vendredi 3 avril 2015

1897 MORT DE JOHANNES BRAHMS




3 avril 1897
MORT DU COMPOSITEUR ALLEMAND  BRAHMS

















QUELQUE CHOSE


                                                                       sur :  COMMUNE







Signé Vaillant





L'important serait de transformer la Commune elle-même, d'en faire ce qu'était la première Commune de Paris, une assemblée de commissions travaillant ensemble et non un parlement où chacun tient à dire son mot.







3 avril 1897 : décès de Johannes Brahms, compositeur allemand (° 7 mai 1833).




Même jour, autre année.



1898 : naissance de Michel de Ghelderode, dramaturge belge († 1er avril 1962).









Johannes Brahms
 (né le 7 mai 1833 à Hambourg, mort le 3 avril 1897 àVienne) est un compositeur, pianiste et chef d'orchestre allemand. Johannes Brahms est l'un des plus importants musiciens de la période romantique et est considéré par beaucoup comme le « successeur » de Ludwig van Beethoven. Sa première symphonie a été décrite par Hans Guido von Bülow comme étant « la dixième symphonie de Beethoven ».
En 1862, il s'installe définitivement à Vienne.










REUNION A L'INSPECTION ACADEMIQUE DU CHER
BOURGES
Les Amis de la Commune 
(au centre, Michel Pinglaut président, à ses côtés Jean-Marie Favière) 
et les Amis du musée
(à gauche, Roger Coulon, d'ailleurs également des Amis de la Commune). 
Ils étaient fidèles au rendez-vous. 


C’est à croire qu’Edouard Vaillant nous porte chance.
A chaque fois que nous avons eu à prendre contact pour parler de notre projet ambitieux de faire une année Vaillant à Vierzon, dans le Cher, à Paris, en France, dans le monde,… nous avons reçu un accueil ouvert, enrichissant, sympathique. 
Ainsi de la municipalité de Vierzon, des établissements scolaires portant haut le nom de Vaillant (lycée et collège), de la presse locale, des associations comme les Amis du musée ou les Amis du vieux Vierzon (au point que pour Vaillant il y a presque fusion de leurs ressources humaines et matérielles), des services municipaux comme la médiathèque ou le service culturel municipal, du Ciné Lumière, des organisateurs du salon du livre,… et je vais en oublier certainement (pardon).

Eh bien il faut que j’ajoute à cette liste la rencontre aussi importante que fructueuse qui a eu lieu ce vendredi matin à l’Inspection académique du Cher. Nous avons eu le plaisir d’avoir affaire à deux personnes non seulement déjà sensibilisées, mais qui allaient même à la rencontre spontanément de nos souhaits. Nous aurions été ravis bien sûr d’une autre formation, mais le fait qu’il s’agisse d’historiens a sans doute facilité la compréhension rapide du sujet et des enjeux.  Notre démarche a été immédiatement comprise, et ce qui est du ressort de nos interlocuteurs aussitôt pris en charge d’une manière très positive.

Sans méconnaître l'intérêt de discuter des programmes scolaires (on s'adressera à ce sujet au Conseil National des Programmes), c'est l'exposition à la médiathèque de Vierzon au mois de novembre, avec visites guidées des élèves et couverture médiatique forte, qui a fait l'objet essentiel de la réunion. Les établissements seront sensibilisés probablement par deux courriers, un avant et l'autre après les vacances,
Sentiment général en guise de conclusion: "On ne peut évidemment pas passer à côté de cet événement dans le Cher !"

Quand j'évoquais la chance, tout à l'heure, c'était évidemment une façon spontanée et rapide de parler. Associer ce genre de superstition à la personnalité rationnelle de Vaillant serait d'ailleurs tout à fait incongru! En vérité, l'obscurité où il a été maintenu jusqu'à maintenant relève de l'ignorance et de l'injustice intellectuelle, au sens où on parle de malhonnêteté intellectuelle. Que les instances qui ont la responsabilité de tâches éducatives importantes, dans les associations ou dans les institutions,  penchent du côté de la vérité et de la justice, voilà qui est plutôt naturel et rassurant. L'exceptionnel, en revanche, est à noter dans le côté cordial et sympathique de nos rencontres. Pourquoi ne pas mettre cet aspect en avant, dans une époque où les valeurs d'accueil, de solidarité et d'ouverture intellectuelle ne brillent pas toujours par leur évidence?









Dernière discussion avant de dissocier le trio solidaire.






















Vaillant, pendant ce temps-là...


Vaillant, grand mélomane, a 57 ans. Il est député de Paris depuis 4 ans. Quand il était étudiant à Vienne, à la fin des années 1860, il est bien possible qu'il y ait entendu, et vu, jouer Brahms. 
















Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire