a revu à la baisse le nombre de morts durant la « semaine sanglante ››, plus proche des 6 ooo ou 7 ooo que des 30 ooo longtemps évoqués. « Les politiques, eux, semblent en être restés aux vieux schémas ››, juge M. Cordillot. 
 


Rappel important avec Patrick Bloche:




















L'affiche: 
celle  du 150e anniversaire de la Commune 

L’affiche du 150e anniversaire réalisée par Ernest Pignon-Ernest est disponible à l’association. Elle coûte 10 euros.








 
Les Communards du Cher, notre livre du 150e



Salut Jean-Marie !
Voici les librairies où l’on pourra faire l’emplette de "La Commune et les communards du Cher”, quand elles seront ouvertes à nouveau.

Librairie La Poterne 41 rue Moyenne, Bourges. 
Librairie La plume du Sarthate 83 rue Arnaud de Vogüé à Bourges. 
L’Antidote 88 rue d’Auron à Bourges.
Maison des syndicats, 5 Boulevard Georges Clemenceau, Bourges. 
Librairie Cultura, Bourges/Saint Doulchard, route de Vierzon à côté de Décathlon. 
Librairie Espace culturel Leclerc 48 avenue de la République à Vierzon, 
Librairie Sur les chemins du livre 20 Rue Porte Mutin à Saint-Amand-Montrond. 
Jardin des fées, librairie/Presse place Henri IV, Henrichemont. 
Chez moi à La Borne, 10 Grand Route.
Il sera bientôt disponible au siège parisien des Amis de la Commune, 46 rue des Cinq Diamants dans le 13e arrondissement, après la fin du confinement.
Le prix de vente est de 18,50 euros .
On peut également se procurer le livre auprès de l’association des Amies et amis berrichons de la Commune de Paris, chez Michel Pinglaut  à Villabon.
Les dédicaces sont reportées au salon du livre d’Histoire de 30 et 31 janvier 2021 à Bourges.
Une présentation aux Archives départementales du Cher est prévue le 4 mars à 18 heures à l’auditorium, une dédicace aura lieu à la fin de la soirée. 
Le calendrier ayant été très bousculé, un changement de date est possible…
Bon, j’ai tout dit,
Bien communeusement,
JPG


Concordances des temps 
sur la répression des mouvements sociaux dans ce blog. 
Passim (taper par exemple les mots "répression" ou "gilets jaunes"dans le moteur de recherche), mais je mentionnerait seulement ici:


(Avec le livre de Guillaume Davranche: TROP JEUNES POUR MOURIR.)





Vierzon ville (doublement) étape
et toujours en proximité avec Le Creusot

Le Tour de France des conférences de Jean-Louis Robert

ATTENTION : 
UN DECALAGE DANS LE TEMPS EST DE PLUS EN PLUS PROBABLE. VIERZON SE PREPARE AVEC UNE DATE DE REMPLACEMENT DEJA PREEMPTEE LE 11 JUIN



















Cliquez sur le calendrier pour découvrir
 ce qui s'est passé un
23 février
pendant la vie d'Edouard Vaillant










Rentrée littéraire de septembre 2016 
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome II : Le grand socialiste.



500 p.  19,80 €
560g  
les 2 volumes 1044g 





















vaillantiser v tr dir 
Action de redonner tout son lustre, tout son éclat, toute son importance, à une personnalité qui la méritait amplement et que l’histoire avait oubliée malencontreusement sur le bord de son chemin. 
Plus simplement :
Action de remettre dans la lumière de l’histoire quelqu'un qui en avait été indûment écarté.  



Ex : "C’est en 2015 que pour la première fois on a vaillantisé quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était Edouard Vaillant lui-même." 

Employé absolument, le verbe a pour complément d'objet implicite le nom propre "Vaillant". 

Ex : "Le dernier numéro de notre bulletin  vaillantise." 

N’hésitez pas, qui que vous soyez, à l'employer partout par exemple dans des phrases du genre : Ils veulent vaillantiser Vaillant, etc. 

Et bien entendu le dérivé "vaillantisation" en découle naturellement. 




TOUTES NOS DATES IMPORTANTES




Rentrée littéraire de septembre 2015
Je te parle au sujet d'EDOUARD VAILLANT
Tome I : La tête pensante de la Commune.



374 p.  18,80 €
484g  
les 2 volumes 1044g 








L'EDITEUR







LES POINTS DE VENTE LOCAUX


18

Vierzon 

 Maison de la presse Catinaud  (9 rue Voltaire)
(hélas fermé depuis le 21 juillet, malgré un grand soutien local, dont le nôtre)


 Espace culturel Leclerc  (48 avenue de la République)




 Presse tabac Mongeot (4 rue du Mouton)

Bourges 

 La Poterne (41 rue Moyenne)



 Point Virgule (46 rue d'Auron)



Cultura Saint-Doulchard
(mystérieusement exclu depuis 2016)


 Centre commercial Carrefour Bourges (Chaussée de la Chappe)

Référencement national - partout en France - dans les magasins Carrefour.
(S'il n'est pas en rayon, demandez-le).













Henrichemont 

 Maison de la Presse "Le Jardin des Fées"(10 place Henri IV)








36

Châteauroux 

 Cultura Saint-Maur (Zone Commerciale Cap Sud, 10 Boulevard du Franc)





Aussi recommandés et également présents, le dictionnaire berrichon de Michel Pinglaut, le "Edouard Vaillant" de Gilles Candar, le "La face cachée de la Commune" d'Hélène Lewandowski. 





Issoudun 


 Centre commercial Leclerc(Rue de la Limoise)





Il y a aussi le livre sur le berrichon de notre président Michel Pinglaut 


COMPTES-RENDUS DU LIVRE


11 3 16   JEAN ANNEQUIN BLOG COMMUNE DE PARIS

29 2 16  HENRICHEMONT GIBLOG

1 11 15  MAGAZINE A VIERZON

20 10 15    DIX-HUIT BERRY REPUBLICAIN LA BOUINOTTE

28 08 15    BLOG VIERZONITUDE




DOSSIER DE PRESSE





La pensée d’Edouard Vaillant représente l’adaptation la plus parfaite du socialisme scientifique à notre tempérament national. 
(Jean Jaurès)




Vaillant n'est pas seulement un grand homme pour Vierzon, il est un grand homme pour l'histoire.



                                                                                                              (Vaillantitude)










La vaillantisation est une entreprise collective qui rassemble, et c'est tant mieux, des personnes de convictions différentes et variées qui ne regardent qu’elles. Les rapprochements avec l’actualité récente et les éventuels commentaires personnels induits n’engagent que l’auteur du blog et lui seul. 

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